Dans ce pays du froid je t’ai aimé
Comme jamais ne l’ont fait tes siens
Je t’ai adoré à me couper le souffle
D’étreintes aux petites entrailles qui
Glissaient entre mes bras jusqu’au petit matin…
C’était dans cette boite, où tes pas emboîtaient
Les miens, je sentais sortir ta passion
Au bout de mes mains, tu jouais des hanches
Comme on jouait avec ces cerceaux aux gamins,
Tu disais n’importe quoi pourvu que ça fasse du bien
Tu t’abandonnais morte contre moi, la pluie
Coulait à flot jusqu’à tes pieds de cavalière.
On a vécu comme ça des mois sans poussière !
Aujourd’hui, je te revois madame, dans
Ton bleu costume, ton blanc visage,
Tes mèches blondes rebelles
Comme ta belle chevalière…je pense à toi
Si souvent dans mes solitudes nuits et nos
Retrouvailles impossibles…aujourd’hui, tu me
Le rappelle cet amour des folies passagères
De cette étoile la bergère qu’on ne voyait
Disparaître qu’au petit rayon de soleil…
Ne me regarde pas comme ça, tu me
Redonne ces chaleurs alors que mon cœur
Se meurt déjà du grand mal de toi !
Le temps s’enfuie, ton poudrier s’ennuie
Fait moi la paix, je t’en supplie…
Il est temps de te faire une beauté,
Plaisir dans la vie tu auras.
Samir
Comme jamais ne l’ont fait tes siens
Je t’ai adoré à me couper le souffle
D’étreintes aux petites entrailles qui
Glissaient entre mes bras jusqu’au petit matin…
C’était dans cette boite, où tes pas emboîtaient
Les miens, je sentais sortir ta passion
Au bout de mes mains, tu jouais des hanches
Comme on jouait avec ces cerceaux aux gamins,
Tu disais n’importe quoi pourvu que ça fasse du bien
Tu t’abandonnais morte contre moi, la pluie
Coulait à flot jusqu’à tes pieds de cavalière.
On a vécu comme ça des mois sans poussière !
Aujourd’hui, je te revois madame, dans
Ton bleu costume, ton blanc visage,
Tes mèches blondes rebelles
Comme ta belle chevalière…je pense à toi
Si souvent dans mes solitudes nuits et nos
Retrouvailles impossibles…aujourd’hui, tu me
Le rappelle cet amour des folies passagères
De cette étoile la bergère qu’on ne voyait
Disparaître qu’au petit rayon de soleil…
Ne me regarde pas comme ça, tu me
Redonne ces chaleurs alors que mon cœur
Se meurt déjà du grand mal de toi !
Le temps s’enfuie, ton poudrier s’ennuie
Fait moi la paix, je t’en supplie…
Il est temps de te faire une beauté,
Plaisir dans la vie tu auras.
Samir