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Bonsoir
ZURICH. L’enthousiasme des Suisses au travail dépend d’abord de la transparence de la direction sur sa stratégie.
Selon l’enquête d’un cabinet de conseil publiée hier, les Suisses sont 23% à se déclarer «très motivés» par leur emploi. Ce qui fait d’eux les travailleurs les plus enthousiastes d’Europe. La moitié affichent une motivation «modérée». Sur le Vieux-Continent, la part des salariés fortement motivés est de 17%. Un chiffre un peu plus élevé à l’échelle mondiale, mais toujours en deçà de la Suisse, à 21%. Contrairement aux idées reçues, la motivation individuelle est beaucoup moins influencée par le supérieur hiérarchique direct que par la façon d’agir de la direction de l’entreprise. Aux yeux des Suisses, la transparence de la direction à propos des nouvelles perspectives, tout comme la possibilité de participer au processus décisionnel, sont deux facteurs-clés de la motivation au travail. Sur ce dernier aspect, les Suisses se situent en avance par rapport à certains de leurs voisins, avec un fort taux de cogestions d’entreprise. Les salariés helvétiques sont 39% à se dire «entièrement satisfaits» de leur situation professionnelle, sans envisager un changement d’emploi. Même s’ils ne cherchent pas réellement un nouveau poste, 37% des Suisses avouent tout de même lire les offres. Un Suisse sur dix recherche en revanche activement un nouvel emploi et souhaite démissionner. Ce chiffre correspond à la moyenne européenne.
ats
ZURICH. L’enthousiasme des Suisses au travail dépend d’abord de la transparence de la direction sur sa stratégie.
Selon l’enquête d’un cabinet de conseil publiée hier, les Suisses sont 23% à se déclarer «très motivés» par leur emploi. Ce qui fait d’eux les travailleurs les plus enthousiastes d’Europe. La moitié affichent une motivation «modérée». Sur le Vieux-Continent, la part des salariés fortement motivés est de 17%. Un chiffre un peu plus élevé à l’échelle mondiale, mais toujours en deçà de la Suisse, à 21%. Contrairement aux idées reçues, la motivation individuelle est beaucoup moins influencée par le supérieur hiérarchique direct que par la façon d’agir de la direction de l’entreprise. Aux yeux des Suisses, la transparence de la direction à propos des nouvelles perspectives, tout comme la possibilité de participer au processus décisionnel, sont deux facteurs-clés de la motivation au travail. Sur ce dernier aspect, les Suisses se situent en avance par rapport à certains de leurs voisins, avec un fort taux de cogestions d’entreprise. Les salariés helvétiques sont 39% à se dire «entièrement satisfaits» de leur situation professionnelle, sans envisager un changement d’emploi. Même s’ils ne cherchent pas réellement un nouveau poste, 37% des Suisses avouent tout de même lire les offres. Un Suisse sur dix recherche en revanche activement un nouvel emploi et souhaite démissionner. Ce chiffre correspond à la moyenne européenne.
ats