Regarde moi...
Recueille dans tes mains tendues ce cœur palpitant
Ne demande pas d’où il vient, il a déchiré ma poitrine
Il ne me sert à rien depuis que tes sourires le contaminent
Ton parfum se charge de maintenir mon corps vivant
Il n’obéit plus à mes ordres, puisqu’ il a trouvé sa reine
Enfermé dans une armure de chaire je me réduis à rêver
Je crains pour ma santé, il se balance de veines en veines
Entre l’est et l’ouest de ton visage se couche un soleil brûlé
Ta longue chevelure traîne avec elle sept cieux étoilés
Dans ton regard la constellation du désir s’étire majestueusement
Lorsque les astres ont cessé de scintiller, le ciel s’est voilé
J’ai dragué une eau profonde de larmes pour devenir ton amant
Sur ta peau blanche, une goutte de sang dessine tes contours
Elle est guidée par l’espoir de trouver un jour l’amour de ma vie
Elle se mélange à ton sang et lie nos cœurs pour toujours
Regarde mon pauvre corps amaigri, regarde…Je prie
Chaarar,
Recueille dans tes mains tendues ce cœur palpitant
Ne demande pas d’où il vient, il a déchiré ma poitrine
Il ne me sert à rien depuis que tes sourires le contaminent
Ton parfum se charge de maintenir mon corps vivant
Il n’obéit plus à mes ordres, puisqu’ il a trouvé sa reine
Enfermé dans une armure de chaire je me réduis à rêver
Je crains pour ma santé, il se balance de veines en veines
Entre l’est et l’ouest de ton visage se couche un soleil brûlé
Ta longue chevelure traîne avec elle sept cieux étoilés
Dans ton regard la constellation du désir s’étire majestueusement
Lorsque les astres ont cessé de scintiller, le ciel s’est voilé
J’ai dragué une eau profonde de larmes pour devenir ton amant
Sur ta peau blanche, une goutte de sang dessine tes contours
Elle est guidée par l’espoir de trouver un jour l’amour de ma vie
Elle se mélange à ton sang et lie nos cœurs pour toujours
Regarde mon pauvre corps amaigri, regarde…Je prie
Chaarar,
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