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Ici, c'est à dire au Canada. 
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Les Émirats Arabes Unis (ÉAU) recrutent en Outaouais pour combler leurs besoins en main-d'oeuvre. La rapiditié du développement économique de cet état émergeant du Moyen-Orient crée une demande urgente de ressources humaines.
Le moment ne pouvait pas être mieux choisi pour l'entreprise de recrutement Personnel Outaouais, dont le président Bernard Grenier revient tout juste d'une mission économique à Dubaï. Selon lui, la plus grande ville des ÉAU - qui ne compte que 1,2 million d'habitants - doit chercher à l'étranger pour combler de nombreux emplois dans le domaine des finances, de l'ingénierie civile, de la biologie et de la construction.
La plupart de ces emplois sont des contrats d'un an, et certaines entreprises offrent à leurs recrues canadiennes de défrayer leurs frais de voyage et le transfert de leur famille. Les agences de recrutement, comme Personnel Outaouais, visent surtout les gens d'origine moyen-orientale qui connaissent la langue arabe, mais les concours sont ouverts à tous les professionnels qui ont une bonne connaissance de l'anglais et du français.
"Le développement économique fulgurant des ÉAU dans les domaines de l'immobilier, de la construction des infrastructures, de l'éducation, du multimédia, de la santé, des transports et des télécommunications entraîne une demande urgente de travailleurs", explique M. Grenier. Et pour cause, indique-t-il, la libéralisation de l'immobilier et l'accès à la propriété pour les investisseurs étrangers ont favorisé l'ouverture des marchés dans ce jeune état pétrolifère - fondé en 1971 - voisin de l'Arabie Saoudite et du Quatar, sur le Golfe persique.
La mission économique à Dubaï, organisée par la Chambre de commerce Canada-Liban et présidée par le ministre québécois Sam Hamad, réunissait une quinzaine d'entreprises de la province. M. Grenier était le seul entrepreneur de l'Outaouais à y prendre part. L'agence de recrutement qu'il dirige est revenue des ÉAU, dit-il, avec des carnets bien remplis.
Personnel Outouais doit donc attirer des centaines de candidats, à qui l'agence fera subir des épreuves de qualification avant de soumettre leur candidature aux entreprises qui voudront les embaucher à Dubaï. "Nous avons conclu des alliances stratégiques avec des entreprises auxquelles nous présenterons des candidats", ajoute M. Grenier.
Le taux de placement aux ÉAU est extraordinaire, estime-t-il, mais les candidats doivent posséder de l'expérience professionnelle pertinente et être désireux d'entreprendre et ou poursuivre leur carrière dans un pays en plein développement.
Les Émirats Arabes Unis (ÉAU) recrutent en Outaouais pour combler leurs besoins en main-d'oeuvre. La rapiditié du développement économique de cet état émergeant du Moyen-Orient crée une demande urgente de ressources humaines.
Le moment ne pouvait pas être mieux choisi pour l'entreprise de recrutement Personnel Outaouais, dont le président Bernard Grenier revient tout juste d'une mission économique à Dubaï. Selon lui, la plus grande ville des ÉAU - qui ne compte que 1,2 million d'habitants - doit chercher à l'étranger pour combler de nombreux emplois dans le domaine des finances, de l'ingénierie civile, de la biologie et de la construction.
La plupart de ces emplois sont des contrats d'un an, et certaines entreprises offrent à leurs recrues canadiennes de défrayer leurs frais de voyage et le transfert de leur famille. Les agences de recrutement, comme Personnel Outaouais, visent surtout les gens d'origine moyen-orientale qui connaissent la langue arabe, mais les concours sont ouverts à tous les professionnels qui ont une bonne connaissance de l'anglais et du français.
"Le développement économique fulgurant des ÉAU dans les domaines de l'immobilier, de la construction des infrastructures, de l'éducation, du multimédia, de la santé, des transports et des télécommunications entraîne une demande urgente de travailleurs", explique M. Grenier. Et pour cause, indique-t-il, la libéralisation de l'immobilier et l'accès à la propriété pour les investisseurs étrangers ont favorisé l'ouverture des marchés dans ce jeune état pétrolifère - fondé en 1971 - voisin de l'Arabie Saoudite et du Quatar, sur le Golfe persique.
La mission économique à Dubaï, organisée par la Chambre de commerce Canada-Liban et présidée par le ministre québécois Sam Hamad, réunissait une quinzaine d'entreprises de la province. M. Grenier était le seul entrepreneur de l'Outaouais à y prendre part. L'agence de recrutement qu'il dirige est revenue des ÉAU, dit-il, avec des carnets bien remplis.
Personnel Outouais doit donc attirer des centaines de candidats, à qui l'agence fera subir des épreuves de qualification avant de soumettre leur candidature aux entreprises qui voudront les embaucher à Dubaï. "Nous avons conclu des alliances stratégiques avec des entreprises auxquelles nous présenterons des candidats", ajoute M. Grenier.
Le taux de placement aux ÉAU est extraordinaire, estime-t-il, mais les candidats doivent posséder de l'expérience professionnelle pertinente et être désireux d'entreprendre et ou poursuivre leur carrière dans un pays en plein développement.
François Pierre Dufault
source Le Droit
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Les Émirats Arabes Unis (ÉAU) recrutent en Outaouais pour combler leurs besoins en main-d'oeuvre. La rapiditié du développement économique de cet état émergeant du Moyen-Orient crée une demande urgente de ressources humaines.
Le moment ne pouvait pas être mieux choisi pour l'entreprise de recrutement Personnel Outaouais, dont le président Bernard Grenier revient tout juste d'une mission économique à Dubaï. Selon lui, la plus grande ville des ÉAU - qui ne compte que 1,2 million d'habitants - doit chercher à l'étranger pour combler de nombreux emplois dans le domaine des finances, de l'ingénierie civile, de la biologie et de la construction.
La plupart de ces emplois sont des contrats d'un an, et certaines entreprises offrent à leurs recrues canadiennes de défrayer leurs frais de voyage et le transfert de leur famille. Les agences de recrutement, comme Personnel Outaouais, visent surtout les gens d'origine moyen-orientale qui connaissent la langue arabe, mais les concours sont ouverts à tous les professionnels qui ont une bonne connaissance de l'anglais et du français.
"Le développement économique fulgurant des ÉAU dans les domaines de l'immobilier, de la construction des infrastructures, de l'éducation, du multimédia, de la santé, des transports et des télécommunications entraîne une demande urgente de travailleurs", explique M. Grenier. Et pour cause, indique-t-il, la libéralisation de l'immobilier et l'accès à la propriété pour les investisseurs étrangers ont favorisé l'ouverture des marchés dans ce jeune état pétrolifère - fondé en 1971 - voisin de l'Arabie Saoudite et du Quatar, sur le Golfe persique.
La mission économique à Dubaï, organisée par la Chambre de commerce Canada-Liban et présidée par le ministre québécois Sam Hamad, réunissait une quinzaine d'entreprises de la province. M. Grenier était le seul entrepreneur de l'Outaouais à y prendre part. L'agence de recrutement qu'il dirige est revenue des ÉAU, dit-il, avec des carnets bien remplis.
Personnel Outouais doit donc attirer des centaines de candidats, à qui l'agence fera subir des épreuves de qualification avant de soumettre leur candidature aux entreprises qui voudront les embaucher à Dubaï. "Nous avons conclu des alliances stratégiques avec des entreprises auxquelles nous présenterons des candidats", ajoute M. Grenier.
Le taux de placement aux ÉAU est extraordinaire, estime-t-il, mais les candidats doivent posséder de l'expérience professionnelle pertinente et être désireux d'entreprendre et ou poursuivre leur carrière dans un pays en plein développement.
Les Émirats Arabes Unis (ÉAU) recrutent en Outaouais pour combler leurs besoins en main-d'oeuvre. La rapiditié du développement économique de cet état émergeant du Moyen-Orient crée une demande urgente de ressources humaines.
Le moment ne pouvait pas être mieux choisi pour l'entreprise de recrutement Personnel Outaouais, dont le président Bernard Grenier revient tout juste d'une mission économique à Dubaï. Selon lui, la plus grande ville des ÉAU - qui ne compte que 1,2 million d'habitants - doit chercher à l'étranger pour combler de nombreux emplois dans le domaine des finances, de l'ingénierie civile, de la biologie et de la construction.
La plupart de ces emplois sont des contrats d'un an, et certaines entreprises offrent à leurs recrues canadiennes de défrayer leurs frais de voyage et le transfert de leur famille. Les agences de recrutement, comme Personnel Outaouais, visent surtout les gens d'origine moyen-orientale qui connaissent la langue arabe, mais les concours sont ouverts à tous les professionnels qui ont une bonne connaissance de l'anglais et du français.
"Le développement économique fulgurant des ÉAU dans les domaines de l'immobilier, de la construction des infrastructures, de l'éducation, du multimédia, de la santé, des transports et des télécommunications entraîne une demande urgente de travailleurs", explique M. Grenier. Et pour cause, indique-t-il, la libéralisation de l'immobilier et l'accès à la propriété pour les investisseurs étrangers ont favorisé l'ouverture des marchés dans ce jeune état pétrolifère - fondé en 1971 - voisin de l'Arabie Saoudite et du Quatar, sur le Golfe persique.
La mission économique à Dubaï, organisée par la Chambre de commerce Canada-Liban et présidée par le ministre québécois Sam Hamad, réunissait une quinzaine d'entreprises de la province. M. Grenier était le seul entrepreneur de l'Outaouais à y prendre part. L'agence de recrutement qu'il dirige est revenue des ÉAU, dit-il, avec des carnets bien remplis.
Personnel Outouais doit donc attirer des centaines de candidats, à qui l'agence fera subir des épreuves de qualification avant de soumettre leur candidature aux entreprises qui voudront les embaucher à Dubaï. "Nous avons conclu des alliances stratégiques avec des entreprises auxquelles nous présenterons des candidats", ajoute M. Grenier.
Le taux de placement aux ÉAU est extraordinaire, estime-t-il, mais les candidats doivent posséder de l'expérience professionnelle pertinente et être désireux d'entreprendre et ou poursuivre leur carrière dans un pays en plein développement.
François Pierre Dufault
source Le Droit