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Maroc : Traite de personnes

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  • Maroc : Traite de personnes

    Rapport sur la traite des personnes (TRADUCTION AUTOMATIQUE)

    Le Maroc est une source, de transit et pays de destination pour les filles, les femmes et les hommes victimes de la traite en provenance d'Afrique subsaharienne et d'Asie. La traite interne à des jeunes filles issues de milieux ruraux recrutés pour travailler comme domestiques des enfants dans les grandes villes. Le Maroc est aussi un pays source pour les hommes, les femmes et les enfants victimes de trafic vers l'Italie, l'Espagne, et dans d'autres parties de l'Europe pour le travail forcé et l'exploitation sexuelle. Femmes marocaines sont également victimes de trafic vers l'Arabie saoudite, la Syrie et l'U.A.E. À des fins d'exploitation sexuelle. Les hommes et les femmes du Nigéria, en Inde, au Bangladesh, le Sri Lanka et du Pakistan, sont de plus en plus victimes de la traite à travers le Maroc vers l'Europe ou les pays du Moyen-Orient pour le travail forcé. En 2005, le Gouvernement du Maroc, les organisations internationales, et de nombreuses ONG affirment que le nombre des victimes de la traite des Marocains en Espagne, en Italie, et ailleurs en Europe a augmenté de façon significative.

    Le Gouvernement marocain a pleinement satisfait aux normes minimales pour l'élimination de la traite. Ses internationaux de lutte contre le trafic de la coopération, y compris les initiatives prises en vue de la discipline des soldats de la paix des Nations Unies, reflète le ferme engagement du gouvernement à traiter le problème du trafic. Selon les données du Ministère de l'Intérieur rapports, le gouvernement a démantelé plus de 300 réseaux criminels en 2005, dont certaines ont inclus des trafiquants, et a pris des mesures pour s'attaquer à la corruption officielle. Le Maroc devrait renforcer les peines attribuées aux trafiquants et devrait envisager d'instaurer un système plus efficace de dépistage du cancer, victimes de la traite de l'interdiction de nombreux migrants clandestins chaque année.

    Poursuites
    Le Gouvernement marocain a fait de nouveaux progrès dans ses poursuites contre les trafiquants et les fonctionnaires corrompus au cours de la dernière année. Maroc lutte contre la traite des statuts de punir les trafiquants et de complicité avec des agents de peines allant de six mois à 20 ans? Emprisonnement et la confiscation d'avoirs. Maroc condamné deux policiers pour trafic et engagé des poursuites de huit membres de la Force auxiliaires, dont un officier de l'armée, trois policiers et un haut fonctionnaire de police. Le gouvernement a également reconnu coupable quatre soldats marocains servant de la paix des Nations Unies de se livrer à la traite, bien que leurs peines ont été seulement de trois mois à un an. En février 2006, les autorités marocaines ont démantelé un grand réseau international de trafic et de contrebande de migrants en provenance de l'Inde, en arrêtant 70 des suspects, y compris un officier de police. Le gouvernement a également reconnu coupable trois citoyens français à se livrer à un tourisme sexuel impliquant des enfants et 10 autres étrangers pour la traite d'enfants au Maroc. Selon le Ministère de la Justice, le Maroc travaille avec les gouvernements de l'Espagne, la France, l'Italie, l'Égypte et sur des enquêtes et des poursuites des trafiquants. Le gouvernement devrait poursuivre ses efforts pour poursuivre les trafiquants, mais devrait également augmenter les peines des personnes condamnées pour des délits de trafic de refléter le caractère odieux de ce crime. Le Maroc devrait en outre instituer un mécanisme permettant de faire systématiquement la distinction entre les passeurs et les trafiquants.

    Protection
    Le Gouvernement du Maroc a fait de modestes progrès dans ses efforts de protection au cours de la dernière année, mais il faut faire davantage victimes de la traite à l'écran de ceux volontairement introduites illégalement dans le pays. Le Center for Migrant Rights offre de conseils aux victimes et le gouvernement accorde des fonds modestes, les ONG locales à fournir des abris et d'autres services. Maroc collabore également avec des ONG en Espagne et en Italie pour établir des abris et d'aider les mineurs victimes de la traite. Le gouvernement offre une formation visant à sensibiliser les fonctionnaires et les diplomates ont commencé la formation en premiers pays de destination ou de transit sur l'identification des victimes.

    Prévention
    Le Maroc a continué à progresser dans ses efforts de prévention de la traite. Le gouvernement a créé une mission de lutte contre le trafic de la force pour formuler des politiques et à suivre les progrès réalisés dans la lutte contre la traite. Travailler avec les gouvernements de l'Espagne et d'autres pays de l'UE, le Maroc a augmenté les patrouilles le long de la voie navigable entre le Sahara occidental et les îles Canaries et l'amélioration de la surveillance de ses frontières terrestres, les aéroports et les gares. Les responsables gouvernementaux aussi rencontrer régulièrement avec l'UNICEF pour discuter des programmes visant à maintenir les enfants des zones rurales à risque de la traite à l'école.

    Source : US Department of state

  • #2
    Algerie : Traite de personnes

    Rapport sur la traite des personnes (TRADUCTION AUTOMATIQUE)


    L'Algérie est un pays de transit et de destination pour les hommes, femmes et enfants en provenance d'Afrique subsaharienne et d'Asie victimes de la traite pour le travail forcé et l'exploitation sexuelle. Bien que de nombreuses victimes volontiers migrer vers l'Algérie, en route vers les pays européens comme l'Autriche, la Belgique, l'Italie et avec l'aide de passeurs, ils sont souvent abandonnés une fois qu'ils entrent ou de l'Algérie sont contraintes à la prostitution, le travail, la mendicité et au remboursement de leur dette contrebande . Militants armés algériens aussi dénoncé le trafic des femmes aux fins d'exploitation sexuelle et de servitude involontaire, et les enfants algériens peuvent être victimes de la traite pour le travail forcé comme domestiques ou vendeurs de rue.

    Le Gouvernement de l'Algérie n'est pas pleinement conforme avec les normes minimales pour l'élimination de la traite, mais il fait des efforts importants pour le faire. L'Algérie est placée sur Tier 2 Watch List pour son manque de preuves d'accroître les efforts pour lutter contre la traite des personnes au cours de la dernière année. L'Algérie n'a pris aucune mesure pour évaluer l'ampleur de la traite dans le pays et n'ont pas signalé d'enquêtes ou de poursuites pour traite des délits de cette année. Le plan du gouvernement de créer un bureau de la traite des personnes et de désigner un organisme national de lutte contre la traite des coordonnateurs, annoncé en 2004, n'a pas été mise en oeuvre. En outre, le gouvernement a omis de mettre en place une procédure de dépistage systématique de différencier les victimes de la traite de l'importante population de migrants en situation illégale, il arrestations et extrade chaque année. L'Algérie devrait remplir ses plans visant à créer une politique de lutte contre le trafic de l'ouvrage avec la mise au point et l'application d'un plan d'action national contre la traite. Elle devrait également accroître sensiblement les enquêtes et les poursuites des infractions de trafic, et de l'écran et de protéger les victimes de la traite.

    Poursuites
    Sur l'année, l'Algérie fait peu de progrès discernables dans ses mesures de répression contre les trafiquants. L'Algérie n'a pas de loi spécifique criminalisant la traite des personnes, mais d'autres sections du code pénal peut être utilisé pour poursuivre la traite des délits. Néanmoins, le gouvernement a signalé aucune enquête ou les poursuites contre les trafiquants de cette année. L'Algérie est également de plus en plus témoins d'activité par les réseaux criminels organisés qui contrebande et de la circulation des hommes, des femmes et des enfants de certaines parties d'Afrique de l'Ouest et l'Asie à l'Europe pour l'exploitation sexuelle et de travail forcé, mais n'a pas procédé à aucun effort coordonné pour enquêter sur cette tendance et d'intercepter le trafic Anneaux. Le gouvernement devrait accroître sensiblement les enquêtes et les poursuites des crimes de la traite, en particulier celles orchestrées par les groupes criminels organisés.

    Protection
    L'Algérie n'a pas pris des mesures importantes pour améliorer la protection des victimes de la traite depuis l'année dernière. Les victimes sont généralement traités comme des immigrants illégaux et ne sont pas fournis avec des services de protection. Le gouvernement utilise aucune procédure systématique à l'écran victimes de la traite pour les distinguer des migrants en situation irrégulière; en tant que tels, les agents de police régulièrement arrêter ceux illégalement en Algérie, y compris d'éventuelles victimes de la traite, les retenant pendant plusieurs jours en prison avant d'expulser. Par ailleurs, l'Algérie ne fait pas référence aux victimes de la traite à des ONG locales ou à soutenir les ONG qui offrent des services de protection aux victimes. Le gouvernement n'a, cependant, dispenser une formation spécialisée à l'intention des fonctionnaires en reconnaissant la traite et de traiter les victimes de la traite. Le gouvernement devrait améliorer ses efforts de protection de dépistage par les victimes de la traite et apporter à ces pays, médicaux, psychologiques, juridiques et de soins.

    Prévention
    Durant l'année, l'Algérie a fait des progrès inégaux dans la prévention de la traite des personnes. En septembre 2005, des membres de la garde côtière algérienne a assisté à une formation sur la prévention de la contrebande et au trafic, ce qui leur permettra d'améliorer leurs efforts de l'Algérie pour suivre抯longues et poreuses frontières et ports maritimes. Le gouvernement, cependant, n'a pas pris des mesures pour sensibiliser le public aux dangers de la traite et devraient envisager de mettre en place une vaste campagne d'information du public de le faire. En mars 2006, l'Algérie a refusé de participer à une conférence parrainée marocaine sur l'immigration clandestine qui rassemblerait les pays du Maghreb et les Etats européens réuni en juillet 2006 pour discuter de la question. L'Algérie a organisé une réunion d'experts de l'Union africaine sur les migrations, en avril 2006, mais n'a pas invité le Maroc à observer ou participer à la conférence. Algérie et le Maroc partagent une frontière commune établie le long de la traite et des voies de migration au Sahara et bénéficieraient d'un dialogue sur la question.

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    • #3
      Yup et ces conclusions ont donne ce classement:

      Le Malawi et le Maroc

      Deux pays de la catégorie 1, le Malawi et le Maroc, ont reçu les félicitations du département d'État pour les mesures qu'ils ont prises pour prévenir la traite des personnes en 2005.

      En dépit du manque de ressources, le Malawi a accompli de grands progrès, en particulier en vue de traduire en justice les trafiquants et d'informer le public des formes multiples que peut prendre la traite des personnes. Avec l'aide de donateurs étrangers, le Malawi a produit 10.000 affiches et 20.000 brochures et les a distribuées dans les écoles, les bureaux de l'assistance sociale, les hôpitaux et les associations de jeunes afin de mieux sensibiliser le public.

      Le Maroc, quant à lui, satisfait pleinement aux normes internationales minima relatives à la lutte contre la traite des personnes. Selon le rapport, sa coopération internationale dans ce domaine « reflète la détermination absolue des pouvoirs publics de faire face à ce problème ».

      C'est ainsi qu'en février, les autorités marocaines ont démantelé un important réseau international qui se livrait à la traite et au passage transfrontalier clandestin de personnes originaires d'Inde. Elles ont arrêté 70 suspects, dont un policier.

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      • #4
        Le Maroc, quant à lui, satisfait pleinement aux normes internationales minima relatives à la lutte contre la traite des personnes. Selon le rapport, sa coopération internationale dans ce domaine « reflète la détermination absolue des pouvoirs publics de faire face à ce problème ».
        Apparement ce n'ets pas l'avis des victimes.

        __________________________________________________ ______

        Maroc : Rafles et violences à l’encontre des migrants et demandeurs d’asile subsahariens
        vendredi 26 octobre 2007

        L’Asociation des réfugiés et demandeurs d’asile congolais au Maroc, ARCOM a le regret de vous informer que la police marocaine est descendu cette nuit dans le quartier de TAKADOUM à Rabat à arrêter plusieurs migrants, demandeurs d’asile et réfugies de l’Afrique subsaharienne. deux bus pleins des dont un est en route en ce moment vers OUJDA plein de migrants et demandeurs d’asile.
        Pendant la rafle ; il y a eu torture et de coups sur les demadeurs d’asile et les réfugiés qui revendiquent la reconnaissance de papiers du H.C.R.UN dont ils disposaient. il y a un cas d’un demandeur d’asile nigérien qui est copieusement tabassé par la police et on l’a amené à l’hopital.
        L’ARCOM condamne et dénonce les actes barbares exercés sur les migrants, les demandeurs d’asile et les réfugiés subsahariens. ces actes frisent le racisme dans la mesure où au bureau du H.C.R Rabat il y a pleins des réfugiés libanais, irakiens, palestiniens et autres, mais quand il y a rafle, il n’y que les subsaharienns qui sont arrêtés et refoulés.
        L’ARCOM demande au bureau du H.C.RUN Rabat de revoir ces négociations avec les autorités marocaines, qui acceptent sur le papier la présence des réfugiés, mais dans la pratique c’est l’ignorance totale des papiers délivrés aux réfugiés et demandeurs d’asile.
        Nous lançons un appel pressant à toutes les associations de défense de droit de l’homme marocaine comme européenne ou américaines de venir en aide à ces migrants et réfugiés que l’on a traité de manière sauvage cette nuit et qui sont en route pour Oujda.
        Nous vous donnerons la suite de ces évènements.
        Emmanuel MBOLELA Président ARCOM contact : 212 69 95 99 04
        « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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        • #5
          Et ce classsement:

          L’Algérie épinglée par les Etats-Unis


          Contrairement au Maroc et au Malawi, l’Algérie ne fait pas assez d’efforts pour combattre la traite des personnes, selon le rapport annuel 2006 du Congrès américain rendu public à Washington.
          mercredi 21 juin 2006.

          Ainsi, le Maroc et le Malawi ont reçu les éloges du département d’État des États-Unis pour les progrès qu’ils ont réalisés au cours de l’année écoulée en matière de lutte contre la traite des personnes, et épinglent curieusement l’Algérie, qu’ils placent au niveau de pays comme Djibouti et le Kenya, c’est-à-dire dans la liste des pays qui montrent des signes de défaillance évidents dans leur politique vis-à-vis de ce sujet.

          Le département d’État évalue les efforts que déploient les gouvernements étrangers en vue d’éliminer ce fléau de la société. Le rapport répartit les États en quatre catégories en fonction des mesures qu’ils prennent pour combattre la traite, pour traduire en justice les criminels et pour soutenir et assister les victimes. Les Etats qui satisfont aux critères établis par la loi de 2000 sur la protection des victimes de la traite sont placés dans la catégorie 1. La catégorie 2 comprend les États qui ont démontré leur volonté de faire face à leurs problèmes mais n’ont pas encore satisfait aux normes internationales. La « liste de veille » de la catégorie 2 englobe les États qui donnent des signes de défaillance, tandis que les États qui ne font guère d’efforts sont placés dans la catégorie 3.

          Le Maroc, selon Michelle Austein, rédactrice du Washington File, satisfait, quant à lui, pleinement aux normes internationales minima relatives à la lutte contre la traite des personnes. Selon le rapport, sa coopération internationale dans ce domaine « reflète la détermination absolue des pouvoirs publics à faire face à ce problème ». C’est ainsi qu’en février, les autorités marocaines ont démantelé un important réseau international qui se livrait à la traite et au passage transfrontalier clandestin de personnes originaires d’Inde. Elles ont arrêté 70 suspects, dont un policier. Le Soudan et le Zimbabwe ont été épinglés pour l’insuffisance de leur action en matière de lutte contre la traite des personnes.

          Ont été placés dans la « liste de veille » de la catégorie 2 les États suivants, entre autres : l’Afrique du Sud, l’Algérie, Djibouti, l’Égypte, la Guinée Equatoriale, le Kenya, la Libye, la Mauritanie, la République Centrafricaine et le Togo. Evidement, cette classification est largement contestable, et on peut estimer que l’Algérie n’est pas sans reproche sur ce sujet-là, mais un coup d’oeil sur les rapports annuels de la police et de la Gendarmerie nationale peut pousser à plus de retenue dans la classification américaine. Annuellement, ce sont des milliers de personnes qui sont arrêtées aux frontières sud pour immigration clandestine, qui reste à la base de la traite des personnes, pour proxénétisme, prostitution, travail au noir, abus sur mineurs et toute la panoplie des délits qui constitue la large gamme des violations des droits des personnes.

          Synthèse de Kahina, algerie-dz.com
          D’après l’Expression

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          • #6
            ah non les US ça compte pas. Il y a deux ans, il citait en exemple l'Algérie en matière de démocratie

            en 2009, ils vont changer d'avis peut être. ça dépend de leur interet du moment

            les US ausis ont été épinglés, ils ont même sous traité la torture au maroc.
            Dernière modification par bledard_for_ever, 08 novembre 2007, 21h13.
            « Great minds discuss ideas; average minds, events; small minds, people. » Eleanor ROOSEVELT

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            • #7
              c'est tres enfantin se que vous faite les jeunes !
              :22:
              Se tromper est humain, persister dans son erreur est diabolique. (Saint Augustin)

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