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Séduits par la réussite des banques et établissements financiers islamiques, des pays musulmans ont décidé de créer un établissement financier islamique international. Avec un capital social initial de 3 milliards de dollars, cette institution financière verra le jour prochainement, vers la fin 2007 ou début 2008, selon des informations recueillies par " ********************" auprès de sources bancaires. L'établissement pourrait prendre la dénomination Fajr (Aube). Son siège provisoire se trouve actuellement à Londres, en Grande-bretagne.
Des pays musulmans ont déjà donné leur accord pour participer au capital de ce futur géant de la finance islamique. Il s'agit de Brunei, Malaisie et Bahreïn. Des hommes d'affaires saoudiens, Emiratis et koweitiens ont vont également participer à la création de cet établissement.
Selon nos informations, les initiateurs du projet ont sollicité la participation de l'Algérie, de l'Arabie Saoudite, du Koweït, d'Abou Dhabi. Ces pays n'ont pas encore donné leur réponse définitive. Le comité de création de l'établissement a soumis le projet aux hauts responsables algériens. Il a rencontré cinq ministres dont ceux des finances, de l'agriculture, du tourisme, de l'environnement et du gouverneur de la Banque d'Algérie. Les Algériens seraient séduits par ce projet qui va servir à l’utilisation d’une partie de la manne pétrolière.
Le projet Fajr est mené par des banques arabes en partenariat avec de grandes banques occidentales. Il est dirigé par Iqbal Khan, ancien PDG de HSBC Amanah. Le Conseil d'administration sera dirigé par Mohamed Ben Hmouda, ancien PDG du Masraf Abou Dhabi El Islami.
Le premier investissement est prévu en Algérie, via la création d'une banque d'affaires et d'investissement. La Turquie, suivra. En Algérie, le futur géant de la finance islamique va recruter des banquiers algériens travaillant pour les grandes banques occidentales et qui souhaitent revenir dans leur pays d'origine. La branche algérienne de cet établissement s'occupera du financement des projets divers et des investissements dans différents secteurs.
ali idir (TSA)
Des pays musulmans ont déjà donné leur accord pour participer au capital de ce futur géant de la finance islamique. Il s'agit de Brunei, Malaisie et Bahreïn. Des hommes d'affaires saoudiens, Emiratis et koweitiens ont vont également participer à la création de cet établissement.
Selon nos informations, les initiateurs du projet ont sollicité la participation de l'Algérie, de l'Arabie Saoudite, du Koweït, d'Abou Dhabi. Ces pays n'ont pas encore donné leur réponse définitive. Le comité de création de l'établissement a soumis le projet aux hauts responsables algériens. Il a rencontré cinq ministres dont ceux des finances, de l'agriculture, du tourisme, de l'environnement et du gouverneur de la Banque d'Algérie. Les Algériens seraient séduits par ce projet qui va servir à l’utilisation d’une partie de la manne pétrolière.
Le projet Fajr est mené par des banques arabes en partenariat avec de grandes banques occidentales. Il est dirigé par Iqbal Khan, ancien PDG de HSBC Amanah. Le Conseil d'administration sera dirigé par Mohamed Ben Hmouda, ancien PDG du Masraf Abou Dhabi El Islami.
Le premier investissement est prévu en Algérie, via la création d'une banque d'affaires et d'investissement. La Turquie, suivra. En Algérie, le futur géant de la finance islamique va recruter des banquiers algériens travaillant pour les grandes banques occidentales et qui souhaitent revenir dans leur pays d'origine. La branche algérienne de cet établissement s'occupera du financement des projets divers et des investissements dans différents secteurs.
ali idir (TSA)