Bonjour à tous,
Excusez-moi d'avance mes amis lecteurs si ce poème est sans signature. Je ne connais pas son auteur. Poème que je vous dédie à vous tous et tout particulièrement à une amie...L'amie de mon âme.
-------------------------
Elle est si rare a mes yeux, que je ne saurais tenir son infinie tendresse.
Je ne peux en une surface, envisager toutes ses paroles,
Qui d'une longue échéance s'alignent sur son être, couvert de liesse.
Pour pouvoir être la fougue de son tempérament, je donnerais plus qu'une obole.
Courir sur le vent, courant d'air, souffle, fureur et repentis.
Qui que tu sois sous cette lumière, qui que tu soit qui colore mon être,
Je te rattraperais le long du cristal, de son âme convertie.
Alerte, vif, dégourdie, son corps courbe, se plis, dans les méandres de mon être.
Comment croire encore en l'aube ?
Comment s'appesantir encore sur le temps ?
Comment encore attendre lentement ?
Alors que le temps passe inexorablement.
Rien
Tout
Avec ou sans
Prés ou loin
Unique et sans espoir, de la séparation de l'être, en son fond
Rien qui n'a pu être...
Sans son effluve si ténue, a laquelle se balance mon existence
Sans son parfum si ému je ne mourrais que mieux.
De prés ou de loin
De si prés comme au loin
Elle n'est que mon tout
Et sans elle je ne suis rien.
Excusez-moi d'avance mes amis lecteurs si ce poème est sans signature. Je ne connais pas son auteur. Poème que je vous dédie à vous tous et tout particulièrement à une amie...L'amie de mon âme.
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Elle est si rare a mes yeux, que je ne saurais tenir son infinie tendresse.
Je ne peux en une surface, envisager toutes ses paroles,
Qui d'une longue échéance s'alignent sur son être, couvert de liesse.
Pour pouvoir être la fougue de son tempérament, je donnerais plus qu'une obole.
Courir sur le vent, courant d'air, souffle, fureur et repentis.
Qui que tu sois sous cette lumière, qui que tu soit qui colore mon être,
Je te rattraperais le long du cristal, de son âme convertie.
Alerte, vif, dégourdie, son corps courbe, se plis, dans les méandres de mon être.
Comment croire encore en l'aube ?
Comment s'appesantir encore sur le temps ?
Comment encore attendre lentement ?
Alors que le temps passe inexorablement.
Rien
Tout
Avec ou sans
Prés ou loin
Unique et sans espoir, de la séparation de l'être, en son fond
Rien qui n'a pu être...
Sans son effluve si ténue, a laquelle se balance mon existence
Sans son parfum si ému je ne mourrais que mieux.
De prés ou de loin
De si prés comme au loin
Elle n'est que mon tout
Et sans elle je ne suis rien.
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