Effroyables montagnes, l’hiver y est déjà
Installé, peur vécue et cèdre abattu, affreux rochers
Nus, nus…des vents et des tonnerres, les
Enfants de la nature ne s’aime presque plus !
Des bergers dormiront par terre, sous l’orage
Et la pluie…en quelque sorte le soleil se
Cache la lance, peur de la rage et la violence.
Nature grotesque, affables oiseaux, pour combien
L’homme encore endure ? Des siècles durant, force
Et tonus elle-même, nature, procure.
Oh ! Madame beauté nature combien j’adore ton
Hymne de paix. Revient, revient…tout finira
Par se mettre à l’ordre, la vie est faite pour
Etre vécu avec plaisir. Je sais…je sais, le silence
Par de temps de colère règne sur les ondes de la terre,
Zéphyr et Olympe doucement se voilent
Jusqu’à l’heure où l’aurore montrera sa tresse blonde
Gagné du doux soleil,
Sacrés petits matins, à la couleur vermeille, n’en soyez
Point jaloux.
Feux de ces nuits terribles, beauté nature que j’aime
Paix et douceur ont gagné mon seyant cœur.
Merci mon Dieu pour ainsi parfaire !
Samir
Installé, peur vécue et cèdre abattu, affreux rochers
Nus, nus…des vents et des tonnerres, les
Enfants de la nature ne s’aime presque plus !
Des bergers dormiront par terre, sous l’orage
Et la pluie…en quelque sorte le soleil se
Cache la lance, peur de la rage et la violence.
Nature grotesque, affables oiseaux, pour combien
L’homme encore endure ? Des siècles durant, force
Et tonus elle-même, nature, procure.
Oh ! Madame beauté nature combien j’adore ton
Hymne de paix. Revient, revient…tout finira
Par se mettre à l’ordre, la vie est faite pour
Etre vécu avec plaisir. Je sais…je sais, le silence
Par de temps de colère règne sur les ondes de la terre,
Zéphyr et Olympe doucement se voilent
Jusqu’à l’heure où l’aurore montrera sa tresse blonde
Gagné du doux soleil,
Sacrés petits matins, à la couleur vermeille, n’en soyez
Point jaloux.
Feux de ces nuits terribles, beauté nature que j’aime
Paix et douceur ont gagné mon seyant cœur.
Merci mon Dieu pour ainsi parfaire !
Samir
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