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USA: s'il devient président, Barack Obama discutera avec l'Iran
WASHINGTON - Le candidat démocrate à la Maison Blanche Barack Obama a affirmé vendredi dans un entretien publié par le New York Times que s'il était élu président des Etats-Unis il discuterait directement et sans condition avec l'Iran.
Le sénateur noir de l'Illinois indique que s'il était élu, il engagerait "une diplomatie personnelle dynamique" avec l'Iran.
"Nous sommes disposés à donner certaines assurances dans la mesure où (les Iraniens) se montrent de bonne foi", a dit M. Obama. "Nous ne sommes pas déterminés à obtenir un changement de régime juste pour le changement de régime, mais nous attendons des changements de comportement", a-t-il dit promettant "carotte ou bâton" selon ces changements.
Sa rivale, Hillary Clinton a réagi depuis le New Hamphire (nord-est) en estimant que ce n'était pas "une approche intelligente".
Le favori républicain Rudolph Giuliani, qui a assuré qu'il ne permettrait jamais à l'Iran d'avoir des armes nucléaires, en usant de la force militaire si nécessaire, a également condamné Obama.
"Naïf et irresponsable," a-t-il dit à la presse vendredi, utilisant les mots employés par Mme Clinton il y a quelques mois à propos du sénateur noir.
Washington n'a aucun lien direct avec Téhéran depuis 1979.
L'Iran est devenu l'un des principaux sujets de la campagne présidentielle aux Etats-Unis. Le président George W. Bush a mis en garde contre le risque d'une Troisième Guerre mondiale si l'Iran se dote de l'arme nucléaire. Selon des sondages, une majorité d'Américains considèrent l'Iran comme la principale menace pour la stabilité internationale.
Chez les démocrates, le vote de Hillary Clinton considérant les Gardiens de la révolution iraniens comme "entité terroriste", a ouvert la voie aux critiques. Elle est la seule, sur les huit candidats démocrates, à avoir approuvé ce texte, adopté le 26 septembre au Sénat.
Mardi, lors du débat télévisé des démocrates, Mme Clinton a été prise longuement à partie sur son vote. "On peut argumenter à l'infini au sujet d'une résolution non contraignante affirmant le sentiment du Sénat, mais on manque l'essentiel", s'est-elle défendue. "Je suis contre la ruée vers la guerre. Mais je ne suis pas favorable à ne rien faire. Ce que je souhaite, c'est une diplomatie vigoureuse, soutenue par des sanctions", a-t-elle dit.
Interrogée pour savoir si elle pouvait s'engager à ce que l'Iran ne possède jamais la bombe nucléaire, Mme Clinton a répondu: "J'ai l'intention de faire tout ce qui est en mon pouvoir pour empêcher l'Iran d'avoir la bombe".
Interrogé de la même façon, M. Obama avait évoqué la "politique de la peur" mise en place par le président Bush.
(©AFP / 02 novembre 2007 21h50)
Barak Obama est un exemple probant de ce que les musulmans peuvent faire à travers le monde si jamais ils prenaient conscience que leur propre reussite dans chaque pays occidental (qui est le leur) peut etre une avancee pour l'ensemble des musulmans du monde. Autrement dit : musulmans/musulmanes acceptez d'etre à 100% francais, allemand, americains ou que sais je encore, reussissez investissez vous dans chacun de vos pays gravissez les echelons et ainsi nous pourrons enfin avoir un equilibre des forces dans un souci de justice et de meilleur comprehension entre les civilisations. Les juifs l'ont tres bien compris, c'est d'ailleurs en cela que se trouve toute la clef de leur reussite partout dans ce monde et depuis toujours, prenons exemple sur eux. Je suis contre la double nationalite, n'oublions pas qui nous sommes, ni d'ou nous venons, restons musulmans mais soyons 100% francais. Dechirons nos cartes d'identites algeriennes (sans pour autant oublier l'Algerie evidemment) pour prouver notre loyaute envers la France. Il n'y a que comme ca qu'on y arrivera. En d'autre terme, travaillons et fondons nous dans la masse.
WASHINGTON - Le candidat démocrate à la Maison Blanche Barack Obama a affirmé vendredi dans un entretien publié par le New York Times que s'il était élu président des Etats-Unis il discuterait directement et sans condition avec l'Iran.
Le sénateur noir de l'Illinois indique que s'il était élu, il engagerait "une diplomatie personnelle dynamique" avec l'Iran.
"Nous sommes disposés à donner certaines assurances dans la mesure où (les Iraniens) se montrent de bonne foi", a dit M. Obama. "Nous ne sommes pas déterminés à obtenir un changement de régime juste pour le changement de régime, mais nous attendons des changements de comportement", a-t-il dit promettant "carotte ou bâton" selon ces changements.
Sa rivale, Hillary Clinton a réagi depuis le New Hamphire (nord-est) en estimant que ce n'était pas "une approche intelligente".
Le favori républicain Rudolph Giuliani, qui a assuré qu'il ne permettrait jamais à l'Iran d'avoir des armes nucléaires, en usant de la force militaire si nécessaire, a également condamné Obama.
"Naïf et irresponsable," a-t-il dit à la presse vendredi, utilisant les mots employés par Mme Clinton il y a quelques mois à propos du sénateur noir.
Washington n'a aucun lien direct avec Téhéran depuis 1979.
L'Iran est devenu l'un des principaux sujets de la campagne présidentielle aux Etats-Unis. Le président George W. Bush a mis en garde contre le risque d'une Troisième Guerre mondiale si l'Iran se dote de l'arme nucléaire. Selon des sondages, une majorité d'Américains considèrent l'Iran comme la principale menace pour la stabilité internationale.
Chez les démocrates, le vote de Hillary Clinton considérant les Gardiens de la révolution iraniens comme "entité terroriste", a ouvert la voie aux critiques. Elle est la seule, sur les huit candidats démocrates, à avoir approuvé ce texte, adopté le 26 septembre au Sénat.
Mardi, lors du débat télévisé des démocrates, Mme Clinton a été prise longuement à partie sur son vote. "On peut argumenter à l'infini au sujet d'une résolution non contraignante affirmant le sentiment du Sénat, mais on manque l'essentiel", s'est-elle défendue. "Je suis contre la ruée vers la guerre. Mais je ne suis pas favorable à ne rien faire. Ce que je souhaite, c'est une diplomatie vigoureuse, soutenue par des sanctions", a-t-elle dit.
Interrogée pour savoir si elle pouvait s'engager à ce que l'Iran ne possède jamais la bombe nucléaire, Mme Clinton a répondu: "J'ai l'intention de faire tout ce qui est en mon pouvoir pour empêcher l'Iran d'avoir la bombe".
Interrogé de la même façon, M. Obama avait évoqué la "politique de la peur" mise en place par le président Bush.
(©AFP / 02 novembre 2007 21h50)
Barak Obama est un exemple probant de ce que les musulmans peuvent faire à travers le monde si jamais ils prenaient conscience que leur propre reussite dans chaque pays occidental (qui est le leur) peut etre une avancee pour l'ensemble des musulmans du monde. Autrement dit : musulmans/musulmanes acceptez d'etre à 100% francais, allemand, americains ou que sais je encore, reussissez investissez vous dans chacun de vos pays gravissez les echelons et ainsi nous pourrons enfin avoir un equilibre des forces dans un souci de justice et de meilleur comprehension entre les civilisations. Les juifs l'ont tres bien compris, c'est d'ailleurs en cela que se trouve toute la clef de leur reussite partout dans ce monde et depuis toujours, prenons exemple sur eux. Je suis contre la double nationalite, n'oublions pas qui nous sommes, ni d'ou nous venons, restons musulmans mais soyons 100% francais. Dechirons nos cartes d'identites algeriennes (sans pour autant oublier l'Algerie evidemment) pour prouver notre loyaute envers la France. Il n'y a que comme ca qu'on y arrivera. En d'autre terme, travaillons et fondons nous dans la masse.