Les Amazighs du Souss indésirables au festival de l’ « in-tolérance » organisé chez eux, à Agadir.
"Nous n'avons rien à voir là-dedans, c'est TF1 qui se charge de la programmation". C’est avec cette phrase on ne peut laconique qu’un organisateur – non-identifié bien évidemment- du festival de l'in-tolérance d'Agadir a résolu le problème de l’exclusion des artistes amazighs du Souss. Au-delà du caractère scandaleux de ce genre de propos (c'est TF1 qui est souveraine maintenant au Maroc), on imagine même qu'il doit être surpris que l'on lui pose une telle question. Tellement il doit penser que les Amazighs ne ruent jamais dans les brancards. Comme des débiles mentaux, ils acceptent tout et n’importe quoi !
Qui sont donc ses « magnifiques » organisateurs ? Bien sûr il y a la mairie d'Agadir et à sa tête un certain Qabbaj, membre d'un parti tristement célèbre par son arabo-bâathisme et son amazighophobie, l'USFP. Que ce monsieur déteste les Amazighs, ce n'est vraiment pas une surprise. On n’a même pas à invoquer l'idéologie de son parti, que l’on regarde juste son nom... andalous ! Il y a aussi le président de la région, Aziz Akhnouch, qui se targue, toujours crânement, sans qu'on l'interroge, de ne faire jamais dans ce qu’il appelle le régionalisme. C'est-à-dire privlégier les compétences du Souss dont il préside pourtant les destinées. En fait, celui-ci est très fier d'exclure les siens, même si beaucoup le considèrent comme n'ayant aucun lien avec le Souss. Il est de notorièté publique qu’il ne parle pas un mot de la langue amazighe !
Pire, ce n'est pas les preuves - l’exclusion des Soussis- à sa décharge qui manquent. Regardez juste l'organigramme du festival de Timitar pour en avoir le cœur net ! Quant à sa programmation, elle, c'est un scandale permanent. Censé promouvoir la culture amazighe du Souss, il promeut surtout un gros n'importe quoi. Et tout cela non pas avec son argent, mais du Souss, une région qui, malgré son immense richesse, meurt de soif et ses populations souffrent de toutes les privations. D'ailleurs, il n'y a pas si longtemps, non loin d'Agadir d'ailleurs, toute une famille est morte à la recherche de l'eau. Mais on n'a jamais entendu et encore moins vu Khikhich, pardon Akhnouch, prompt à dégainer ses gros chèques pour dépanner toutes sortes d'arabistes en mal d'argent, se déplacer sur place comme ferait un responsable qui se respecte.
En fait, ces irresponsables- c’est vraiment le cas de le dire-, souvent autoproclamés ou parachutés directement par le Makhzen amazighophobe, veulent un Souss "développé" – c'est du moins ce dont ils nous rebattent les oreilles-, mais sans les Soussis et sans leur culture " archaïque ". En fait, riche qu'il est, le Souss est très aimé, car, pour eux, c'est une vache à lait. Intarissable. Et pourtant, si ce n'était pas ces mêmes Soussis, le Souss ne serait jamais là où il est maintenant. C'était eux qui l'ont sorti des limbes du Maroc inutile pour devenir, sans compter sur personne, sans aucune infrastructure, la 2 e région économique du pays. À voir comment ils sont traités, il est certain que c'est déjà oublié. En fait, ils ont tout construit, mais ce sont de parfaits étrangers, amazighophobes en plus, qui en profitent. C'est terriblement injuste. Tout le monde le sait. Mais peu le disent.
Exclus totalement par l'État marocain foncièrement anti-amazigh, les Soussis sont aussi exclus, chez eux, dans leur propre région. Avec leur propre argent en plus. En fait, les Amazighs sont toujours les dindons de la farce! En tous les cas, ce festival de l' « in-tolérance » le prouve bien. Aux Soussis, il faut plus qu’un sursaut. Il ne faut absolument pas laisser passer cela. Il ne faut pas rester les bras croisés devant cette provocation de colonialistes français et leurs amis de toujours, les arabistes racistes. Il faut que les Soussis et plus précisément les Agadirois se débarrassent de cette mentalité de laisser-aller et de laisser faire. Il faut savoir un moment dire non. Trop c’est trop !
Déjà que les mafias de la prostitution et du proxénétisme ont transformé leur ville en un monstrueux lupanar avec son lot de sidéens à tous les coins de rue. Eux qui ont toujours été à cheval sur une moralité stricte et les bonnes mœurs. S'ils continuent comme cela, il est certain que c'est eux qu'on va faire… disparaître. Dévinitivement. Avant donc que ce soit trop tard, il faut agir et réagir, immédiatement, et botter en touche tous ces amazighophobes notoires qui colonisent leur ville et leur région. C'est connu, les droits ne se donnent jamais. Ils s'arrachent plutôt. Toujours.
source: bellaciao
"Nous n'avons rien à voir là-dedans, c'est TF1 qui se charge de la programmation". C’est avec cette phrase on ne peut laconique qu’un organisateur – non-identifié bien évidemment- du festival de l'in-tolérance d'Agadir a résolu le problème de l’exclusion des artistes amazighs du Souss. Au-delà du caractère scandaleux de ce genre de propos (c'est TF1 qui est souveraine maintenant au Maroc), on imagine même qu'il doit être surpris que l'on lui pose une telle question. Tellement il doit penser que les Amazighs ne ruent jamais dans les brancards. Comme des débiles mentaux, ils acceptent tout et n’importe quoi !
Qui sont donc ses « magnifiques » organisateurs ? Bien sûr il y a la mairie d'Agadir et à sa tête un certain Qabbaj, membre d'un parti tristement célèbre par son arabo-bâathisme et son amazighophobie, l'USFP. Que ce monsieur déteste les Amazighs, ce n'est vraiment pas une surprise. On n’a même pas à invoquer l'idéologie de son parti, que l’on regarde juste son nom... andalous ! Il y a aussi le président de la région, Aziz Akhnouch, qui se targue, toujours crânement, sans qu'on l'interroge, de ne faire jamais dans ce qu’il appelle le régionalisme. C'est-à-dire privlégier les compétences du Souss dont il préside pourtant les destinées. En fait, celui-ci est très fier d'exclure les siens, même si beaucoup le considèrent comme n'ayant aucun lien avec le Souss. Il est de notorièté publique qu’il ne parle pas un mot de la langue amazighe !
Pire, ce n'est pas les preuves - l’exclusion des Soussis- à sa décharge qui manquent. Regardez juste l'organigramme du festival de Timitar pour en avoir le cœur net ! Quant à sa programmation, elle, c'est un scandale permanent. Censé promouvoir la culture amazighe du Souss, il promeut surtout un gros n'importe quoi. Et tout cela non pas avec son argent, mais du Souss, une région qui, malgré son immense richesse, meurt de soif et ses populations souffrent de toutes les privations. D'ailleurs, il n'y a pas si longtemps, non loin d'Agadir d'ailleurs, toute une famille est morte à la recherche de l'eau. Mais on n'a jamais entendu et encore moins vu Khikhich, pardon Akhnouch, prompt à dégainer ses gros chèques pour dépanner toutes sortes d'arabistes en mal d'argent, se déplacer sur place comme ferait un responsable qui se respecte.
En fait, ces irresponsables- c’est vraiment le cas de le dire-, souvent autoproclamés ou parachutés directement par le Makhzen amazighophobe, veulent un Souss "développé" – c'est du moins ce dont ils nous rebattent les oreilles-, mais sans les Soussis et sans leur culture " archaïque ". En fait, riche qu'il est, le Souss est très aimé, car, pour eux, c'est une vache à lait. Intarissable. Et pourtant, si ce n'était pas ces mêmes Soussis, le Souss ne serait jamais là où il est maintenant. C'était eux qui l'ont sorti des limbes du Maroc inutile pour devenir, sans compter sur personne, sans aucune infrastructure, la 2 e région économique du pays. À voir comment ils sont traités, il est certain que c'est déjà oublié. En fait, ils ont tout construit, mais ce sont de parfaits étrangers, amazighophobes en plus, qui en profitent. C'est terriblement injuste. Tout le monde le sait. Mais peu le disent.
Exclus totalement par l'État marocain foncièrement anti-amazigh, les Soussis sont aussi exclus, chez eux, dans leur propre région. Avec leur propre argent en plus. En fait, les Amazighs sont toujours les dindons de la farce! En tous les cas, ce festival de l' « in-tolérance » le prouve bien. Aux Soussis, il faut plus qu’un sursaut. Il ne faut absolument pas laisser passer cela. Il ne faut pas rester les bras croisés devant cette provocation de colonialistes français et leurs amis de toujours, les arabistes racistes. Il faut que les Soussis et plus précisément les Agadirois se débarrassent de cette mentalité de laisser-aller et de laisser faire. Il faut savoir un moment dire non. Trop c’est trop !
Déjà que les mafias de la prostitution et du proxénétisme ont transformé leur ville en un monstrueux lupanar avec son lot de sidéens à tous les coins de rue. Eux qui ont toujours été à cheval sur une moralité stricte et les bonnes mœurs. S'ils continuent comme cela, il est certain que c'est eux qu'on va faire… disparaître. Dévinitivement. Avant donc que ce soit trop tard, il faut agir et réagir, immédiatement, et botter en touche tous ces amazighophobes notoires qui colonisent leur ville et leur région. C'est connu, les droits ne se donnent jamais. Ils s'arrachent plutôt. Toujours.
source: bellaciao
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