Annonce

Réduire
Aucune annonce.

La chirurgie esthétique gagne du terrain en Algérie

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • La chirurgie esthétique gagne du terrain en Algérie

    Phénomène nouveau dans notre société, la chirurgie esthétique gagne du terrain de plus en plus en Algérie, notamment auprès des gens aisés. Il faut noter que la gent féminine s’intéresse davantage aux nouvelles pratiques de la chirurgie esthétique plus que les hommes.

    Pour parvenir à de meilleurs résultats et satisfaire la demande qui reste croissante, la Société algérienne de médecine esthétique (SAME) organise depuis hier à Alger et pour trois jours son 5e congrès national de médecine et de chirurgie esthétique ainsi que la 1re journée nationale de médecine anti-âge.

    Ont pris part à cette rencontre, plusieurs spécialistes étrangers ayant plus 35 ans d’exercice dans la profession, invités pour exposer leurs expériences dans ce domaine. Le président de SAME, Dr Mohamed Oughanem, a fait part du projet de partenariat dans l’enseignement de la chirurgie esthétique en cours d’élaboration avec le Collège international de la chirurgie esthétique en France.

    La formation des praticiens algériens sera assurée par des médecins qui ont plus de 15 ans dans l’enseignement de l’esthétique. Les cours seront enseignés en Algérie et le programme, a-t-il signalé, sera unifié dans 8 pays, dont l’Algérie, le Maroc, la Tunisie, le Canada, le Benelux et le Liban.

    Evoquant l’expérience algérienne dans ce domaine, le Dr Oughanem a affirmé qu’elle est à ses premiers balbutiements du fait que l’enseignement des pratiques esthétiques ne figure pas dans les programmes du cursus universitaire dans les facultés de médecine.

    Il a reconnu par ailleurs le nombre minime des médecins spécialistes dans l’esthétique en raison des problèmes qu’ils rencontrent dans le processus de formation. «Ils sont obligés de fermer leur cabinet, de se déplacer à l’étranger, de payer des billets d’avion, etc.», relève-t-il, avant de souligner une certaine «démocratisation» de la médecine esthétique chez nous.

    «Les deux sexes sont intéressés par la chirurgie esthétique qui est trois fois moins onéreuse chez nous», dit-il, avant de rappeler que l’ensemble des opérations se font au niveau des cliniques privées et qu’elle ne sont pas remboursables par la sécurité sociale.

    source : Le Jeune Indépendant

  • #2
    «Les deux sexes sont intéressés par la chirurgie esthétique qui est trois fois moins onéreuse chez nous»
    Allez savoir peut être que l'algérie va devenir le nouvel el dorado de la chirurgie ésthétique comme au brésil ou celle ci est la deuxiéme religion aprés celle du football

    Commentaire


    • #3
      si c est pour aider les gens qui ont une deformation apres un accident par ex, c est pas mal, mais si c est pour bourer le corps avec du plastique , c est tres mal pour la santé, risque de cancer! allah yastor

      Commentaire


      • #4
        mais si c est pour bourer le corps avec du plastique , c est tres mal pour la santé, risque de cancer! allah yastor
        mais ça on va y avoir le droit...

        Commentaire


        • #5
          mais cela reste un domaine pour les riches qui peuvent se payer ca,et un luxe flatteur comme le montre cette tendance au maroc,les femmes de riches veulent ressembler aux stars de Hollywood et aux locatrices de Beverly Hills voir aux actrices de la san andrea valley

          http://www.telquel-online.com/285/maroc5_285.shtml

          Commentaire


          • #6
            mais cela reste un domaine pour les riches qui peuvent se payer ca,et un luxe flatteur
            bien entendu comme partout ailleurs...

            Commentaire


            • #7
              La chirurgie esthétique gagne du terrain en Algérie
              Les algériennes elles sont belles même sans ça
              peut être il y a une ou deux qui doivent recourir à la chirurgie esthétique mais pas toute.
              Ainsi va le monde

              Commentaire


              • #8
                Les algériennes elles sont belles même sans ça
                peut être il y a une ou deux qui doivent recourir à la chirurgie esthétique mais pas toute.
                mdr tu sais y faire
                algérienne ou pas moi j'ai toujours été contre...
                sauf pour ce qui la chirurgie reconstructive aprés un grave accident
                mais bon libre a chacun de s'aimait ou pas

                Commentaire


                • #9
                  mais cela reste un domaine pour les riches qui peuvent se payer ca,et un luxe flatteur comme le montre cette tendance au maroc
                  non c est pas tout à fait vrai, les prix varient entre 1200 Euro jusqu à environ 6 000 euro, certaines femmes de la classe moyenne ou meme pauvre peuvent se permettre une intervention pour se faire belle ou s acheter une illiúsion, d autant plus qu elles sont exposées toute la journée à une pub de la femme ideale sans ma terhamch!

                  Commentaire


                  • #10
                    1200 Euro jusqu à environ 6 000 euro,
                    attend c'est pas rien ça représente quand même une somme

                    Commentaire


                    • #11
                      attend c'est pas rien ça représente quand même une somme
                      pour les unes, pas pour les autres, je connais des femmes ( voisines) qui ont pris un credit pour se soumettre à ce genre d operation! Et oui, pour etre belle, (pleins de plastique silicon) il faut etre prets à des compromis!(

                      Commentaire


                      • #12
                        mouais les compromis
                        le plastic c'est pas mon truc

                        Commentaire


                        • #13
                          La réglementation de la médecine esthétique en Algérie pour lutter contre la «clandestinité» a été au centre des travaux du 5e congrès national de médecine et de chirurgie esthétiques, organisé à Alger avec la participation de praticiens nationaux et français. Selon les différents intervenants, la demande sur ce genre de soins est en nette croissance, ces dernières années dans le pays, ce qui nécessite une organisation et une réglementation de son enseignement. Pour le Pr Ismaïl Benkaïdali, chef de service dermatologie au CHU Mustapha Pacha, «il est impératif à l'avenir d'organiser et de réglementer les formations chez nous» dans le but de «lutter contre une certaine clandestinité». Ce dernier propose une régularisation des compétences en rendant cette discipline diplômante pour assurer de meilleures conditions de traitement pour les patients. Le Pr Mohamed Bekkat Berkani, président du Conseil de l'ordre des médecins, qui partage le même avis, a estimé qu'il faut désormais penser à «académiser» cette discipline pour assurer une formation «diplomante» et «qualifiante». Selon ce dernier, les praticiens de cette discipline ont une obligation de résultats et doivent, avant tout acte médical, «informer» le patient et «arracher» son consentement pour éviter les plaintes et les tracasseries judiciaires. De son côté, le Dr Charles Gadreaux, directeur du Collège national de médecine esthétique (Paris) a, surtout, insisté sur la formation des praticiens qui doivent avoir, en outre, «une qualification de compétences esthétiques». Il a, dans ce contexte, regretté que la médecine esthétique ne soit pas encore réintégrée dans le cursus universitaire de médecine. Le président de la Société algérienne de médecine esthétique (SAME), Mohamed Oughanem, a plaidé pour l'enseignement de la spécialité, en indiquant que la SAME s'attelle actuellement à «mettre en oeuvre tous les moyens nécessaires» dans ce sens. La SAME et le Collège national de médecine esthétique ont convenu d'un partenariat de formation d'un à deux ans, simultanément à Alger et Paris. Nouvellement introduite en Algérie, la médecine esthétique «intéresse les deux sexes avec une nette prédominance féminine», a-t-il dévoilé. Selon le président de la SAME, la médecine esthétique qui était, il y a quelque décennies, destinée seulement aux riches, est désormais sollicitée par toutes les catégories sociales. Il avoue qu'on assiste à une «démocratisation de la chirurgie et de la médecine esthétiques», en raison de la disponibilité des produits et de techniques plus affinées, rapporte l'APS. Il faut distinguer entre la chirurgie esthétique et la médecine esthétique. Cette dernière utilise des techniques soft comme le peeling, fils de relèvement, injections de produits par seringue, alors que la chirurgie esthétique est plus lourde. Elle recourt à l'anesthésie générale et nécessite le bloc opératoire.

                          Commentaire


                          • #14
                            Lorsque l'on a une "déformation" (je ne sais pas si le terme est dans son contexte) esthétique qui a un impact sur notre quotidien à divers niveaux et nous empêche sensiblement d'avancer, désirer la supprimer me parait justifier; A ce moment là, la chirurgie esthétique peut être le remède efficace.

                            La chirurgie esthétique peut également devenir un vice et finir par faire de l'Homme une monstruosité ( à des degres différents, je laisse libre l'imagination de chacun et la conception de ce qui peut être monstrueux ou non) si la personne ne sait plus s'arrêter.

                            Le recours à la chirurgie esthétique touche toutes les catégories socio-professionnelles et si nous devions en parler dans le monde arabe, au moyen-orient elle est depuis des années monnaie courante.

                            Commentaire


                            • #15
                              bonjour dz faiza
                              Lorsque l'on a une "déformation" (je ne sais pas si le terme est dans son contexte) esthétique qui a un impact sur notre quotidien à divers niveaux et nous empêche sensiblement d'avancer, désirer la supprimer me parait justifier; A ce moment là, la chirurgie esthétique peut être le remède efficace.
                              c'est quoi que t'appelle une défémortation gênante car nous n'aurons pas tous la même façon d'interpréter la déformation certain verront leur nez trop grand d'autre leur poitrine trop petite.... et tout cela sera une gêne pour eux dans le sens ou le regard des autres rentrent en jeu
                              je suis pour la médecine réparatrice sans aller plus loin...

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X