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La première édition du Salon international Alger Industries qui se tient du 21 au 24 octobre au Palais des expositions de la Safex aux Pins-Maritimes, a été inaugurée hier par le ministre de l’Industrie et de la Promotion des investissements, M. Hamid Temmar. Organisé par Batimatec Expo en partenariat avec la Chambre française de commerce et d’industrie en Algérie et la Chambre de commerce et d’industrie Marseille-Provence, le Salon regroupe 95 exposants, dont plus de 50 participants étrangers, en majorité des sociétés françaises. “Le Salon Alger Industries répond à une demande croissante des entreprises pour la tenue à Alger d’un événement d’envergure internationale dédié à l’industrie de l’amont à l’aval”, soulignent les organisateurs.
Le ministre, dans son constat, souligne l’existence de deux volets, au niveau du salon, l’un étranger à travers la présence d’entreprises qui exporte vers l’Algérie, l’autre national, à travers la présence des entreprises locales qui importent. “Ce que nous souhaitons c’est d’aller vers la production”, affirme M. Temmar, estimant qu’avec les politiques industrielles, l’État pourra encourager, à travers une politique de mise à niveau “très ambitieuse”, les investisseurs algériens à produire et non pas importer pour vendre. “Le gouvernement mettra des moyens extrêmement importants pour la mise à niveau”, insiste le ministre.
En marge du salon, une conférence sur la nouvelle stratégie industrielle est programmée pour la matinée du 23 octobre et sera animée par de hauts responsables du ministère de l’Industrie et de la Promotion des investissements. La conférence en question sera l’occasion pour de hauts cadres du ministère de l’Industrie et de la Promotion des investissements de s’exprimer sur divers volets de la nouvelle stratégie industrielle, mais aussi et surtout sur les très attendues modalités de mise en œuvre. D’autant que depuis les assises nationales sur l’industrie qui se sont tenues à Alger du 26 au 28 février 2007 et ayant débouché sur de multiples recommandations, rien n’a filtré sur le document, ni sur les échéances de sa mise en œuvre. Sur ce point, le ministre de l’Industrie et de la Promotion des investissement rappelle que le plan d’action a été adopté par le gouvernement, il y a deux mois. Ce plan d’action est un ensemble de sections. Chaque section a été remise à un groupe de travail du ministère de l’Industrie et des autres ministères. Chaque groupe tracera sa feuille de route ; en d’autres termes, les actions à entreprendre dans six mois, dans une année et dans les deux années à venir.
“Les groupes viennent de finir ce travail qui sera validé dans le cadre du comité de coordination”, souligne M. Temmar. Le ministre explique que la stratégie industrielle est un ensemble de politiques très précises, de déploiement sectoriel et spatial, de mise à niveau, d’innovation, de ressources humaines et d’investissement direct étranger. Chaque groupe a pris en charge un de ces volets. Le ministre affirme qu’incontestablement il y aura un redéploiement du secteur public marchand. “Nous avons fait une première présentation au chef de l’État. Le gouvernement doit discuter très sérieusement les propositions qui sont assez avancées”, annonce-t-il.
Les organisateurs estiment que le Salon Alger Industries constituera “une plate-forme idéale pour les opérateurs désirant faire connaître leurs procédés, produits et services dans le secteur de l’industrie. C’est le rendez-vous pour explorer les opportunités d’investissement, développer les relations commerciales, consolider des partenariats et s’informer des tendances dans les secteurs en pleine mutation. Les entreprises publiques, qui sont à la recherche de partenaires dans le cadre du programme de privatisation et d’ouverture du capital”, pourront mettre à profit cette manifestation pour faire connaître davantage leurs entreprises ; leur potentiel et les activités qu’elles offrent sur le marché. Le Salon Alger Industries permettra, par ailleurs, aux industriels nationaux et étrangers d’échanger leurs expériences et de discuter des derniers développements liés à l’innovation, aux ressources humaines, au développement durable ou aux défis de la mondialisation.
source : Liberté
Le ministre, dans son constat, souligne l’existence de deux volets, au niveau du salon, l’un étranger à travers la présence d’entreprises qui exporte vers l’Algérie, l’autre national, à travers la présence des entreprises locales qui importent. “Ce que nous souhaitons c’est d’aller vers la production”, affirme M. Temmar, estimant qu’avec les politiques industrielles, l’État pourra encourager, à travers une politique de mise à niveau “très ambitieuse”, les investisseurs algériens à produire et non pas importer pour vendre. “Le gouvernement mettra des moyens extrêmement importants pour la mise à niveau”, insiste le ministre.
En marge du salon, une conférence sur la nouvelle stratégie industrielle est programmée pour la matinée du 23 octobre et sera animée par de hauts responsables du ministère de l’Industrie et de la Promotion des investissements. La conférence en question sera l’occasion pour de hauts cadres du ministère de l’Industrie et de la Promotion des investissements de s’exprimer sur divers volets de la nouvelle stratégie industrielle, mais aussi et surtout sur les très attendues modalités de mise en œuvre. D’autant que depuis les assises nationales sur l’industrie qui se sont tenues à Alger du 26 au 28 février 2007 et ayant débouché sur de multiples recommandations, rien n’a filtré sur le document, ni sur les échéances de sa mise en œuvre. Sur ce point, le ministre de l’Industrie et de la Promotion des investissement rappelle que le plan d’action a été adopté par le gouvernement, il y a deux mois. Ce plan d’action est un ensemble de sections. Chaque section a été remise à un groupe de travail du ministère de l’Industrie et des autres ministères. Chaque groupe tracera sa feuille de route ; en d’autres termes, les actions à entreprendre dans six mois, dans une année et dans les deux années à venir.
“Les groupes viennent de finir ce travail qui sera validé dans le cadre du comité de coordination”, souligne M. Temmar. Le ministre explique que la stratégie industrielle est un ensemble de politiques très précises, de déploiement sectoriel et spatial, de mise à niveau, d’innovation, de ressources humaines et d’investissement direct étranger. Chaque groupe a pris en charge un de ces volets. Le ministre affirme qu’incontestablement il y aura un redéploiement du secteur public marchand. “Nous avons fait une première présentation au chef de l’État. Le gouvernement doit discuter très sérieusement les propositions qui sont assez avancées”, annonce-t-il.
Les organisateurs estiment que le Salon Alger Industries constituera “une plate-forme idéale pour les opérateurs désirant faire connaître leurs procédés, produits et services dans le secteur de l’industrie. C’est le rendez-vous pour explorer les opportunités d’investissement, développer les relations commerciales, consolider des partenariats et s’informer des tendances dans les secteurs en pleine mutation. Les entreprises publiques, qui sont à la recherche de partenaires dans le cadre du programme de privatisation et d’ouverture du capital”, pourront mettre à profit cette manifestation pour faire connaître davantage leurs entreprises ; leur potentiel et les activités qu’elles offrent sur le marché. Le Salon Alger Industries permettra, par ailleurs, aux industriels nationaux et étrangers d’échanger leurs expériences et de discuter des derniers développements liés à l’innovation, aux ressources humaines, au développement durable ou aux défis de la mondialisation.
source : Liberté