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L'activité du commerce de détail était sensiblement plus importante que celle du commerce de gros au cours du second trimestre 2007, selon une enquête d'opinion sur le commerce en Algérie effectuée par l'Office national des statistiques (ONS) et reprise par l'APS. Il est rapporté aussi que l'activité commerciale en Algérie a connu une légère baisse au 2ème trimestre par rapport aux trois premiers mois de l'année. Selon cette même source, l'enquête menée dans 533 entreprises commerciales, dont 255 publiques et 278 privées, fait ressortir une baisse de l'activité, notamment dans le commerce des produits de la droguerie, de la quincaillerie, des appareils électroménagers et de la parfumerie (DQAEMP), des matières premières et demi-produits et dans le commerce multiple.
On y lit aussi que, d'après les commerçants enquêtés, l'activité a, en revanche, augmenté dans le commerce des machines et matériels pour équipement est restée stable dans l'agroalimentaire. La plupart des commerçants grossistes se plaignent de l'éloignement et de la dispersion des sources d'approvisionnement, alors que les détaillants trouvent les délais d'approvisionnement trop longs et la disponibilité de beaucoup de produits plutôt aléatoire. A en croire les résultats de la même enquête, près de 90% des grossistes et près de 88% des détaillants ont déclaré avoir enregistré, pendant le trimestre considéré des ruptures de stocks touchant tous les produits à l'exception de ceux du commerce multiple (hors grands groupes de produits). La majorité des commerçants détaillants se sont approvisionné, au cours du second trimestre, auprès des deux secteurs, alors que la plupart des grossistes l'ont fait auprès du secteur privé, notamment ceux de l'agroalimentaire et de la branche DQAEMP. En outre, les prix d'acquisition étaient «plus élevés» en 2007, selon l'opinion des deux catégories de commerçants. Cette augmentation concernait tous les produits sans exception, révèle l'enquête de l'ONS.
Le taux de satisfaction des commandes n'a même pas atteint les 50%, par rapport aux besoins exprimés, selon l'opinion de 59% des détaillants, et touche principalement le commerce des machines et matériels pour équipement, et celui des matières premières et des demi-produits. En revanche, le taux de satisfaction des commandes des produits était supérieur à 50%, selon les grossistes des produits agroalimentaires et de la branche DQAEMP. Pour ce qui est de la demande, objet de la même enquête, elle a augmenté durant le deuxième trimestre de l'année en cours pour les détaillants et les grossistes.
La hausse a touché tous les produits à l'exception des divers qui sont restés stables. Il est aussi prescrit dans le rapport d'enquête que les prix de vente ont connu une baisse, d'après les grossistes, et une hausse, selon les détaillants. Cette hausse des prix aurait touché principalement les matières premières et demi-produits et les machines et matériels pour équipement. Cependant, les prix des produits de l'agroalimentaire et ceux de la branche DQAEMP ont baissé.
L'enquête révèle par ailleurs que seulement quelques vendeurs de machines et matériels pour équipement et ceux du commerce multiple ont déclaré avoir acheté leur marchandise en deuxième, voire en troisième main. L'état de la trésorerie est jugé «moyen» chez les deux catégories de commerçants. Plus de 86% des grossistes et 27% des détaillants ont déclaré avoir recouru à des crédits bancaires et la plupart des détaillants ont eu des difficultés à les contracter.
Côté perspectives, l'activité commerciale «connaîtra une hausse», selon les détaillants et les grossistes touchés par l'enquête ONS, qui laissait envisager par ailleurs une «stabilité des prix de détail et une baisse des prix de gros sur le court terme». Une estimation qui s'est avérée juste si l'on se réfère aux prix pratiqués au cours du troisième trimestre et au début du quatrième, les prix au détail n'ont pas connu de hausse.
source : la tribune
On y lit aussi que, d'après les commerçants enquêtés, l'activité a, en revanche, augmenté dans le commerce des machines et matériels pour équipement est restée stable dans l'agroalimentaire. La plupart des commerçants grossistes se plaignent de l'éloignement et de la dispersion des sources d'approvisionnement, alors que les détaillants trouvent les délais d'approvisionnement trop longs et la disponibilité de beaucoup de produits plutôt aléatoire. A en croire les résultats de la même enquête, près de 90% des grossistes et près de 88% des détaillants ont déclaré avoir enregistré, pendant le trimestre considéré des ruptures de stocks touchant tous les produits à l'exception de ceux du commerce multiple (hors grands groupes de produits). La majorité des commerçants détaillants se sont approvisionné, au cours du second trimestre, auprès des deux secteurs, alors que la plupart des grossistes l'ont fait auprès du secteur privé, notamment ceux de l'agroalimentaire et de la branche DQAEMP. En outre, les prix d'acquisition étaient «plus élevés» en 2007, selon l'opinion des deux catégories de commerçants. Cette augmentation concernait tous les produits sans exception, révèle l'enquête de l'ONS.
Le taux de satisfaction des commandes n'a même pas atteint les 50%, par rapport aux besoins exprimés, selon l'opinion de 59% des détaillants, et touche principalement le commerce des machines et matériels pour équipement, et celui des matières premières et des demi-produits. En revanche, le taux de satisfaction des commandes des produits était supérieur à 50%, selon les grossistes des produits agroalimentaires et de la branche DQAEMP. Pour ce qui est de la demande, objet de la même enquête, elle a augmenté durant le deuxième trimestre de l'année en cours pour les détaillants et les grossistes.
La hausse a touché tous les produits à l'exception des divers qui sont restés stables. Il est aussi prescrit dans le rapport d'enquête que les prix de vente ont connu une baisse, d'après les grossistes, et une hausse, selon les détaillants. Cette hausse des prix aurait touché principalement les matières premières et demi-produits et les machines et matériels pour équipement. Cependant, les prix des produits de l'agroalimentaire et ceux de la branche DQAEMP ont baissé.
L'enquête révèle par ailleurs que seulement quelques vendeurs de machines et matériels pour équipement et ceux du commerce multiple ont déclaré avoir acheté leur marchandise en deuxième, voire en troisième main. L'état de la trésorerie est jugé «moyen» chez les deux catégories de commerçants. Plus de 86% des grossistes et 27% des détaillants ont déclaré avoir recouru à des crédits bancaires et la plupart des détaillants ont eu des difficultés à les contracter.
Côté perspectives, l'activité commerciale «connaîtra une hausse», selon les détaillants et les grossistes touchés par l'enquête ONS, qui laissait envisager par ailleurs une «stabilité des prix de détail et une baisse des prix de gros sur le court terme». Une estimation qui s'est avérée juste si l'on se réfère aux prix pratiqués au cours du troisième trimestre et au début du quatrième, les prix au détail n'ont pas connu de hausse.
source : la tribune