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M. Mohamed Samraoui a été libéré aujourd'hui

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  • M. Mohamed Samraoui a été libéré aujourd'hui

    M. Mohamed Samraoui a été libéré aujourd'hui suite à une décision prise par le juge Ismael Moreno de l'Audience Nationale espagnole.

    M. Samraoui restera cependant en Espagne à la disposition de la justice espagnole qui a demandé aux autorités d'Alger, avant de se prononcer définitivement, de lui faire parvenir dans les meilleurs délais les éléments qui corroborent leurs accusations.

    Il est notoire que le régime d'Alger qui utilise Interpol pour harceler ses opposants ne donne jamais suite aux demandes des juges saisis des dossiers d'extradition pour la simple raison que les accusations relèvent systématiquement de la fabulation.

    A la veille de la commémoration de la glorieuse révolution algérienne, Rachad se félicite de cette libération et constate que les manoeuvres de la part du pouvoir d'Alger ne font en définitive que le discréditer encore plus.

    Secrétariat de Rachad

  • #2
    ça c'est une bonne nouvelle. il est temps que ces criminels de la junte militaire reconnaissent enfin leurs crimes.

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    • #3
      Samraoui. Une arrestation qui embarrasse l’Espagne

      31.10.2007 par Samy Ousi-Ali


      L’ancien lieutenant-colonel de l’armée algérienne, Mohamed Samraoui, croupit depuis le 22 octobre dans une prison espagnole dans l’attente de son éventuelle extradition vers l’Algérie. Objet d’un mandat d’arrêt international émis depuis un mois par la justice algérienne, Samraoui a été arrêté dans la région de Malaga (dans le sud de l’Espagne) alors qu’il participait à une conférence organisée par la Fédération internationale de jeux d’échecs par correspondance (FIJEC). Bien que les accusations portées contre lui soient de nature grave - il est recherché pour « désertion, dénonciations calomnieuses contre l’armée et terrorisme » -, l’ex-officier du Département du renseignement et de la sécurité (DRS) encourt peu de risques d’être livré à la justice de son pays. C’est que Mohamed Samraoui, auteur du livre Chroniques des années de sang (Paris, Denoël 2003), bénéficie depuis 1996 du statut de réfugié politique, délivré par les autorités allemandes. Si son extradition n’est pas donc envisageable dans l’immédiat, le moins que l’on puisse dire est que cette affaire tombe on ne peut plus mal. Alors que les relations entre Alger et Madrid n’ont jamais été aussi tendues en raison de profondes divergences sur des contrats énergétiques, ce dossier risque de les rendre encore plus exécrables.


      Comment cet homme dont on dit cultivé et avisé, comment ce pourfendeur des généraux algériens qu’il accuse d’avoir créé, manipulé et instrumentalisé les groupes islamiques armés (GIA) est-il tombé dans le panneau ? Amateur de jeux d’échecs, Mohamed Samraoui est un habitué des voyages à travers l’Europe pour le compte de la fédération dont il est président. Sa chambre à l’hôtel Alay, à Balmadena (sur la Costa Del Sol), un charmant quatre étoiles avec court de tennis, piscine et bar à tapas, étant réservée depuis plusieurs semaines, Mohamed Samraoui se rend donc au cours de la deuxième quinzaine d’octobre dans la région de Malaga où sa fédération avait convenu d’organiser un tournoi. Son séjour se déroule en toute quiétude jusqu’à ce lundi 22 octobre vers 11h30. Alors que Samraoui assistait à une conférence, deux officiers de la police judiciaire espagnole demandent à lui parler. Munis d’un mandat d’arrêt délivré par le juge d’instruction Ismael Moreno de l’Audience nationale (le tribunal compétent pour juger les crimes internationaux), ils procèdent à son arrestation en vertu d’un mandat d’arrêt international diffusé via Interpol.



      Merci pour le lien.



      Si tu as beaucoup de richesses, donne ton bien.
      Si tu possèdes peu, donne ton coeur!
      Charif Barzouk

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      • #4
        Les escros et voleurs du FLN , sont tous en Francen, apres avoir loué en Algerie leurs appartements qu'ils ont aquis illégalement , et ils vivent en France avec les prestations sociales comme le RMI ,

        Quand à cet escros a fait d'une pierre deux il publie un livre qui lui apporte de l'argent, et il benificie d'une carte de séjour , reste à savoir si il a lassé des biens en Algerie .
        ... « La douleur m’a brisée, la fraternité m’a relevée, de ma blessure a jailli un fleuve de liberté » Mémorial de Caen .

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        • #5
          Mouh

          les escrocs et voleurs qui pillent l'Algérie sont toujours en place. Samraoui ne perçoit pas de prestations sociales et je trouve que le livre qu'il a fait est courageux. D'ailleurs nul ne l'attaque en diffamation car ce qu'il dit est vrai.
          Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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          • #6
            Voici un extrait de ce que Monsieur le Colonel Samraoui affirme tout en étant prêt à témoigner devant le tribunal pénal international (TPI) et ramener les preuves de ce qu'il avance. :


            Les révélations du colonel Mohamed Samraoui de la DRS à Al Jazeera

            L'autre version de la " république "

            Nasreddine Yacine, algeria-watch, 6 août 2001

            Que va-t-on trouver au colonel Mohamed Samraoui dit Habib pour le descendre en flamme ? La presse algérienne n'a pas encore été briefée pour fournir des " éléments " biographiques sur cet ex-officier supérieur des services spéciaux algériens (DRS). Dans quelques jours probablement, les Salima Tlemçani, Mounir Boudjemaâ, Nacer Belhadjoudja, N. Sebti... et autres Anis Rahmani, honorables correspondants du colonel hadj Zoubir (chargé de l'information à la DRS), vont " sévir " à coup d'" infos " pour tenter de discréditer l'auteur des témoignages accablants sur la guerre qui a lieu en Algérie depuis 1992.
            L'émission Bila Houdoud de la chaîne de télévision satellite Aljazeera, diffusée mercredi dernier en début de soirée, n'est pas passée inaperçue. Ils étaient certainement des millions d'algériens à l'avoir suivie. Le lendemain, elle était le sujet de discussion numéro un dans les cafés et dans les longues chaînes interminables pour l'acquisition du fameux formulaire de demande de logement locatif.
            C'est que les révélations de ce colonel de la DRS ont de quoi choquer les " âmes sensibles " " foncièrement républicaines ". Mohamed Samraoui se dit prêt à témoigner devant le tribunal pénal international (TPI) et ramener les preuves de ce qu'il avance. En attendant cet heureux événement, ici les principaux extraits de l'intervention du colonel Mohamed Samraoui :

            L'arrêt du processus électoral et la répression du FIS

            " Le 29 décembre 1991, je m'étais rendu à Blida pour rencontrer le colonel Abdelmalek Bendjedid (frère du président Chadli Bendjedid) pour lui faire part des rumeurs et des bruits qui circulent à propos de l'imminence d'un coup d'Etat contre le président. Abdelmalek me fait part à son tour, en me demandant de garder cela pour moi tout seul, des décisions qui allaient être prises par Chadli en l'occurrence le limogeage des généraux Toufik (patron de la DRS) et de Khaled Nezzar (ministre de la Défense) et leur remplacement respectivement par le général Kamel Lahrache et Dib Makhlouf ".

            " Larbi Belkheir est derrière l'idée des camps du Sud, de la dissolution du FIS et l'assassinat de Boudiaf ".

            " Après les résultats du premier tour des élections législatives, nous avons rencontré plusieurs chefs de partis politiques, dont des petits partis que je ne citerai pas, pour connaître leur avis sur la situation ".

            " Mahfoud Nahnah, que j'ai rencontré le 27 décembre en compagnie du commandant Guettouchi Amar, a exprimé son refus des résultats et était favorable à l'arrêt du processus électoral ".

            " D'autres contacts ont été entrepris avec la société civile dont Benhamouda de l'UGTA pour connaître leurs avis sur cette nouvelle situation et leur demander de bouger en faveur de l'annulation des résultats des élections ".

            " Nous, les officiers, étions également favorables pour l'arrêt du processus électoral. Et pour cause, les hauts responsables de l'armée (généraux) nous ont dressé un tableau noir du FIS en prédisant des lendemains apocalyptiques en cas de l'accession de ce dernier au pouvoir. Ce n'est que plus tard que j'ai compris qu'ils avaient monté tout cela pour leur propre bien et non celui de l'Algérie, et de peur d'être jugés
            Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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            • #7
              ZWINA ,tout militair désesteur sera fusillé sur le champs , ça c'est le reglement militaire, quant à cet individu il ne dénonce pas les gens qui ont
              conduis l'Algerie à la guerre civile , mais il veut accabler les sérvices de sécurité ,dans des massacres de civiles , je l'avait vu une fois sur une chaine tv anglaise ,quant à nos services de sécurité ils ont que sauver le pays d'une somalisation ,et si je comprend on ne peut demander à quelqu'un qui a gagné la guerre de rendre des comptes .
              ... « La douleur m’a brisée, la fraternité m’a relevée, de ma blessure a jailli un fleuve de liberté » Mémorial de Caen .

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              • #8
                Voici un extrait de ce que Monsieur le Colonel Samraoui affirme tout en étant prêt à témoigner devant le tribunal pénal international (TPI) et ramener les preuves de ce qu'il avance. :


                Les révélations du colonel Mohamed Samraoui de la DRS à Al Jazeera

                L'autre version de la " république "

                Nasreddine Yacine, algeria-watch, 6 août 2001

                Que va-t-on trouver au colonel Mohamed Samraoui dit Habib pour le descendre en flamme ? La presse algérienne n'a pas encore été briefée pour fournir des " éléments " biographiques sur cet ex-officier supérieur des services spéciaux algériens (DRS). Dans quelques jours probablement, les Salima Tlemçani, Mounir Boudjemaâ, Nacer Belhadjoudja, N. Sebti... et autres Anis Rahmani, honorables correspondants du colonel hadj Zoubir (chargé de l'information à la DRS), vont " sévir " à coup d'" infos " pour tenter de discréditer l'auteur des témoignages accablants sur la guerre qui a lieu en Algérie depuis 1992.
                L'émission Bila Houdoud de la chaîne de télévision satellite Aljazeera, diffusée mercredi dernier en début de soirée, n'est pas passée inaperçue. Ils étaient certainement des millions d'algériens à l'avoir suivie. Le lendemain, elle était le sujet de discussion numéro un dans les cafés et dans les longues chaînes interminables pour l'acquisition du fameux formulaire de demande de logement locatif.
                C'est que les révélations de ce colonel de la DRS ont de quoi choquer les " âmes sensibles " " foncièrement républicaines ". Mohamed Samraoui se dit prêt à témoigner devant le tribunal pénal international (TPI) et ramener les preuves de ce qu'il avance. En attendant cet heureux événement, ici les principaux extraits de l'intervention du colonel Mohamed Samraoui :

                L'arrêt du processus électoral et la répression du FIS

                " Le 29 décembre 1991, je m'étais rendu à Blida pour rencontrer le colonel Abdelmalek Bendjedid (frère du président Chadli Bendjedid) pour lui faire part des rumeurs et des bruits qui circulent à propos de l'imminence d'un coup d'Etat contre le président. Abdelmalek me fait part à son tour, en me demandant de garder cela pour moi tout seul, des décisions qui allaient être prises par Chadli en l'occurrence le limogeage des généraux Toufik (patron de la DRS) et de Khaled Nezzar (ministre de la Défense) et leur remplacement respectivement par le général Kamel Lahrache et Dib Makhlouf ".

                " Larbi Belkheir est derrière l'idée des camps du Sud, de la dissolution du FIS et l'assassinat de Boudiaf ".

                " Après les résultats du premier tour des élections législatives, nous avons rencontré plusieurs chefs de partis politiques, dont des petits partis que je ne citerai pas, pour connaître leur avis sur la situation ".

                " Mahfoud Nahnah, que j'ai rencontré le 27 décembre en compagnie du commandant Guettouchi Amar, a exprimé son refus des résultats et était favorable à l'arrêt du processus électoral ".

                " D'autres contacts ont été entrepris avec la société civile dont Benhamouda de l'UGTA pour connaître leurs avis sur cette nouvelle situation et leur demander de bouger en faveur de l'annulation des résultats des élections ".

                " Nous, les officiers, étions également favorables pour l'arrêt du processus électoral. Et pour cause, les hauts responsables de l'armée (généraux) nous ont dressé un tableau noir du FIS en prédisant des lendemains apocalyptiques en cas de l'accession de ce dernier au pouvoir. Ce n'est que plus tard que j'ai compris qu'ils avaient monté tout cela pour leur propre bien et non celui de l'Algérie, et de peur d'être jugés
                Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                • #9
                  Mouh

                  Je vois que tu n'as pas lu son livre et encore moins ses interviews car c'est justement les généraux qu'ils dénoncent. Il s'est mis contre sa hierarchie en refusant de jouer un rôle qui ne cadre pas avec l'éthique d'un militaire là pour servir son pays et non pas le mettre à feu et à sang.
                  Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                  • #10
                    L'assassinat de Boudiaf

                    L'assassinat de Mohamed Boudiaf

                    " Les premiers litiges entre Boudiaf et les généraux étaient relatifs au Sahara Occidental, à l'affaire du général Belloucif, et au changement du chef du gouvernement. Boudiaf voulait limoger Sid-Ahmed Ghozali pour le remplacer par Amine Abderrahmane ou Saïd Sadi. Il voulait également déterrer l'affaire Belloucif, mais les généraux n'en voulaient pas de peur que le dossier ne remonte jusqu'à eux ".

                    " Informé d'une pseudo tentative d'insurrection, le 5 mars 1992, qu'aurait dirigé le capitaine Ahmed Chouchène, commandant des forces spéciales à l'académie de Cherchell, Boudiaf s'est étonné de voir que dans la liste qu'on lui présente le grade le plus élevé d'une telle opération est celui de capitaine. Il a donc ordonné le relèvement de ses fonctions et la mise aux arrêts du général Mohamed Lamari, et la nomination du général Khelifa Rahim à sa place. D'ailleurs, je défie quiconque de me montrer un document signé par Mohamed Lamari entre le 29 mars 1992 jusqu'à la mort de Boudiaf ".

                    " La grenade offensive dont se servit Boumaârafi lors de l'assassinat de Boudiaf était dans mon bureau. Elle y a été déposée après l'opération de Télemly dans laquelle sont morts le sous-lieutenant Tarek et le commandant Guettouchi Amar. Je ne l'ai plus revue depuis ".

                    " Boumaârafi est l'assassin de Boudiaf. Il a été ajouté à la liste des éléments du GIS partant pour Annaba par le général Smaïn Lamari après une entrevue des deux hommes dans le bureau de ce dernier. Smaïn a chargé le commandant Hamou de signer l'ordre de mission individuel de Boumaârafi ".

                    " Après l'assassinat de Boudiaf, Boumaârafi devait être abattu à son tour par deux de ses collègues. Doué d'une grande intelligence, il a sauté un mur de deux mètres et s'est livré à la police ".

                    " Le 29 juin 1992, juste après l'assassinat de Boudiaf, nous (responsables des services de sécurité de l'armée) eûmes une réunion avec Khaled Nezzar qui nous a déclaré d'emblée, sans qu'aucune enquête ne soit menée, que "le commandant Hamou est innocent". Il a ensuite réclamé le soutien des services de sécurité pour continuer sa mission ".

                    " Même condamné à mort, Boumaârafi ne sera pas exécuté ".

                    " Le 1er instigateur de l'assassinat de Boudiaf est le général Smaïn Lamari ".
                    Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                    • #11
                      Le GIA

                      J'ai assisté à la naissance du GIA. Il a été créé pendant l'été 1991 par le commandant Guettouchi Amar, mort au cours d'une opération anti-terroriste à Télemly. Il était secondé par le capitaine Djaâfar chargé d'éditer les communiqués et de les transmettre aux journalistes ".

                      " Chebouti, fondateur du MIA, circulait dans une voiture des services, une R9 couleur crème ".

                      Pourquoi la création du GIA ? " Afin de justifier les assassinats qu'ils commettaient pour se débarrasser notamment de certains officiers, comme le colonel Salah, le commandant Boumerdès Farouk dit Rabah, le commandant Djaber, le commandant Hicham (assassiné à Blida)... Les assassinats de plusieurs officiers restent inexpliqués ".

                      " Le GIA a été créé pour servir des desseins, mais ses créateurs ont vite été débordés par d'autres groupes islamiques armés. C'est pour cela que nous utilisions l'appellation "des GIA" ".

                      Intervention téléphonique pendant l'émission du capitaine Ahmed Chouchène, accusé de tentative d'insurrection en mars 1992

                      " J'ai été kidnappé le 3 mars de la caserne. Mais, lorsque cela a été découvert, ils ont dû me présenter devant le tribunal militaire de Béchar et me condamner à 3 années de prison ".

                      " En novembre 1994, une tentative d'insurrection a été provoquée dans la prison de Berrouaghia. Un groupe d'intervention rapide (GIR) numéro 80 de la gendarmerie nationale a tiré et blessé 1200 prisonniers. Par la suite, un autre groupe de la gendarmerie, je répète, un autre groupe cagoulé, est entré pour décapiter 51 parmi les 1200 prisonniers et les brûler. Les corps ont été enterrés dans une fosse commune dans un champ d'exécution de la prison de Berrouaghia. Si des gens ont le courage d'aller vérifier, les corps y sont toujours ".

                      Le colonel Semraoui ajoute : " A sa sortie de prison en 1995, le général Kamel Abderrahmane, patron de la DCSA (Direction Centrale de la Sécurité des Armées), avait demandé à Chouchène d'être l'adjoint de Djamel Zitouni l'émir du GIA ".
                      Les libertés ne se donnent pas, elles se prennent

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                      • #12
                        avec tout ces temoignages la verite eclatera un jour et on comprendra qui est derriere ces années noires et je pense que cette verite a commencé de voir le bout du tunel par ce mohamed samraoui

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                        • #13
                          Zwina:
                          Samraoui ne perçoit pas de prestations sociales et je trouve que le livre qu'il a fait est courageux
                          Ah bon et tu peux nous expliquer en quoi il est courageux?

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                          • #14
                            senfour
                            avec tout ces temoignages la verite eclatera un jour et on comprendra qui est derriere ces années noires et je pense que cette verite a commencé de voir le bout du tunel par ce mohamed samraoui
                            Accroche toi au "qui tue qui"

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