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Le président Abdelaziz Bouteflika a effectué un mouvement à la tête de quatre régions militaires sur les six que compte le pays, selon des décrets présidentiels signés par le chef de l’Etat. Ces changements ont touché la première, la troisième, la cinquième et la sixième régions militaires. Avec une surprise de taille : sur les quatre nouveaux promus, trois ont un grade de Colonel et un seul celui de Général. Dans un pays où les généraux constituent depuis quelques années l’incarnation de l’armée et du pouvoir, ce détail est important.
A la première région, le général Rachid Zouine est remplacé par le colonel Abdelkader Benzekhroufa. Le colonel Mostefa Chakour remplace le colonel Mohamed Aouad à la tête de la troisième région. Ala cinquième région militaire, le général Oualid Salaa est remplacé par le colonel Noureddine Hambli. Enfin, le général Djilali Yahiaoui est remplacé par le général Oualid Salaa à la tête de la sixième région. Il sera secondé à ce poste par le général Djilali Yahiaoui.
Le mouvement à la tête des régions militaires intervient dans un contexte sécuritaire difficile marqué par le durcissement de la lutte contre le terrorisme. Depuis l'attentat suicide qui a visé en juillet dernier à Batna le président de la république, l'armée multiplie en effet les opérations contre les groupes islamiques armés, enregistrant de nombreux succès sur le terrain. Cette offensive de l'armée contre les maquis terroristes s'est accélérée après l'attaque d'un convoi transportant des expatriés français en septembre dernier à Lakhdaria.
ali idir (TSA)
A la première région, le général Rachid Zouine est remplacé par le colonel Abdelkader Benzekhroufa. Le colonel Mostefa Chakour remplace le colonel Mohamed Aouad à la tête de la troisième région. Ala cinquième région militaire, le général Oualid Salaa est remplacé par le colonel Noureddine Hambli. Enfin, le général Djilali Yahiaoui est remplacé par le général Oualid Salaa à la tête de la sixième région. Il sera secondé à ce poste par le général Djilali Yahiaoui.
Le mouvement à la tête des régions militaires intervient dans un contexte sécuritaire difficile marqué par le durcissement de la lutte contre le terrorisme. Depuis l'attentat suicide qui a visé en juillet dernier à Batna le président de la république, l'armée multiplie en effet les opérations contre les groupes islamiques armés, enregistrant de nombreux succès sur le terrain. Cette offensive de l'armée contre les maquis terroristes s'est accélérée après l'attaque d'un convoi transportant des expatriés français en septembre dernier à Lakhdaria.
ali idir (TSA)