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ALGER (AFP) — Le numéro deux et "coordinateur" de la Branche d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (BAQMI), ex-GSPC, Samir Saïoud, alias Moussaab abou Abdallah, donné pour mort le 26 avril, serait toujours en vie, selon le quotidien arabophone Ennahar publié samedi.
Grièvement blessé lors d'un accrochage près de Si Mustapha à 50 km à l'est d'Alger, Samir Saïoud a été sauvé après des semaines de soins intensifs dans un hôpital, a affirmé Ennahar, citant des sources sécuritaires.
Une fois sauvé, il a exprimé sa reconnaissance aux autorités en fournissant des informations qui ont permis d'arrêter et d'éliminer plusieurs chefs de la BAQMI, a ajouté le journal.
Al-Qaïda, le croyant mort lors de cet accrochage, avait annoncé son décès dans un communiqué.
Aucune confirmation n'a pu être obtenue de source officielle.
Samir Saïoud était partisan d'une escalade des opérations terroristes dans la capitale et de l'utilisation à grande échelle des explosifs dans les attentats urbains, selon les services de sécurité.
Il aurait été l'un des instigateurs des deux attentats qui avaient secoué le 11 avril le Palais du gouvernement, au centre d'Alger, et un commissariat de Bab Ezzouar, dans la banlieue est de la capitale, faisant plus de 30 morts et des dizaines de blessés.
Ennahar est un nouveau journal national d'expression arabe, qui a été lancé jeudi en Algérie par la société de presse Al-Athir, à l'occasion du 53e anniversaire de la guerre d'indépendance en Algérie.
Le premier numéro a été tiré à 60.000 exemplaires, a déclaré à l'AFP son directeur et promoteur, l'ancien directeur de la rédaction d'Ech-Chourouq, Anis Rahmani. Il a affirmé vouloir atteindre, dès 2008, une audience nationale équivalente à celle de ses autres confrères arabophones.
El-Khabar figure actuellement en tête des journaux arabophones algériens, avec un tirage de 600.000 exemplaires, suivi de loin par Ech-Chourouq, qui avait été redressé par M. Rahmani, avec 350.000 exemplaires.
ALGER (AFP) — Le numéro deux et "coordinateur" de la Branche d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (BAQMI), ex-GSPC, Samir Saïoud, alias Moussaab abou Abdallah, donné pour mort le 26 avril, serait toujours en vie, selon le quotidien arabophone Ennahar publié samedi.
Grièvement blessé lors d'un accrochage près de Si Mustapha à 50 km à l'est d'Alger, Samir Saïoud a été sauvé après des semaines de soins intensifs dans un hôpital, a affirmé Ennahar, citant des sources sécuritaires.
Une fois sauvé, il a exprimé sa reconnaissance aux autorités en fournissant des informations qui ont permis d'arrêter et d'éliminer plusieurs chefs de la BAQMI, a ajouté le journal.
Al-Qaïda, le croyant mort lors de cet accrochage, avait annoncé son décès dans un communiqué.
Aucune confirmation n'a pu être obtenue de source officielle.
Samir Saïoud était partisan d'une escalade des opérations terroristes dans la capitale et de l'utilisation à grande échelle des explosifs dans les attentats urbains, selon les services de sécurité.
Il aurait été l'un des instigateurs des deux attentats qui avaient secoué le 11 avril le Palais du gouvernement, au centre d'Alger, et un commissariat de Bab Ezzouar, dans la banlieue est de la capitale, faisant plus de 30 morts et des dizaines de blessés.
Ennahar est un nouveau journal national d'expression arabe, qui a été lancé jeudi en Algérie par la société de presse Al-Athir, à l'occasion du 53e anniversaire de la guerre d'indépendance en Algérie.
Le premier numéro a été tiré à 60.000 exemplaires, a déclaré à l'AFP son directeur et promoteur, l'ancien directeur de la rédaction d'Ech-Chourouq, Anis Rahmani. Il a affirmé vouloir atteindre, dès 2008, une audience nationale équivalente à celle de ses autres confrères arabophones.
El-Khabar figure actuellement en tête des journaux arabophones algériens, avec un tirage de 600.000 exemplaires, suivi de loin par Ech-Chourouq, qui avait été redressé par M. Rahmani, avec 350.000 exemplaires.