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80% des bâtisses sont construites sur des réseaux de distribution de gaz et d’électricité
jeudi 15 novembre 2007.
Des sources responsables au ministère de l’habitat ont indiqué que la construction de 80% de l’ensemble des 450 mille bâtisses finies ou en voie de construction en Algérie, s’est faite sans permis de construction.
Ces bâtisses ont été construites soit en dessous des câbles électriques de haute tension, soit au-dessus des voies de distribution de pétrole et des gazoducs, ou sur des réseaux de distribution d’eau potable ou canalisation des eaux usées. Quelques battisses ont également été construites sur des terrains agricoles menacés de glissement en cas d’inondations ou de tremblement de terre. Ces donnes expliquent que les aspects techniques de la question n’ont pas été pris en considération dans les discours appelant à régulariser la situation des habitations et infrastructures réalisées sans permis de construction. Les lois permettant de régulariser la situation de ces bâtisses sont inexistantes, vu que la loi en vigueur interdit l’octroi d’un permis de construction après la fin des travaux. Ainsi, les propriétaires de ces bâtisses se trouvent confrontés au risque de démolition de leurs constructions. Nos sources ont considéré que les appartements qui ont été construits au cours de ces dix dernières années ne sont que des bidonvilles, y compris ceux qui ont été autorisés par les Assemblées Populaires Communales. Ces permis ne sont pas conformes à la loi, du moment qu’ils n’ont pas été certifiés par les services d’urbanisme, habilités à refuser ou accepter ces constructions, ajoutent nos sources.
Source : el khabar
jeudi 15 novembre 2007.
Des sources responsables au ministère de l’habitat ont indiqué que la construction de 80% de l’ensemble des 450 mille bâtisses finies ou en voie de construction en Algérie, s’est faite sans permis de construction.
Ces bâtisses ont été construites soit en dessous des câbles électriques de haute tension, soit au-dessus des voies de distribution de pétrole et des gazoducs, ou sur des réseaux de distribution d’eau potable ou canalisation des eaux usées. Quelques battisses ont également été construites sur des terrains agricoles menacés de glissement en cas d’inondations ou de tremblement de terre. Ces donnes expliquent que les aspects techniques de la question n’ont pas été pris en considération dans les discours appelant à régulariser la situation des habitations et infrastructures réalisées sans permis de construction. Les lois permettant de régulariser la situation de ces bâtisses sont inexistantes, vu que la loi en vigueur interdit l’octroi d’un permis de construction après la fin des travaux. Ainsi, les propriétaires de ces bâtisses se trouvent confrontés au risque de démolition de leurs constructions. Nos sources ont considéré que les appartements qui ont été construits au cours de ces dix dernières années ne sont que des bidonvilles, y compris ceux qui ont été autorisés par les Assemblées Populaires Communales. Ces permis ne sont pas conformes à la loi, du moment qu’ils n’ont pas été certifiés par les services d’urbanisme, habilités à refuser ou accepter ces constructions, ajoutent nos sources.
Source : el khabar