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Caresses dorées sur une âme adorée

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  • Caresses dorées sur une âme adorée

    Caresses dorées sur une âme adorée
    Lumière de tendresse sur un lit inondé
    Ta clarté me protège et me guide à volonté
    Je n’ai que ce courage cette envie de t’aimer
    Franchissant les obstacles dans ce labyrinthe oublié
    La carte de tendre nous ordonne d’aimer
    Les chemins envoûtants comme on aime naviguer
    Notre boussole s’envole on y va les yeux fermés
    Mais nos cœurs s’emparent de la montre du destin
    Les aiguilles défilent et oui on doit triompher
    Larguer les amarres si on est fatigué
    Mais là je narre ce qui n’est pas près d’arriver
    La fatigue est partie depuis que je t’ai rencontré
    Je suis devenue forte avec toi à mes cotés
    Tu es ma mémoire vive si pleine de méga baisers
    Je disjoncte parfois mais tu sais si bien ressouder
    Que je respire chaque instant le bonheur d’être aimée

    Pétales de silences entonne la liberté de t’aimer
    Sans aucune contrainte juste la sincérité
    Des montagnes de tendresses qu’il me plait à te prodiguer
    Et goûter notre ivresse jusqu'à ne plus savoir compter
    Adieu l’arithmétique, les nombres vont défiler
    Ne reste même plus les chiffres de l’horloge envolé
    Entonnons le bonheur d’être unis sans compter
    Sans entraves ni contrainte si ce n’est celle d’aimer
    Explorons un peu plus ces chemins escarpés
    Des trésors y fleurissent au parfum de volupté
    Bien caché là ou règne le bonheur de semer
    Des graines d'amour à volonté

    Morjane
    16/12/03

  • #2
    en répose

    Depuis le temps que je vogue,
    Dans un océan sans bornes,

    Depuis le temps que je vogue,
    A la recherche de ton âme,

    J'ai traversé les âges,
    J'ai franchi les époques,

    J'ai traversé les âges,
    Pour ton nom que j'évoque,

    A chaque fois que l'oiseau chante,
    A chaque fois que la feuille frémit,

    Lorsque la brise tendrement la caresse,
    Et comme le saule pleureur, je pleure,

    Je pleure un amour perdu,
    Je pleure ton sourire disparu,

    Je pleur et j'écris,
    Je pleure et je souris,

    J'écris des mots qui traversent mon esprit,
    Mais est-ce que les mots gravés sur cette feuille,

    Pourraient décrire ce que le cœur ressent,
    Mais que la bouche n'ose dire?

    Alors je ère et dans ma solitude je trouve,
    Au fond de cette nuit qui m'entoure,

    Une amie et une confidente,
    L'homme vrai et libre

    Commentaire


    • #3
      Salam morjane,


      L'amour généreux, par ses caresses ton âme se donne sans compter.

      Merci. :1039989653:
      "Quand l’inspiration devient poésie"

      Commentaire


      • #4
        Azul Yaram

        :1036153111: Au Village, j'espère que tu t'y sentiras bien et commencer ton entrée par la poésie forcèment me ravit.
        Ton poème est beau j'aime le rythme qu'il dégage , il est empreint de mélancolie mais pas triste.

        Merci à toi

        Commentaire


        • #5
          Salam Hayet,
          L'amour généreux, par ses caresses ton âme se donne sans compter.
          L'amour n'est amour qu'en étant oui généreux
          L'amour absolu se donne sans compter
          Sans calcul sordide juste l'envie de donner
          Mais il doit savoir être léger ne pas être indigeste
          Par excès.
          L'important est d'aimer après chacun en fait
          ce qu'il lui plait tout garder ou tout rejeter
          Mais en général quand il est pur et sincère
          il s'offre a volonté et ne se fait pas claquer
          La porte au nez.
          Mais bon pour aimer il y a que des mystères
          On ne sait jamais comment cela va se passer
          Alors il faut aimer et respirer l'air parfumé
          au bonheur de l'être aimé.

          Merci Hayet , j'ai été très touchée par tes paroles :1039989653:

          Commentaire


          • #6
            réponse

            merci pour ton acueuil morjan, je dois dire que je me sens bien avec vous tous

            La nuit tisse doucement son manteau,
            Et l'obscurité qui lentement prend place,
            Se trouve troublée par un petit flambeau,
            Une bougie qui éclaire timidement la trace,
            Que laisse ma plume sur un bout de papier,

            Cette plume qui grave qui écrit,
            Des mot et des vers que le cœur,
            Quand je pleure quand je ris,
            Exprime avec joie et bonheur,
            Lorsque la bouche se tient de parler,

            J'écris des phrase, des paroles, des poèmes,
            J'écris quand je pleure, quand je ris et quand j'aime,
            J'écris et peut-être dans les profondeurs de cette nuit,
            Une âme comme moi comprendra mes écrits,
            Lorsque l'aurore viendra chasser les soucis,

            L'amour et un dont du ciel,
            L'amour pour l'homme est comme le miel,
            Dont l'abeille ne peut se passer,
            Comme sans amour notre âme ne peut que cesser,
            De vivre d'être et se consume,

            Aimer c'est être vivant,
            Aimer et croire en l'amour éternel,
            Aimer et donner de l'amour autant,
            Que nous même recevons,
            Aimer…
            L'homme vrai et libre

            Commentaire


            • #7
              Yaram , tu me ravis avec tes poémes , expression d'amour tendre , de tristesse et d'espoir ! Celui d' avoir le plaisir de te lire plus souvent !

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              • #8
                Bonjour Yaram et bonjour à tous,

                Yaram, c'est avec la même émotion que Saïd que j'ai lus ton poème. Il est comme j'aime, c'est un poème qui fait frissonner l'âme et la peau.
                Il est très tendre, Et chouette que tu te sentes bien parmi nous comme ça , on aura tous le plaisir de te lire encore

                Passe une belle journée

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                • #9
                  réponse

                  je suis contant que mes poèmes vous plaisent, merci à tous,le suivant est dédié à une entité particulière:

                  Je chante ma muse,

                  En ta gloire et en ton honneur,
                  Je chante ma muse les chansons les plus douces,
                  Toi qui a su m'apporter le bonheur,
                  Je joue de ma harpe assis sur la verte mousse,
                  Sous le vieux chêne mes plus belles mélodies,

                  Te rendre hommage est la moindre des choses,
                  Toi qui me souffle les plus tendres mots d'amour,
                  Tu m'inspire, je revis comme la fleur qu'on arrose,
                  Et tu viens chaque soir à la tombée du jour,
                  Me tenir compagnie dans ma solitude éternelle,

                  Dame nature à toi je dédie,
                  Ces modestes vers que toi-même tu m'inspire,
                  Pour toi je joue cette douce mélodie,
                  Mêlée de peine, d'amour de soupires.
                  Et que tant de poètes on écrit avant moi,
                  Et que le rossignol chante au crépuscule…
                  L'homme vrai et libre

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                  • #10
                    Yrame..on va être deux a ramer alors..sur ce forum attention à vos rames!
                    pour bien battre la rime,mariée là à la trame!...
                    Vous éviterez le drame...
                    Nomade des temps présents,
                    Saluant le siècle mutant.

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                    • #11
                      Alors chouette naviguons,
                      Que par de doux vers laissons porter
                      par le courant dans l'air nous allons flotter
                      Respirer par des mots sans nous enrhumer
                      Par ce doux courant, hatons nous lentement
                      Et vogue la galère, voila ce qui ne peut que me plaire.


                      Bonjour Yaram
                      Et merci pour ce poème, on ne peut qu'aimer tes poèmes, ils sont beaux tout simplement.

                      Bonjour Iram*
                      Rame rame rame la rime
                      Tisse tisse tisse la toile
                      Des mots qui s'emmèlent
                      Des maux qui s'en mêlent
                      Des mots de l'âme
                      démos du drame
                      palpitons à chaque mots
                      Sera t'il le plus beau
                      ou le plus imprudent
                      s'il se prend le pied dedans?

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                      • #12
                        :slt: morjane!
                        Pendant que vous contiez ou mordiez les pieds, je comptais les alexandrins!
                        Bonne journée..!
                        Nomade des temps présents,
                        Saluant le siècle mutant.

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                        • #13
                          Bonne journée Iram*

                          Azul Iram*
                          Quand on aime, on ne compte pas,
                          Alors conter 12 pieds où je risque fort
                          de trébucher, je ne saurais
                          Alex et moi on est fachés....
                          A vrai dire il m'arrive pour jouer
                          de m'y essayer mais
                          J'aime trop ma liberté pour chercher
                          D'une quelconque manière de m'y entraver
                          Un jour peut être qui sait?

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