Ils m'ont cassé
Ils m'ont cassé
De leurs langues sans salives
De leurs salives acides
Leurs coeurs hébergent une antichambre de l'enfer
Ils ont mis au point les insultes purifiées
Celles qui provoque ma chute dans l'obscurité
Ils se sont jouer des mes gentillesses
Il m'on cru sans défense
Mais savent-il pas
Que je suis capable
De leur arraché leurs peaux
De la présenté en offrande au soleil
Et qu'une fois cautérisée, je leur rendrais
Pour que leur âme immonde brûle
A l'aurore triomphante
Ne savent ils pas que j'ai déjà digérer
Les poumons crasseux des casseurs d'espérances
Il ne devrait pas trop s’aventurer près de moi,
J'ai pour mes ennemi, préparé l'élixir le plus abject
A base hémoglobine soyeuse et de glaires boueuses
Ah !!! Ils m'on cassé, Bon sang
Cette humanité dans mon corps
Cette fibre d'espérance ils l'on mutilé
J'ai osé être aimable
Et vlan !
J'ai osé pleurer devant ces chiens ivres
Mais leurs morsures ne fait qu'attiser ma rage
J'ai terrassé une armée de nouveau-nés
L'encéphale sanglant se précise sur les poutres
De leur demeures
Ils n'ont même pas eu la joie d'aimer leurs mères
Que j'ai déjà anéanti leurs existences
Mais comment faire autrement
Quelqu’un à penser a moi
Et a ma souffrance
A cette terre que j'ai balancé a la face des morts
A cette jambe amputée qui me botte le ***
Et qui me dit avance charogne !
Avance !
Et qui ne me dit pas je t'aime
Et qui ne me dit pas je t'aime
Ils m'ont cassé,
Brisé mon âme
Fait volé en éclat mon intégrité
Pissé sur mon honneur
Violé mes fantômes
Avorté de mes joies
Je suis l'enfant illégitime
De l'amour et de la haine
Bâtard sans nom, et sans demeure
J'ère de collines dépeuplé
En tavernes fumantes
Où des hommes
Aux torses percés, aux mains de cuivre
M'avoue n'avoir jamais rencontré
Un être de lumière aussi horrible
Que moi ...
Chaarar,
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