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10-10-2007-Le but de cette étude était d’évaluer le risque de tumeur cérébrale chez les personnes qui utilisent depuis longtemps un téléphone cellulaire.
L’analyse a porté sur deux études de cohorte et sur 16 études cas-témoin évaluant l’impact à long terme de l’utilisation d’un téléphone portable (10 ans et plus). Les études analysées présentaient des biais méthodologiques, et la plupart d’entre elles portaient sur des groupes de taille insuffisante. Quatre études faisaient état d’une augmentation de neurinomes de l’acoustique chez les personnes utilisant un portable depuis au moins 10 ans. Une autre étude ne trouvait pas d’augmentation du risque, mais la taille des tumeurs était plus importante chez les utilisateurs de portable. Six études constataient une augmentation du risque de tumeur cérébrale maligne, tout particulièrement homolatérale. Dans une méta-analyse, l’utilisation du téléphone portable pendant 10 ans et plus était à l’origine d’un risque 2,4 fois plus important de neurinome de l’acoustique homolatéral, et 2 fois plus important de gliome.
Françoise CREPIN
http://www.votresante.org/suite.php?dateedit=1191994163
L’analyse a porté sur deux études de cohorte et sur 16 études cas-témoin évaluant l’impact à long terme de l’utilisation d’un téléphone portable (10 ans et plus). Les études analysées présentaient des biais méthodologiques, et la plupart d’entre elles portaient sur des groupes de taille insuffisante. Quatre études faisaient état d’une augmentation de neurinomes de l’acoustique chez les personnes utilisant un portable depuis au moins 10 ans. Une autre étude ne trouvait pas d’augmentation du risque, mais la taille des tumeurs était plus importante chez les utilisateurs de portable. Six études constataient une augmentation du risque de tumeur cérébrale maligne, tout particulièrement homolatérale. Dans une méta-analyse, l’utilisation du téléphone portable pendant 10 ans et plus était à l’origine d’un risque 2,4 fois plus important de neurinome de l’acoustique homolatéral, et 2 fois plus important de gliome.
Françoise CREPIN
http://www.votresante.org/suite.php?dateedit=1191994163
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