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Le développement de l’économie et l’ouverture des marchés économiques mondiaux ont induit le développement de la sous-traitance qui, de son côté, a connu un essor important à travers lequel plusieurs nouveaux horizons ont vu le jour. En effet, l’«externalisation» est l’un de ces éléments qui a participé à l’émergence et à l’ouverture des PME. Ce nouveau procédé s’illustre par un contrat juridique entre le donneur d’ordres et le prestataire concernant des activités stratégiques de l’entreprise telles que la comptabilité, la formation, le recrutement… «Ce contrat est généralement de longue durée. Ce qui oblige le preneur du marché à investir davantage, notamment dans le recrutement du personnel», a déclaré hier, en marge de la première édition du Salon des centres d’appels en Algérie, organisé à l’hôtel Hilton, M. Mohamed El Ouahdoudi, organisateur de la manifestation. «Nous attendons juste que le texte réglementaire soit adopté», a-t-il ajouté.
Quelques entreprises ont déjà commencé à exploiter cette nouvelle forme de sous-traitance à l’exemple de l’entreprise «Kenza Call Center», spécialisée dans les relations entre client en émission et récepteur d’appels à destination des professionnels et des particuliers. Créée en 2006, Kenza Call Center a pu, en l’espace de quelque temps, décrocher deux intéressants marchés avec l’ambassade de France et celle de la Belgique. « …] Nous sommes actuellement en négociation avancée avec trois autres ambassades, je peux vous dire que nos discussions sont en phase de finalisation», nous a annoncé le directeur général de «Kenza Call Center», M. Karim Haouche, rencontré au salon.
Le contrat de travail reliant ladite entreprise et les ambassades consiste en la prise en charge de l’entreprise de tous les appels relatifs aux renseignements concernant les visas à travers un numéro de quatre chiffres. En réponse à une question relative à la cherté de la communication, notre interlocuteur a tenu à nous expliquer : «Nous prenons seulement 33% des coûts des appels alors que le reste, soit 67%, est retenu par notre opérateur, Algérie Télécom.»
Aussi, vu l’importance de ce secteur émergent, le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, M. Boudjemaa Haïchour, a annoncé hier le démarrage, en 2008, d’un projet de partenariat entre Algérie Télécom et la société algérienne VORAX Technologies, consistant à réaliser 48 centres d’appels, ce qui permettra la création de pas moins de 4 000 nouveaux postes d’emploi au profit des jeunes universitaires.
source : Liberté
Quelques entreprises ont déjà commencé à exploiter cette nouvelle forme de sous-traitance à l’exemple de l’entreprise «Kenza Call Center», spécialisée dans les relations entre client en émission et récepteur d’appels à destination des professionnels et des particuliers. Créée en 2006, Kenza Call Center a pu, en l’espace de quelque temps, décrocher deux intéressants marchés avec l’ambassade de France et celle de la Belgique. « …] Nous sommes actuellement en négociation avancée avec trois autres ambassades, je peux vous dire que nos discussions sont en phase de finalisation», nous a annoncé le directeur général de «Kenza Call Center», M. Karim Haouche, rencontré au salon.
Le contrat de travail reliant ladite entreprise et les ambassades consiste en la prise en charge de l’entreprise de tous les appels relatifs aux renseignements concernant les visas à travers un numéro de quatre chiffres. En réponse à une question relative à la cherté de la communication, notre interlocuteur a tenu à nous expliquer : «Nous prenons seulement 33% des coûts des appels alors que le reste, soit 67%, est retenu par notre opérateur, Algérie Télécom.»
Aussi, vu l’importance de ce secteur émergent, le ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, M. Boudjemaa Haïchour, a annoncé hier le démarrage, en 2008, d’un projet de partenariat entre Algérie Télécom et la société algérienne VORAX Technologies, consistant à réaliser 48 centres d’appels, ce qui permettra la création de pas moins de 4 000 nouveaux postes d’emploi au profit des jeunes universitaires.
source : Liberté