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Qui a dit que la jeunesse algérienne ne veut pas travailler ? Pourvu qu’on lui donne l’occasion. C'est encourageant ce n'est pas tous les jeunes qui veulent devenir des harragas.
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Autoroute Est-Ouest Le siège du consortium japonais paralysé par des chômeurs
Quotidien d'Oran
25/10/2007
Par A. B.
Dans la matinée d'hier, des citoyens en colère ont manifesté leur mécontentement en barrant la route qui mène au siège du consortium japonais COJAAL, situé dans l'agglomération de Saïd Bousbaâ, à quelques encablures d'El-Harrouch.
Ils étaient plusieurs centaines de jeunes à avoir observé un sit-in devant le siège de COJAAL, entreprise à laquelle ont été confiés les travaux de réalisation du projet de l'autoroute Est-Ouest, particulièrement le tronçon traversant la wilaya de Skikda.
Les manifestants en colère entendent ainsi dénoncer les méthodes de recrutement en usage au sein de cette entreprise jugées peu orthodoxes. Ils ont mis en exergue le «recours systématique au recrutement de travailleurs d'autres wilayas au détriment des autochtones mêmes, s'agissant de main-d'œuvre non qualifiée», en totale contradiction avec les textes en vigueur, ont-ils affirmé, alors que le chantier est tout près d'eux, puisque l'autoroute traverse leur région. Il est à souligner que dans cette partie de la wilaya l'emploi est une denrée rare.
Les gendarmes d'El-Harrouch sont intervenus rapidement pour éviter d'éventuels débordements après la paralysie des activités de l'entreprise qui s'est poursuivie toute la journée.
Une commission composée d'un représentant de la wilaya, du bureau de main-d'œuvre, de l'inspection du travail, de l'UGTA et de la société COJAAL est à pied d'œuvre pour étudier les revendications soulevées.
Après une séance de travail au siège de l'union territoriale UGTA, les membres de la commission se sont déplacés au siège de la société COJAAL où jusqu'au moment où nous mettons sous presse, aucune information n'avait encore filtré.
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Autoroute Est-Ouest Le siège du consortium japonais paralysé par des chômeurs
Quotidien d'Oran
25/10/2007
Par A. B.
Dans la matinée d'hier, des citoyens en colère ont manifesté leur mécontentement en barrant la route qui mène au siège du consortium japonais COJAAL, situé dans l'agglomération de Saïd Bousbaâ, à quelques encablures d'El-Harrouch.
Ils étaient plusieurs centaines de jeunes à avoir observé un sit-in devant le siège de COJAAL, entreprise à laquelle ont été confiés les travaux de réalisation du projet de l'autoroute Est-Ouest, particulièrement le tronçon traversant la wilaya de Skikda.
Les manifestants en colère entendent ainsi dénoncer les méthodes de recrutement en usage au sein de cette entreprise jugées peu orthodoxes. Ils ont mis en exergue le «recours systématique au recrutement de travailleurs d'autres wilayas au détriment des autochtones mêmes, s'agissant de main-d'œuvre non qualifiée», en totale contradiction avec les textes en vigueur, ont-ils affirmé, alors que le chantier est tout près d'eux, puisque l'autoroute traverse leur région. Il est à souligner que dans cette partie de la wilaya l'emploi est une denrée rare.
Les gendarmes d'El-Harrouch sont intervenus rapidement pour éviter d'éventuels débordements après la paralysie des activités de l'entreprise qui s'est poursuivie toute la journée.
Une commission composée d'un représentant de la wilaya, du bureau de main-d'œuvre, de l'inspection du travail, de l'UGTA et de la société COJAAL est à pied d'œuvre pour étudier les revendications soulevées.
Après une séance de travail au siège de l'union territoriale UGTA, les membres de la commission se sont déplacés au siège de la société COJAAL où jusqu'au moment où nous mettons sous presse, aucune information n'avait encore filtré.
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