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Une agence pour réguler le foncier industriel en Algérie

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  • Une agence pour réguler le foncier industriel en Algérie

    L’Agence nationale d’intermédiation et de régulation foncière en Algérie sera bientôt opérationnelle. C’est du moins ce qu’a annoncé la responsable qui s’occupe du dossier foncier au sein du ministère de l’industrie et de la promotion des investissements, lors d’une rencontre-débat organisée, hier, au niveau de la Safex, Pins-maritimes, en marge du Salon “Alger Industries” qui se tient du 21 au 24 octobre. Conformément au décret exécutif, placée sous la tutelle du ministre chargé de la Promotion des investissements, l’agence assure une mission de gestion, de promotion, d’intermédiation et de régulation foncière. L’agence a la qualité de promoteur foncier et est habilitée à acquérir des biens immobiliers et fonciers pour leur rétrocession après aménagement et lotissement à destination d’activités de production de biens et de services. La responsable du ministère de l’industrie précise que “l’agence est en cours d’installation”.

    Rappelant la genèse des débats, qui étaient organisés autour du document portant politiques et stratégies de relance de l’industrie, le chef de division des grandes entreprises M. Ould Mohammedi assure que “toutes les recommandations formulées lors des assises nationales sur l’industrie ont été prises en compte et ont permis d’enrichir le document adopté par le gouvernement”. Il évoque, dans son introduction, l’installation de groupes de travail, correspondant aux différents chapitres du document stratégies et politiques de relance et de développement industriel. Ces groupes sont chargés d’élaborer, en concertation avec les organisations patronales et le partenaire social, les feuilles de route prévoyant la programmation et les moyens des politiques à mettre en œuvre, dans les différentes filières. Un expert au sein du MPPI parle d’un certain nombre de filières prioritaires à promouvoir, en citant la pétrochimie, les fertilisants, l’acier, les fibres textiles, les phosphates, le ciment, l’automobile… Ce qui induira une restructuration et un redéploiement du secteur public marchand, autour de champions publics, lesquels seront appelés à nouer des relations de partenariat et des alliances stratégiques. Pour la pétrochimie, par exemple, les partenariats se feront autour de l’ENIP, pour les fertilisants, ferphos sera au centre des alliances. Du coup, l’organisation actuelle des capitaux marchands de l’État, autour des SGP, sera certainement restructurée.

    De grands groupes publics, qui coifferont les filières à promouvoir, vont certainement remplacer les SGP. Concernant le processus de mise à niveau des entreprises, les conférenciers reconnaissent que le nombre d’entreprises concernées “est faible” actuellement. Un rapport d’évaluation est en cours d’élaboration. Mais d’ores et déjà, la réflexion s’oriente vers l’unification des programmes. Pour rappel, le ministre de l’industrie et de la promotion des investissements, lors de l’inauguration du salon, avait déclaré que des “moyens importants seront mobilisés pour la mise à niveau des entreprises”. La première édition du salon international Alger Industries, qui s’achève aujourd’hui, a regroupé 95 exposants, dont plus de 50 participants étrangers, en majorité des sociétés françaises, comme Fact Sa-carrier, spécialisée dans l’équipement de la climatisation domestique et industrielle, Gofast, Tesa France SAS ; du côté algérien on peut citer Saïdal, florex Équipement, Alieco SPA. Concernant les secteurs d’activités représentés, il s’agit des installations industrielles, machines-outils, fromage, manutention, levage et stockage, outillage, traitements de surfaces...

    source : Liberté

  • #2
    c'est le probleme numero one

    c'est le probleme numero one qui bloque nombre d'investisseurs etrangers en algerie ,je vois que ca bouge en algérie HAMDOULLAH

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    • #3
      c'est le probleme numero one qui bloque nombre d'investisseurs etrangers en algerie ,je vois que ca bouge en algérie HAMDOULLAH


      la bombe va etre entre les mains de qui? voila la question car derriere le foncier se cache des appetits que tous le monde sait, le challenge est de la transparence qui suivra les decisions.

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      • #4
        faut toujours positiver

        faut toujours positiver TOUJOUUUUUURRRSSS

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        • #5
          c'est le probleme numero one qui bloque nombre d'investisseurs etrangers en algerie

          avec le bureaucratie!
          On peut nouer un fil rompu, mais il y aura toujours le noeud.

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          • #6
            qUI N'AVANCE PAS RECULE

            faut positiver mon frere POSITIVEEEER

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