C'etait une fille, une mer forte;
Toute mimi, toute vetue de folie
A danser sur ses notes,
Je me suis pris dans ses melodies
Elle planait sur l'immense chagrin
Et moi je la regardais ebahi
De douleur à petit feu j'etais, elle vint
Me renversé de vie.
Oui, de noir j'etais
Mais elle, a tous su transformer
Deposer au miroir de mon coeur
une brassée de fleurs au milieu de la piece,
Pour me noyé dans un ocean de couleurs
Seul, à humer les effluves malgré la liesse
Et puis,
C'est quand elle est partie
que j'ai enfin saisi,
Compris que l'on ne voit pas
Ce que l'on gagne dans ce qui est offert,
Mais toujours ce que l'on perd.
De tous les vers des poètes
C'est toujours les tiens que je prefere.
Alors,
Le conteur fou nous dit en poemes
De passer à l'etape, l'essentielle
Mais j'étais trop faible, trop blême
Pour desirer la coupe de l'ivresse
Je preservais l'affection,
Au grand damne de l'âme passionnelle.
Et ton feu sacré, pris d'affliction,
Repris de plus belle.
Tu continuais à jeter des ficelles
Et danser à dessiner des boucles,
Emporté par mon ame et mon coeur
Les mains ligotées, ma tete prit peur
Devant ton incendie
Il ne restait de moi, que des cendres.
Mais de toutes les etoiles,
Aux lueurs éternelles du ciel
De miel eclatant et le regard prit d'étincelle,
Tu es celle qui brille de derriere le voile.
Cette fleur au milieu de l’univers;
C’est encore et toujours,
Celle que je prefere.
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