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Blek le roc

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    Blek! Ce seul nom a fait rêver nombre de gosses pendant plus de cinquante années! Blek! Ce nom sonne comme le cri de ralliement des trappeurs luttant contre les
    fameux "homards rouges". Blek est aujourd'hui une légende de la bande dessinée petit format.


    [Les albums/Galerie]


    Nous sommes en 1774. La Grande Bretagne considère l'ensemble du continent nord-américain comme étant sa propriété et y exerce une dictature commerciale et militaire. Les tuniques rouges sont partout et mettent le pays à feu et à sang. La résistance s'organise et les colons, oppressé, s'apprêtent à déclarer la guerre d'Indépendance aux anglais, aidés en cela par la France. Blek le Roc, un trappeur géant et athlétique entame alors une lutte sans repos. Ses plus fidèles compagnons sont Roddy, son fils adoptif et le génial professeur Occultis. Bien entendu, la population et les Indiens sont de son côté. Incarnant un idéal de liberté, fidèle en amitié, cet homme d'honneur ne pouvait que séduire les jeunes lecteurs épris d'aventure. Dans un des épisodes, Blek, trahi par un homme qu'il vient de sauver de la noyade, est fait prisonnier par les tuniques rouges. Sauvé par Occultis grâce à un mystérieux breuvage qui le fait passer pour mort, le héros se réveille (à la surprise générale) sur le corbillard et se sauve. L'occasion pour le grand Blek de partir se venger contre ses bourreaux avec l'aide de ses trappeurs...

    Ces héros sont "nés" dans les années 50, en Italie, dessinés et scénarisés par EsseGesse (Sartoris, Guzzon et Sinchetto). Depuis, ils sont sans cesse réédités, dans leur ancien format (bande ou striscie) ou en albums de formats variés. Ils vivent aussi de nouvelles aventures sous le pinceau de nouveaux auteurs tels J. Y. Mitton.

    Né à Toulouse en 1945, J.Y. Mitton entre aux Beaux-Arts en 1960.
    Après 1 an d'académisme, il force la porte des Editions LUG qui le clouent dans leur atelier de retouche BD ... pendant 11 ans ! Cette trop longue période lui permet d'aiguiser ses pinceau sur PIM PAM POUM, OUM LE DAUPHIN, POPOFF, PLUME, SAMMY SAM etc... et surtout BLEK LE ROC dans KIWI dont il dessine une cinquantaine d'épisodes.
    [source]

    Le N°1 de BLEK paru au mois de juillet 1963 et était vendu 50 centime. Sa particularité était d’être un bimensuel comme Névada mais en couleur. Les éditions Lug avaient fait là un « bon choix » car ce fût une réussite commerciale dès les premiers numéros. Pour ceux qui pourraient ne pas le savoir cette publication de 68 pages (64 sans la couverture) était la réédition de son (grand) frère KIWI mais, il ne réédita pas purement et simplement les aventures du grand blek paru dans Kiwi, d’abord, il les fit réapparaître en couleurs, ensuite ils les entremêla de manière différente c’est à dire que, des numéros contenant des épisodes « originaux » crée par les « pères » des personnages furent suivi d’aventures crée par les prédécesseurs des créateurs de blek. La vie du périodique Blek fût bien moins longue que, celle du mensuel Kiwi (qui va dépasser le N°550), et s’arrêta en 1994. Mais, à partir du N°248, du mois de novembre 1973, ce magazine ne s’employa plus qu’a continûment faire de la réédition c’est vraisemblablement, pourquoi le nombre de lecteurs n’a cessé décroître mais il a qu’en même réussi à subsister 21 ans de plus pour atteindre une durée d’existence de 31 ans. Moins prisé des collectionneurs que son grand frère KIWI le petit BLEK est attrayant par le prix, en effet alors qu’une collection de KIWI du premiers numéros jusqu’au 200, par exemple, coûtera une véritable « petite fortune » entre 3000 € et 3500 €, une collection des 300 premiers numéros BLEK reviendra bien moins cher puisque vous pourrez l’obtenir avec un montant de 1200 € à 2000 €. Il est à préciser que ce magazine a commencé comme bimensuel pour finir sa parution comme mensuel, que ses pages étaient d’abord tenu par deux agrafes centrales et qu’en devenant mensuel elles furent, comme les autres titres des éditions Sémic, collées. Mon conseil, toujours le même, acquérir tous les premiers numéros que vous trouver à prix raisonnable et en bon état. Il est important de savoir qu’entre le N°135 et 276 ont y retrouve « le Petit Duc*» admirablement dessiné par DEVI. Par ailleurs, Blek ne devint mensuel qu’au N°302 étoffé a 132 pages et cela jusqu’à son dernier numéro. Cela, je ne peux ici encore que réitérer ce que j’écrivais déjà pour Rodéo, en espérant que les Editions Sémic décident de rééditer aussi le numéro 1 de BLEK et d’ailleurs je leur suggère, pourquoi pas, d’en profiter pour rééditer non seulement le N°1 mais plutôt un lot comprenant les 3 premiers BLEK. [source]
    Dernière modification par absent, 19 novembre 2007, 14h58.

  • #2
    primo bravo
    secondo ou tu as deniché ça et comment t'es venu l'idée de la composer. tu ne sais si un numero de blek est disponible en format numerique et ou le telecherger merci. merci medit pour la surprise.

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    • #3
      Bonjour

      BLed mikey?
      Dans les années 1960 et 1970 à alger beaucoup de gens lisaient les livres de mikey (Blek, Swing, Zembla, Akim....).
      J'ai découvert Blek en 1965 durant mon enfance , il était mon héros!

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