J’ai erré dans les rues
à la recherche de je ne sais quelles jouissances
Un peu triste de ne retrouver..
aucun des signes qui donne à ma vie..
quelques couleurs..
Cette ville me devient étrangère ..
dés qu’elle soustrait a ma vue ceux que j’ai aimés
Et plus , elle devient de plus en plus moche
Cette vie monocle me plait..
Cette solitude détrempée..
cet éloignement du monde..
me font revenir a moi –même..
Je reconstruit pan après pan ..
L’édifice d’une vie pleine
De lézarde et de tores .
Ici , le rêve est un produit rare ou une folie..
Je me sens si loin et si seul ..
Braqué et ligoté captif de sombre jours..
Je porte la solitude en moi ..
Je ne m’accroche plus ..
a ces rencontres dont on force la naissance ..
le verbe alléchant et le sourire arboré ..
lorsque je regarde en moi
je ne vois que le trouble ..
sorte de brouillard sous le soleil ..
dont les rayons rebondissent sur le clavier e l’ordinateur ..
je ferme les yeux ..
j’essaie de chasser les spectres..
je cris je les repousses..
il reviennent plus résolus..
et ces doigts aux ongles sales me griffent la peau..
font rouler mon sangs ..
je m’insurge , je me réveille ..
je cours je tombe et me retrouve a portée de leurs griffes
suis-je égare dans ce labyrinthe sans issue..
suis-je vaincu par le passe ..
tout s’accélère et tout se consume
je me révèle absurde et aveugle ..
ou simplement victorieux de mes fadaises !!!
bt
à la recherche de je ne sais quelles jouissances
Un peu triste de ne retrouver..
aucun des signes qui donne à ma vie..
quelques couleurs..
Cette ville me devient étrangère ..
dés qu’elle soustrait a ma vue ceux que j’ai aimés
Et plus , elle devient de plus en plus moche
Cette vie monocle me plait..
Cette solitude détrempée..
cet éloignement du monde..
me font revenir a moi –même..
Je reconstruit pan après pan ..
L’édifice d’une vie pleine
De lézarde et de tores .
Ici , le rêve est un produit rare ou une folie..
Je me sens si loin et si seul ..
Braqué et ligoté captif de sombre jours..
Je porte la solitude en moi ..
Je ne m’accroche plus ..
a ces rencontres dont on force la naissance ..
le verbe alléchant et le sourire arboré ..
lorsque je regarde en moi
je ne vois que le trouble ..
sorte de brouillard sous le soleil ..
dont les rayons rebondissent sur le clavier e l’ordinateur ..
je ferme les yeux ..
j’essaie de chasser les spectres..
je cris je les repousses..
il reviennent plus résolus..
et ces doigts aux ongles sales me griffent la peau..
font rouler mon sangs ..
je m’insurge , je me réveille ..
je cours je tombe et me retrouve a portée de leurs griffes
suis-je égare dans ce labyrinthe sans issue..
suis-je vaincu par le passe ..
tout s’accélère et tout se consume
je me révèle absurde et aveugle ..
ou simplement victorieux de mes fadaises !!!
bt
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