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Aux amateurs du roman, les éditions Daliman, à Alger, vous proposent l’oeuvre de Catherine Rossi et son envers, son mystère et une partie de l’histoire de la Casbah, à l’époque ottomane, intitulée Par-delà le miroir...
«L’ambition de cet ouvrage, est de faire entrer le lecteur dans l’univers des oeuvres romanesques, en interrogeant, au passage, le modèle classique de l’édition.» Les auteurs ont choisi d’observer deux dispositifs collectifs: autrement dit, où deux communautés d’acteurs livrent simultanément quelques-unes des clés essentielles de leur raison sociale. Dans une écriture qui revendique son originalité, en passant par la possible émergence d’un modèle inédit, il ne s’agit pas moins que de se demander si, finalement, ce que l’on désigne par «romanesque» n’est pas l’expression d’un nouveau paradigme pour la littérature.
Catherine Rossi est née en février 1957 à Troyes dans l’Aube. Son père est né en Algérie.
Il était peintre à ses heures. Elle dessine donc depuis toujours et s’initie, adolescente, à la langue arabe. Après avoir réalisé plusieurs carnets de voyage, aujourd’hui, elle se lance un défi: le roman.
Par-delà le miroir...est une nouvelle façon de s’introduire plus profondément dans la mémoire de la Casbah. Fès...Un manuscrit trouvé dans la médina, une maison bleue et un halo de lune...Tout commence là et finit là. Le manuscrit et la lune conduisent Nada, la narratrice et Nassim, son compagnon du Maroc. La magie de Fès a changé quelque chose en eux, comme si le temps s’était déréglé.
En Algérie, les captures, à l’instar de celle de Khdaouej, une jeune fille de la Casbah, la fille de l’un des derniers Deys d’Alger. Le mythe de la jeune fille aveugle reste impénétrable. Quel est son secret? Nada est persuadée de pouvoir y répondre parce que dans le miroir du palais de Khdaouej, elle a vu un reflet, le sien ou celui de la jeune fille; elle ne sait, tant elles se ressemblent. L’histoire intime s’écrit par la perception des sentiments, par la fusion qui s’opère entre les deux femmes, leurs voix qui s’échangent par-delà le miroir et le temps. Le roman se décline entre l’intimité douloureuse de ces deux femmes bercées par la magie du plus ancien des palais d’Alger et une fresque historique de la ville sous la régence. Echanges oniriques, visions envoûtantes mêlées à l’histoire...
A travers des hommes, ceux qu’elles aiment: Hassan Pacha, le père de Khdaouej et Dey d’Alger, Gabriel, le captif andalou, fidèle à Khdaouej jusqu’à la mort, Abderrahmane, le séduisant ambassadeur du sultan du Maroc...Nassim, le double de Gabriel, aussi réceptif que Nada aux messages du passé...Tous jouent un rôle, celui de père aimant et colérique, de «passeur de temps», de poète, d’amant impossible, d’assassin au coeur pur...Deux femmes en miroir se reflètent au-delà du temps.
Deux villes, Alger et Fès. Un rêve politique, celui de la construction d’un Maghreb à la fin du XVIIIe siècle pour faire face à l’inéluctable pression européenne...Le trésor de la Casbah et ses légendes éternelles est comme l’attente de l’amour.
Aborder l’oeuvre intégrale sous des angles diversifiés. Outre le résumé détaillé des différentes parties et les commentaires composés qui le complètent, chaque ouvrage propose une synthèse assez riche, il y est question de l’auteur, des personnages, de la conception et de la construction de l’oeuvre, mais aussi de ses particularités stylistiques, des réseaux d’intertextualité et des interprétations possibles. Par ailleurs, les documents situés en annexe offrent la possibilité de se repérer rapidement dans l’oeuvre: le lexique, l’index thématique et les citations permettent de traiter aisément les sujets de dissertation et d’entretien oral. C’est donc une première approche qui a pour but de familiariser le lecteur avec l’oeuvre. Elle lui en donne une vision synthétique et lui suggère des pistes de lecture pour l’analyse.
Par l'Expression
«L’ambition de cet ouvrage, est de faire entrer le lecteur dans l’univers des oeuvres romanesques, en interrogeant, au passage, le modèle classique de l’édition.» Les auteurs ont choisi d’observer deux dispositifs collectifs: autrement dit, où deux communautés d’acteurs livrent simultanément quelques-unes des clés essentielles de leur raison sociale. Dans une écriture qui revendique son originalité, en passant par la possible émergence d’un modèle inédit, il ne s’agit pas moins que de se demander si, finalement, ce que l’on désigne par «romanesque» n’est pas l’expression d’un nouveau paradigme pour la littérature.
Catherine Rossi est née en février 1957 à Troyes dans l’Aube. Son père est né en Algérie.
Il était peintre à ses heures. Elle dessine donc depuis toujours et s’initie, adolescente, à la langue arabe. Après avoir réalisé plusieurs carnets de voyage, aujourd’hui, elle se lance un défi: le roman.
Par-delà le miroir...est une nouvelle façon de s’introduire plus profondément dans la mémoire de la Casbah. Fès...Un manuscrit trouvé dans la médina, une maison bleue et un halo de lune...Tout commence là et finit là. Le manuscrit et la lune conduisent Nada, la narratrice et Nassim, son compagnon du Maroc. La magie de Fès a changé quelque chose en eux, comme si le temps s’était déréglé.
En Algérie, les captures, à l’instar de celle de Khdaouej, une jeune fille de la Casbah, la fille de l’un des derniers Deys d’Alger. Le mythe de la jeune fille aveugle reste impénétrable. Quel est son secret? Nada est persuadée de pouvoir y répondre parce que dans le miroir du palais de Khdaouej, elle a vu un reflet, le sien ou celui de la jeune fille; elle ne sait, tant elles se ressemblent. L’histoire intime s’écrit par la perception des sentiments, par la fusion qui s’opère entre les deux femmes, leurs voix qui s’échangent par-delà le miroir et le temps. Le roman se décline entre l’intimité douloureuse de ces deux femmes bercées par la magie du plus ancien des palais d’Alger et une fresque historique de la ville sous la régence. Echanges oniriques, visions envoûtantes mêlées à l’histoire...
A travers des hommes, ceux qu’elles aiment: Hassan Pacha, le père de Khdaouej et Dey d’Alger, Gabriel, le captif andalou, fidèle à Khdaouej jusqu’à la mort, Abderrahmane, le séduisant ambassadeur du sultan du Maroc...Nassim, le double de Gabriel, aussi réceptif que Nada aux messages du passé...Tous jouent un rôle, celui de père aimant et colérique, de «passeur de temps», de poète, d’amant impossible, d’assassin au coeur pur...Deux femmes en miroir se reflètent au-delà du temps.
Deux villes, Alger et Fès. Un rêve politique, celui de la construction d’un Maghreb à la fin du XVIIIe siècle pour faire face à l’inéluctable pression européenne...Le trésor de la Casbah et ses légendes éternelles est comme l’attente de l’amour.
Aborder l’oeuvre intégrale sous des angles diversifiés. Outre le résumé détaillé des différentes parties et les commentaires composés qui le complètent, chaque ouvrage propose une synthèse assez riche, il y est question de l’auteur, des personnages, de la conception et de la construction de l’oeuvre, mais aussi de ses particularités stylistiques, des réseaux d’intertextualité et des interprétations possibles. Par ailleurs, les documents situés en annexe offrent la possibilité de se repérer rapidement dans l’oeuvre: le lexique, l’index thématique et les citations permettent de traiter aisément les sujets de dissertation et d’entretien oral. C’est donc une première approche qui a pour but de familiariser le lecteur avec l’oeuvre. Elle lui en donne une vision synthétique et lui suggère des pistes de lecture pour l’analyse.
Par l'Expression