Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Haniyeh aux Arabes: n'allez pas à la conférence!

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Haniyeh aux Arabes: n'allez pas à la conférence!

    Ismaïl Haniyeh, le chef du gouvernement dirigé par le Hamas dans la Bande de Gaza, exhorte les pays arabes, en particulier l'Egypte et l'Arabie saoudite, à ne pas participer à la conférence internationale sur la paix au Proche-Orient que les Etats-Unis veulent organiser cet automne.

    "Nous allons en appeler directement à nos frères arabes, particulièrement les royaumes d'Arabie saoudite et d'Egypte et leur demander de reconsidérer toute décision de participer à cette conférence", a-t-il déclaré dans un entretien publié samedi par le quotidien pro-Hamas "Palestine".

  • #2
    Alors ça nous fait Ahmadinejad et Ismaïl Haniyeh ... il ne reste tout naturellement que Nasrallah qui je pari est de leur avis

    Commentaire


    • #3
      gironimoo, il restera aussi tous les citoyens honnêtes de tout les pays du monde qui refusent cette conférence ou les criminels USA vont défendre les intérets de le petit israél adoré en faisant pression sur le gentil abbas, abbas qui nie l'élection démocratique du hamas; en même temps, c'est tant mieux si les dictateurs saoudiens et égyptien y vont, sa montrera qu'ils sont pourris!! contrairement au fatah, arabie saoudite et egypte qui bafoue la démocratie, l'iran, le hamas et le hezbollah participe à la démocratie.... choisit ton camp...

      Commentaire


      • #4
        l'iran, le hamas et le hezbollah participe à la démocratie.... choisit ton camp...
        Ahmadinejad, Haniyeh et Nasrallah le tiersé gagnant n'est ce pas comme tu l'as dit a chacun son camps le miens ça n'aurait certainement pas été ces trois zozo !
        Dernière modification par Gironimoo, 24 octobre 2007, 13h42.

        Commentaire


        • #5
          ils ont tous 3 beaucoup de tord, mais eux respectent le jeu démocratique. Regarde ahmadinejad, perso je pense qu'il est fou, mais il a reconnut sa défaite dans toutes les élections de ces derniers mois; c'est pas comme le fatah qui n'admet pas sa défaite et qui a essayé 3 fois de renversé le hamas par les armes avant que celui-çi réagisse et les jettent dehors. En plus, le hamas avait assez de députés pour gouverner tout seul, mais il avait quand même accepté l'entrée du fatah au gouvernement. Quand au hezbollah, il réclame de nouvelles élections législatives depuis des mois.

          Mon choix, c'est la démocratie; clairement, le tien c'est la dictature.

          Non aux dictateurs et à leurs amis occidentaux

          Mohammed VI, Bouteflika, Ben Ali, Moubarak, Bush, Sarkozy, Poutine en prison

          Commentaire


          • #6
            Mon choix, c'est la démocratie; clairement, le tien c'est la dictature.
            oui parlons-en de la "démocratie" a l'iranienne ... quant au HAMAS c'est comme tout les islamistes ils sont porté par la démocratie pour mieux la suprimer après leur instalation ... quant au Hizb l'enfant de l'iran je ne voie pas trop a quoi s'attendre avec lui ... les chiens ne font pas des chats ... son projet c''est d'instaurer un état islamique au Liban.

            Commentaire


            • #7
              Il ne s’agit pas pour moi d’emblée de ne donner que mon avis
              La dessus mais on doit rappeler
              A certains que le HAMAS a été pousser a sa création par Israël lui-même
              Pour contrecarrer à l’époque l’influence grandissante de l’OLP

              Il personnifie la dictature totale

              Religieuse : il place ses propres imams tendance HAMAS

              politique : il joue les cartes IRAN et HEZBOALLAH
              Gone with the Wind.........

              Commentaire


              • #8
                Haniyeh aux Arabes: n'allez pas à la conférence!
                Le pauvre, à quoi bon lancer des appels lorsqu'on sait avec certitude qu'ils ne seront pas suivis, j'ai presque envie de rire.
                Ainsi va le monde

                Commentaire


                • #9
                  Qu'Haniyé décide de boycotter, c'est normal et c'est son droit en tant que palestien. Ce qui me choque, c'estla condamnation du sommet par Ahmadinejad et Khamenei, ce n'est pas leur peuple qui subit la guerre, c'est facile pour eux de condamner les conférences de paix.

                  Commentaire


                  • #10
                    Tout comme Ahmadi nadjad et Khamenei, Henya aussi n'est pas convié à cette plaisanterie. donc pourquoi reconnaitre un droit à qlq'un et le refuser à d'autres comme ça aléatoirement.
                    Ainsi va le monde

                    Commentaire


                    • #11
                      Pour Haniyé, il aurait du etre invité c'est vrai. Mais c'est pas parce qu'on n'est pas invité qu'on doit refuser aux autres le droit d'y aller. Peut-etre que ça débouchera sur des mesures qui faciliteront la vie des palestiniens au quotidien à défaut d'un reglement global du conflit. Quant à Ahmadinejad et Khamenei, ils ne sont ni palestiniens, ni voisins de la palestine, et veulent "raser Israel", je ne vois pas pourquoi on les inviterait. Et je le redis, c'est facile de refuser la paix quand on ne souffre pas de la guerre.

                      Commentaire


                      • #12
                        Quant à Ahmadinejad et Khamenei, ils ne sont ni palestiniens, ni voisins de la palestine, et veulent "raser Israel", je ne vois pas pourquoi on les inviterait.
                        Tu fais exactement comme l'administration Bush, l'Iran est l'acteur principal dans tout ça, on le sait, on le voit mais on refuse de traiter avec, donc ça n'aboutit à rien.
                        Peut-etre que ça débouchera sur des mesures qui faciliteront la vie des palestiniens au quotidien à défaut d'un reglement global du conflit.
                        Je risque de t'étonner, je dirai même plus, j'ai toujours souhaité que le Hamas quitte le gouvernement, son arrivé n'a fait qu'aggraver les choses. et je les trouve pas de taille pour jouer un tel rôle.
                        Ainsi va le monde

                        Commentaire


                        • #13
                          tout le monde dans la région pourra faire caca normalement une fois que les USA se soit occupé une bonne fois pour toute de l'iran des Mollahs ... alors vivement le Ragnarok.

                          Commentaire


                          • #14
                            Les Israéliens n'ont jamais rien laché.
                            Sauf suite aux pressions US.
                            Je me demande si Bush, en fin de mandat, comme Clinton (pour faire oublier la belle Monica Levinsky) veut vraiment des avancées.

                            Commentaire


                            • #15
                              Un remake de Camp David
                              PAR Denis Sieffert
                              jeudi 1er novembre 2007

                              Une chose est sûre, la prochaine conférence de paix sur le Proche-Orient se tiendra à Annapolis, capitale du Maryland, toute proche de Washington. On ne sait pas quand, mais on sait où. La précision géographique n’est pas superflue pour rappeler, à qui en douterait, que l’initiative est américaine. Elle est le produit d’une diplomatie aux abois, enlisée en Irak, et tout occupée déjà àconditionner l’opinion pour une autre guerre, contre l’Iran. Que cherche George W. Bush dans cette affaire ? Un an avant la fin de son dernier mandat, le président le plus réactionnaire de l’histoire des États-Unis aimerait obtenir une paix de compensation. Il a beaucoup fait la guerre * il n’a d’ailleurs pas dit son dernier mot * et il voudrait que son nom soit miraculeusement associé à l’issue positive du conflit le plus ancien et le plus symbolique de la planète. Il le voudrait, mais est-il prêt à en payer le prix ? Est-il pour cela disposé à se brouiller avec ses amis, les dirigeants israéliens ? Non, évidemment. Tout au plus, il rêve, pour l’histoire, de sauver les apparences. George W. Bush aimerait qu’un État palestinien soit proclamé, même si l’on n’en connaît ni les contours ni les attributs. Cette mise en scène à laquelle la secrétaire d’État, Condoleezza Rice, consacre tous ses efforts ressemble évidemment à un piège, un de plus, pour les Palestiniens. Mais le problème, c’est que les dirigeants israéliens n’en veulent pas non plus. Pour les uns, ce n’est pas assez ; pour les autres, c’est déjà trop.

                              Les dirigeants israéliens n’excluent pas cependant de devoir un jour concéder, au moins symboliquement, un « État » palestinien. Cette perspective hante toute leur politique depuis 1967, et plus encore depuis le début du processus d’Oslo en 1993. C’est pourquoi chaque contretemps est mis à profit pour renforcer la colonisation à Jérusalem et en Cisjordanie, jusqu’à hacher menu cet étroit territoire. Depuis une quinzaine d’années, ils mènent une course contre la montre pour créer une situation de fait irréversible. C’est spectaculairement le cas, ces jours-ci encore. Pendant que la secrétaire d’État américaine s’emploie à mettre en scène une réunion internationale qui, nous dit-on, devrait accoucher d’une sorte d’État palestinien, Israël ordonne une nouvelle confiscation de terres en Cisjordanie. Il s’agit d’annexer une région située à l’est de Jérusalem afin de créer une continuité territoriale israélienne entre l’importante colonie de Maale Adoumim et le Jourdain. Ces nouvelles expropriations, hautement stratégiques, auront pour effet de couper la Cisjordanie en deux. Et, comme si cela ne suffisait pas à mettre en évidence l’imposture de la réunion d’Annapolis, Israël se lance en même temps dans une nouvelle entreprise de punition collective contre les habitants de Gaza, privés partiellement d’électricité et de carburant. Le schéma qui se dessine n’est pas sans rappeler le traquenard tendu à Yasser Arafat à Camp David, en juillet 2000. On imagine que le président de l’Autorité palestinienne, une fois pris dans le huis clos de la réunion, sera sommé d’entériner le fait accompli. Il n’aura pour toute alternative que de ratifier une carte sur laquelle les agglomérations palestiniennes seront cernées par les colonies, ou de passer pour celui qui dit « non à la paix ».

                              L’analogie avec Camp David est frappante jusque dans le discours * indispensable * sur Jérusalem. Comme naguère le travailliste Ehud Barak, le Premier ministre de centre-droit, Ehud Olmert, évoque un « partage » de la ville. Il y a sept ans, ce qu’une habile communication présentait comme un partage n’était en fait que l’abandon aux Palestiniens d’Abou Dis, petite ville arabe située à l’est de Jérusalem. On rejoue la même scène aujourd’hui en confondant Jérusalem avec un camp de réfugiés (Shufat) et deux villages comme Sawakra et Walaje, excentrés par rapport à la ville. Il suffit ensuite de faire confiance aux propagandistes * en France, les nôtres sont excellents et dévoués * pour répéter ad nauseam que les Palestiniens ont rejeté une « offre généreuse ». Au total, les Israéliens pourront continuer à coloniser. Et George Bush pourra faire valoir qu’il a « tout essayé ». Les deux s’accorderont pour déplorer de n’avoir pas de « partenaire pour la paix » côté palestinien. Mahmoud Abbas peut-il refuser d’être le jouet de cette sinistre comédie ? Il le pourrait en exigeant, avant de s’embarquer pour Annapolis, un texte qui traite préalablement les questions de fond du conflit. Il se grandirait aussi en faisant observer qu’une telle conférence ne peut avoir lieu sans le Hamas. Il poserait ainsi pour plus tard les jalons d’une vraie conférence de paix et accomplirait le geste nécessaire à l’unité de son peuple. Accessoirement, il proposerait une issue à ceux qui, au sein du Hamas, sont partisans d’une solution politique. Mais peut-il encore être l’homme de cette fermeté ?

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X