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L’attaque éhontée de Tahar Ouettar contre Djaout et les Kabyles

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  • L’attaque éhontée de Tahar Ouettar contre Djaout et les Kabyles

    C’est vraiment le résultat de sa ménopause intellectuelle ce pâteux écrivain. Insulte gratuite contre la mémoire d’un grand écrivain et militant algérien comme Djaout, un martyre de la liberté de pensée pas seulement pour les algériens mais pour le monde libre et la modernité. Mais qui est ce oiseau noir qui vient brusquer la tranquillité de toute une vie.. le malaise culturel en Algérie fait des ravages.. Je laisse le journaliste raconter !


    Résultat de sa ménopause intellectuelle
    L’attaque éhontée de Tahar Ouettar contre Djaout et les Kabyles

    Tahar Ouattar, après s’être embrouillé avec de nombreux écrivains, vient de démontrer qu’il n’a aucun respect même pour les morts et aucune considération pour leur mémoire.
    Au cours d’une conférence animée au Centre culturel français, Ouettar, a encore une fois récidivé dans son attaque contre la mémoire du martyr de la plume, Tahar Djaout. Notre confrère du journal El Watan a rapporté, dans son édition d’hier, que l’auteur de l’AS a persisté dans sa conviction selon laquelle le premier journaliste assassiné par les terroristes en 1993 était «une perte pour la France». Pire, ne se contentant pas de souiller la mémoire de Djaout, Ouettar s’attaque aux «Kabyles» qui étaient à l’origine «d’une levée de boucliers» contre lui, parce que, précise-t-il, «ils avaient des journaux». Le commentaire aurait pu passer inaperçu si la personne attaquée était encore en vie. L’auteur des Chercheurs d’os serait en mesure de répliquer s’il était encore de ce monde. Mais la lâcheté n’a visiblement pas de limite.
    Sans honte ni pudeur, le baâthiste n’a pas le courage d’avancer que ce qui le dérange chez Djaout et ses compères de la «famille qui avance», définis ici comme «Kabyles» possédant des journaux, c’est sa différence idéologique beaucoup plus que son utlisation de langue française comme moyen d’expression. Djaout, et nous avec lui, était sans doute fier de maîtriser la belle langue de Molière. Il était sans doute fier d’être Algérien, d’appartenir à ce beau pays qu’est l’Algérie.
    Ouettar détient-il le brevet de nationalisme ? Est-il plus algérien que Djaout parce qu’il écrit en langue arabe ? Sans doute que non. Mais ce que Ouettar a oublié de dire c’est que Djaout est entré au Panthéon de l’histoire par sa grande porte, lui qui ne cessait de produire et de combattre, par sa seule plume, sans entrer dans les bassesses de ses détracteurs, l’hydre intégriste. Alors que les baâthistes de tout bord, Tahar Ouettar en tête, se sont éclipsés de la scène. Au lieu de combattre le mal, ils tentaient de le justifier. «La famille qui avance» - cette belle formule employée par Djaout et reprise par Matoub- n’est jamais tombée dans le caniveau. Elle combat avec détermination et honneur. Certains, Djaout en est le symbole, l’ont payé de leur vie. D’autres ont survécu et continuent de veiller, vaillemment, sur les acquis en attendant plus. Tout le mondre aura remarqué que l’auteur de «Zilzel», qui a mangé à tous les râteliers -il avait notamment applaudi toutes les décisions de la dictature du parti unique- est atteint d’une «ménopause intellectuelle». Il n’y a plus de «révolution agricole» qui va lui inspirer un écrit ni de Cour qui va le classer dans le giron des «grands écrivains» dont le seul mérite est le degré de servitude. La seule raison qui reste alors au «pauvre écrivaillon» pour vivre est l’insulte, celle qui ne fait pas grandir. Celle qui rend son auteur servile jusqu’à l’éternité. Une attitude qui, en vérité, fait apparaître le vrai visage de Ouettar. «Celui qui veut être cité dans le village, n’a qu’à faire ses excréments à la fontaine», dit le proverbe kabyle. Tahar Ouettar l’a fait.

    Ali Boukhlef. La Dépêche de Kabylie
    Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

  • #2
    Voici le texte intégral de l'article d'El Watan


    A propos de l'assassinat de Tahar Djaout : Tahar Ouettar persiste et signe.

    C'est lors de la conférence-débat qu'il a donnée hier au Centre culturel français que l'auteur du roman Ez-zilzel, après une présentation sommaire de cette œuvre publiée en 1973, s'est prêté aux questions de l'assistance constituée d'universitaires, d'enseignants, d'hommes de culture et d'étudiants.
    Le débat qui prenait de la hauteur a complètement chauffé et ce, après que Tahar Ouettar, sans en démordre aucunement, a confirmé devant les présents avoir bien déclaré ce qu'il lui a été prêté à la suite de l'assassinat de Taher Djaout. Le ton a vite fait de monter, vu que la réaction de certains présents ne pouvait déboucher que sur une fiévreuse polémique, n'était l'intervention d'un responsable du CCF, les choses auraient dégénéré. Tahar Ouettar indiquera : « J'avais dit à une journaliste étrangère à propos de l'assassinat de Tahar Djaout que c'était une perte pour la France. » Pour se justifier, il ajoutera : « Il y a eu à l'époque de l'incident une levée de boucliers contre moi par les Kabyles qui avaient tous des journaux ».
    A la fin de la conférence, l'auteur n'a pas assisté au buffet auquel il a été convié, ceux qui étaient là ont fait état de leur réprobation à propos de telles déclarations, certains ont même qualifié les dires de l'auteur d'« indignes d'un être humain et encore plus indignes quand il s'agit d'un écrivain ».
    Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

    Commentaire


    • #3
      Bonsoir !

      ça c'est la meilleure!

      Ouettar qui ose parler et faire des commentaires sur Djaout , j'aurai tout lu.

      N'aurait-il aucun respect pour la plume qu'il tient entre les mains?
      Sait il au moins ce que le mot respect veut dire?
      A t-il au moins souvenir des rudiments de la bien séance quand on évoque un mort un martyre de la nation?
      « J'avais dit à une journaliste étrangère à propos de l'assassinat de Tahar Djaout que c'était une perte pour la France. » Pour se justifier, il ajoutera : « Il y a eu à l'époque de l'incident une levée de boucliers contre moi par les Kabyles qui avaient tous des journaux ».
      Sérieux je suis écœurée par ce que je lis c'est une honte.C'est une honte de tenir de tels propos .
      Comme si Ouattar pouvait interessé ou retenir l'intention de quelqu'un pour être sujet à un complot KABYLE !

      C'est qu'il s'accorde un peu trop d'importance ce Bâathiste de 1er classe, à croire que son oeuvre, aussi médiocre soit elle est marqué la litérature algérienne.

      Sérieux il n'aurait-il pas un critique littéraire qui aurait pitié de cet ignorant lettré pour lui dire ce que vaut réellement son travail de bas de gamme.

      Quand des remontrances personnelles et un jugement subjectif prennent la parole.
      Tahar Outtar
      « Je suis né dans un douar de la compagne, d'une famille qui comptait quatre garçons, mon père en a mis deux à l'école de langue française, deux à l'école en langue arabe. J'ai vécu dans la pureté, de l'existence, nourri du spectacle des collines sur lesquelles tombait le crépuscule, jouant de la flûte derrière les brebis et les oies. J'ai été témoin de l'herbisme .

      Ma mère accouchant toute seule, ma mère encore montant la garde la nuit sur le toit. J’ai saisi le sérieux de la nature et des hommes qui m’entouraient. Dans le coran que j’apprenais par cœur, j’ai reconnu l’éloquence et la beauté. Ceci se passait avant la Révolution ; depuis d’autres facteurs sont venus enrichir ma personnalité ». (source :Algérie-monde.com)
      .
      “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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      • #4
        « Ce menteur, cet hypocrite »..
        c’est comme ça qu’il a été traité par Rachid Boudjedra qui justement écrit dans les deux langues
        Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

        Commentaire


        • #5
          Je vois que vous avez sur-interpréter les dires de l'homme.
          Et finalement vous faites pire que lui.
          Imprévisible, WATTAR est reconnu comme un écrivain de grande qualité, maintes fois consacré.
          J'ajouterai que venant d'Elwatan, ça ne m'étonne pas, ce type de polémique.
          Ainsi va le monde

          Commentaire


          • #6
            Tahar Ouettar aurait il eu un prix nobel de médecine ?
            Parce qu'en ce moment il paraît que ce sont les vieux prix nobel qui disent des âneries ...

            Commentaire


            • #7
              « J'avais dit à une journaliste étrangère à propos de l'assassinat de Tahar Djaout que c'était une perte pour la France. »
              Et Vous, vous les Interpretez de quelle manière Houmaiz ? Au cas où quelques subtilités linguistiques nous auraient echappé.

              Commentaire


              • #8
                Il a pas besoin d'avocat

                Envoyé par houmaiz
                Imprévisible, WATTAR est reconnu comme un écrivain de grande qualité, maintes fois consacré.
                Pour avoir lu ses écrits et avoir connu l'auteur qu'il est je suis en mesure de me faire ma propre opinion de ce énième scripte qui s'évertue de brillé aux côté de grand comme Djaout !

                C'est tout simplement une honte, la petitesse et la bassesse de cette attaque à l'encontre de Djaout n'est pas digne de son titre de pseudo-lettré.

                Rien que son commentaire qui spécifie les Kabyle est une honte .

                Alors de là à se pencher sur la bassesse de l'attaque contre la mémoire de Djaout ça en devient écœurant.

                Grande qualité dis tu !?

                J'en connais de plus grand, plus audacieux, plus courageux à qui on a ôter la vie de peur qu'il influence les masse .

                Wattar qui ose parler de Djaout c'est la blague du siècle, sa plume est connue, il a été assez longtemps dans les colonnes de "Al châabe" pour en faire le tour.

                L'audace et le courage de Djaout ils ne sont pas des masses a l'avoir et ce n'est certainement pas ouattar qui va nous dire le contraire lui qui s'était fait invisible et muet durant la décennie noire.

                Le mieux pour lui est de continuer dans son mutisme, certes il a un segment sur le marché du livre mais il est tellement infime petit minuscule qu'on le voit pas comme en l'entends pas.

                La mort de Djaout Monsieur ouattar (bien que le Monsieur ne vous sied pas du tout) Donc la mort de Djaout est ce qui vous permet aujourd'hui d'être l'hôte de la république française vue que Monsieur vous étiez au sien d'une institution française (CCF)

                Vous n'êtes pas le gardien de la mémoire de Djaout pour vous permettre même l'espace d'une seconde de dire a qui profite sa mort ou a qui elle fait défaut , il s'agit d'un patriote Algérien,

                Djaout nous en sommes fiers, Djaout est notre icône et nôtre référence, Djaout l'homme, l'écrivain, le poète, le journaliste, l'intellectuel, le citoyen Algérien , il est mort pour l'Algérie, sa mère patrie notre mère patrie.

                Djaout est l'algérien de tout les algériens .

                Concepts que Ouattar à du mal a comprendre ou a saisir .
                Dernière modification par l'imprevisible, 24 octobre 2007, 20h34.
                “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

                Commentaire


                • #9
                  Les insultes fusent mais je cherche encore ce qu'a dit de mal ce Wattar ?

                  Il a été une perte pour la France ?
                  So what ?
                  Il est apprécie et lu en France parce qu'il écrit en français... Il est normal qu'il soit une perte pour le lectorat français...

                  Qu'a donc fait ce Wattar pour ce mériter ce feu d'artifice d'insultes ?

                  Djaout aurait bien aimé savoir qu'il serait une perte pour la France; lui qui n'était malheureusement pas lu en Algérie...
                  Comme bien d'autres d'ailleurs.
                  En Algérie, on ne lit plus en français.
                  Dommage car le lecteur algérien gagnerait à lire un auteur aussi puissant que Djaout

                  Commentaire


                  • #10
                    réponse d'Ali la riposte à Ouatar

                    Résultat de sa ménopause intellectuelle
                    L'attaque éhontée de Tahar Ouettar contre Djaout et les Kabyles

                    Tahar Ouattar, après s'être embrouillé avec de nombreux écrivains, vient de démontrer qu'il n'a aucun respect même pour les morts et aucune considération pour leur mémoire.

                    Au cours d'une conférence animée au Centre culturel français, Ouettar, a encore une fois récidivé dans son attaque contre la mémoire du martyr de la plume, Tahar Djaout. Notre confrère du journal El Watan a rapporté, dans son édition d'hier, que l'auteur de l'AS a persisté dans sa conviction selon laquelle le premier journaliste assassiné par les terroristes en 1993 était «une perte pour la France». Pire, ne se contentant pas de souiller la mémoire de Djaout, Ouettar s'attaque aux «Kabyles» qui étaient à l'origine «d'une levée de boucliers» contre lui, parce que, précise-t-il, «ils avaient des journaux». Le commentaire aurait pu passer inaperçu si la personne attaquée était encore en vie. L'auteur des Chercheurs d'os serait en mesure de répliquer s'il était encore de ce monde. Mais la lâcheté n'a visiblement pas de limite.

                    Sans honte ni pudeur, le baâthiste n'a pas le courage d'avancer que ce qui le dérange chez Djaout et ses compères de la «famille qui avance», définis ici comme «Kabyles» possédant des journaux, c'est sa différence idéologique beaucoup plus que son utlisation de langue française comme moyen d'expression. Djaout, et nous avec lui, était sans doute fier de maîtriser la belle langue de Molière. Il était sans doute fier d'être Algérien, d'appartenir à ce beau pays qu'est l'Algérie.

                    Ouettar détient-il le brevet de nationalisme ? Est-il plus algérien que Djaout parce qu'il écrit en langue arabe ? Sans doute que non. Mais ce que Ouettar a oublié de dire c'est que Djaout est entré au Panthéon de l'histoire par sa grande porte, lui qui ne cessait de produire et de combattre, par sa seule plume, sans entrer dans les bassesses de ses détracteurs, l'hydre intégriste. Alors que les baâthistes de tout bord, Tahar Ouettar en tête, se sont éclipsés de la scène. Au lieu de combattre le mal, ils tentaient de le justifier. «La famille qui avance» - cette belle formule employée par Djaout et reprise par Matoub- n'est jamais tombée dans le caniveau. Elle combat avec détermination et honneur. Certains, Djaout en est le symbole, l'ont payé de leur vie. D'autres ont survécu et continuent de veiller, vaillemment, sur les acquis en attendant plus. Tout le mondre aura remarqué que l'auteur de «Zilzel», qui a mangé à tous les râteliers -il avait notamment applaudi toutes les décisions de la dictature du parti unique- est atteint d'une «ménopause intellectuelle». Il n'y a plus de «révolution agricole» qui va lui inspirer un écrit ni de Cour qui va le classer dans le giron des «grands écrivains» dont le seul mérite est le degré de servitude. La seule raison qui reste alors au «pauvre écrivaillon» pour vivre est l'insulte, celle qui ne fait pas grandir. Celle qui rend son auteur servile jusqu'à l'éternité. Une attitude qui, en vérité, fait apparaître le vrai visage de Ouettar. «Celui qui veut être cité dans le village, n'a qu'à faire ses excréments à la fontaine», dit le proverbe kabyle. Tahar Ouettar l'a fait.

                    Commentaire


                    • #11
                      ouettar a yakad'um u-xessar,

                      Le DRS a assassine Tahar Djaout.

                      le DRS se sert de tahar Ouettar.

                      Djaout: une algerie de lumiere que l on assassine.
                      Ouettar: une algerie obscurantiste que l on entretient, tout comme les madani mezrag, belhadj etc.....

                      Tahar Djaout n h'amlit. I mazal adarwen at u-zeffun.

                      assassinez les par balles,
                      re-enterrez les avec vos mots assassins,
                      la verite avancera malgre vous,
                      geolier de la lumiere,
                      jaloux de son eclat,
                      Dont Djaout etait un phare!
                      qqed' ulik a mmis n l a'ar!

                      mmis
                      Lu-legh-d d'aq-vayli, d-ragh d'aq-vayli, a-d'em-tegh d'aq-vayli.

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                      • #12
                        Pourquoi il a dit que c'était une perte pour la france ???????!!!!!!!!!!

                        Commentaire


                        • #13
                          Il a pas besoin d'avocat
                          Je ne suis pas l'avocat de Wattar mais je considère ses propos avec bcp plus de recule, car moi je ne suis pas otage de ton extrémisme berberiste.
                          Pour avoir lu ses écrits et avoir connu l'auteur qu'il est je suis en mesure de me faire ma propre opinion de ce énième scripte qui s'évertue de brillé aux côté de grand comme Djaout !
                          Ce n'est certainement pas ton opinion qui lui contestera son statut d'écrivain dont le reconnaissance comme tel déborde largement les frontières de l'Algérie.
                          Rien que son commentaire qui spécifie les Kabyle est une honte .
                          est-ce un crime de dire que les Kabyles dispose de moyens de communication.
                          Alors de là à se pencher sur la bassesse de l'attaque contre la mémoire de Djaout ça en devient écœurant.
                          je m'étonne vraiment de cet surexploitation de cet incident dit des années auparavant, Djaout aurait très bien dit la même chose si c'était Wattar qui est mort, ça serait alors Ce n'est pas une perte pour l'Algérie mais pour le Caire ou un autre centre arabophone
                          Au demeurant, cette exhibition formelle qui développe un excès de sensibilité à laquelle tu te livres dans ton poste cache l'inconsistance de ton contenu et l'infondé de tes critiques.
                          Ainsi va le monde

                          Commentaire


                          • #14
                            posté par jawzia
                            Et Vous, vous les Interpretez de quelle manière Houmaiz ? Au cas où quelques subtilités linguistiques nous auraient echappé.
                            Je les interprète avec mesure, no less no more de ce qu'elles veulent vraiment dire.
                            Ce genre de choses arrivent souvent entre écrivains francophones et arabophones, dans un pays comme le notre à la croisé des langues et des cultures dans des situations souvent conflictuelles, il faut pas s'attendre à ce que les écrivains de tous bords se fassent la court.
                            Ainsi va le monde

                            Commentaire


                            • #15
                              houmaiz

                              car moi je ne suis pas otage de ton extrémisme berberiste.
                              Sois plus clair et direct dans tes propos!

                              C'est qui l'extrémiste ici exactement , ne fais pas de détours ou d'extrapolations car le mot extrémiste très cher est fort et c'est une accusation grave !

                              Relis encore mes postes tu finiras par saisir le message , pour ce qui du fondement de ma critique n'ai pas d'inquiétudes je sais toujours de quoi de parle.

                              Ouattar n'est certainement pas en mesure de faire des commentaires sur Djaout ou qui que ce soit d'autres

                              Ce sont là des insultes !!
                              Dernière modification par l'imprevisible, 24 octobre 2007, 22h04.
                              “La vérité est rarement enterrée, elle est juste embusquée derrière des voiles de pudeur, de douleur, ou d’indifférence; encore faut-il que l’on désire passionnément écarter ces voiles” Amin Maalouf

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