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La prochaine réunion de l’organisation est programmée pour le 5 décembre prochain à Abu Dhabi. « Nous avons déjà pris la décision d’augmenter de 500 000 barils par jour, mais le marché a déjà pris en compte cet aspect », a expliqué le ministre Chakib Khelil en ajoutant que l’offre de l’Opep a été considérée comme insuffisante par les acteurs du marché, préoccupés par la nécessité de reconstituer des stocks pour la saison hivernale. La récente envolée des prix, marquée par un nouveau record, est surtout due à la tension apparue à la frontière entre la Turquie et l’Irak, avec les conséquences d’une invasion par l’armée turque, selon le ministre. Les stocks commerciaux des pays de l’OCDE sont supérieurs à leur moyenne des cinq dernières années.
Pour le ministre, les prix resteront élevés à cause des problèmes géopolitiques, de la demande en hiver et du risque d’invasion de l’Irak avec un possible arrêt des approvisionnements. « Je pense qu’il y aura un apaisement lors du 2e trimestre de l’année prochaine avec la baisse de la demande de 2 millions de barils par jour », a estimé le ministre. Questionné sur une éventuelle action de l’Opep, le ministre a déclaré que l’Opep allait probablement faire un geste, mais que cela n’aura pas d’incidence, car le marché est bien approvisionné et que la hausse des prix était due à d’autres facteurs que ceux de l’offre de l’Opep. En dehors de la réunion extraordinaire du 5 décembre, un autre événement aura lieu d’ici là. Il s’agit du 3e sommet des chefs d’Etat des pays membres de l’Opep, après le premier tenu à Alger en 1975 et le deuxième à Caracas en 2000. Le sommet pourrait donner un signal au marché en attendant la réunion du 5 décembre.
source : El Watan
Pour le ministre, les prix resteront élevés à cause des problèmes géopolitiques, de la demande en hiver et du risque d’invasion de l’Irak avec un possible arrêt des approvisionnements. « Je pense qu’il y aura un apaisement lors du 2e trimestre de l’année prochaine avec la baisse de la demande de 2 millions de barils par jour », a estimé le ministre. Questionné sur une éventuelle action de l’Opep, le ministre a déclaré que l’Opep allait probablement faire un geste, mais que cela n’aura pas d’incidence, car le marché est bien approvisionné et que la hausse des prix était due à d’autres facteurs que ceux de l’offre de l’Opep. En dehors de la réunion extraordinaire du 5 décembre, un autre événement aura lieu d’ici là. Il s’agit du 3e sommet des chefs d’Etat des pays membres de l’Opep, après le premier tenu à Alger en 1975 et le deuxième à Caracas en 2000. Le sommet pourrait donner un signal au marché en attendant la réunion du 5 décembre.
source : El Watan
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