C’est presque officiel : contrairement au Maroc, l’Algérie ne signera pas d’accord avec la France dans le domaine du nucléaire civil. Selon nos informations, la visite, lundi et mardi, du ministre de l’Energie et des Mines Chakib Khelil s’est achevée sur un constat d’échec. Les deux pays ne sont pas parvenus à s’entendre sur une formule pour se lancer dans une coopération dans le domaine du nucléaire civil, souhaitée par Alger et à laquelle Paris n’était pas hostile.
« Les Algériens n’ont aucun programme pour développer le nucléaire civil et ils ont déjà signé un accord avec les Etats-Unis. Dans ce domaine, la marge de manœuvre avec la France est étroite», selon une source française.
A l’issue de la visite à Paris de Chakib Khelil, la perspective d’un accord dans les prochains mois semble plus éloignée que jamais. Plus inquiétant, les Français pensent que les Algériens ne sont pas prêts pour lancer un programme nucléaire civil. « L’Algérie est le pays de l’Opep où la production industrielle augmente le moins vite », souligne notre source.
L’absence d’un accord entre les deux pays sur le nucléaire consacre le début de ce qui ressemble à un échec du développement bilatéral. En effet, contrairement aux affirmations de Hamid Temmar à Paris, les volets agroalimentaire et pharmacie de la coopération algéro-française connaissent les mêmes difficultés que l’automobile.
Dans ce contexte, la visite d’Etat du président français Nicolas Sarkozy en Algérie en décembre prochain s’annonce difficile.
« Les Algériens n’ont aucun programme pour développer le nucléaire civil et ils ont déjà signé un accord avec les Etats-Unis. Dans ce domaine, la marge de manœuvre avec la France est étroite», selon une source française.
A l’issue de la visite à Paris de Chakib Khelil, la perspective d’un accord dans les prochains mois semble plus éloignée que jamais. Plus inquiétant, les Français pensent que les Algériens ne sont pas prêts pour lancer un programme nucléaire civil. « L’Algérie est le pays de l’Opep où la production industrielle augmente le moins vite », souligne notre source.
L’absence d’un accord entre les deux pays sur le nucléaire consacre le début de ce qui ressemble à un échec du développement bilatéral. En effet, contrairement aux affirmations de Hamid Temmar à Paris, les volets agroalimentaire et pharmacie de la coopération algéro-française connaissent les mêmes difficultés que l’automobile.
Dans ce contexte, la visite d’Etat du président français Nicolas Sarkozy en Algérie en décembre prochain s’annonce difficile.
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