Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Tu me manque horriblement

Réduire
Cette discussion est fermée.
X
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Tu me manque horriblement

    Voilà maintenant 9 ans que tu es parti.


    C’est la première fois que j’ose t’écrire qlq mots, si tu savais à qu'elle point tu peux me manqué, je ne cesse de penser à toi qui a toujours été là pour moi. À chaque fois que j’avais besoin de toi, tu étais toujours là. Pourquoi la vie est faite ainsi? Toujours les bonnes personnes qui payent pour les méchants.
    Ce n’est pas toi que j’ai enterrée c’est ma raison de vivre…
    Je n’arrive pas à faire ton deuil papa, Dieu seul sait combien on a mal, tes enfants ont mal papa.


    Papa allah yarahmek

  • #2
    @Wavelet

    Il n´est pas partie
    Il n´est pas entérré
    Réfléchisse bien

    Sa présence est le fait d´appeler toujours papa
    Meme si tu ne voix son corps au prés de toi
    Ton ésprit, et ton âme refusent cette flamme
    Qui brûle en toi

    Tes soeurs et fréres portent quelque chose de commun
    Si tu ne le veras pas aujourd´hui, ce sera demain

    Ecoute les paroles
    Regarde les traits, et penses aux sourires
    Entre les uns et les autres

    Il es présent
    Et ce est pour debon
    Murmure les mots qu´il les a toujours dit:
    Ma fille
    Mon fils

    On est une famille
    Je ne suis pas seul!


    *Qu´il soit au Paradis aux milieu des anges. D´où il vous envoit chaque matin un bisou!
    Réfléchis....
    Il faut que tu réfléchisses
    Mes pensées sont loins
    !
    [ Yacia Nabila ]

    Commentaire


    • #3
      j'arrive pas a admettre l'idée qu'il soit mort, je souffre et fait souffrire mon entourage.
      au debut, je lui parle, je lui demande consei
      l, je le supplie meme de revenir, sa mort m'a laissée anéantie.

      Commentaire


      • #4
        Dur sentiment, je te souhaite de la patience et du courage, dis toi simplement qu'il n'aimerait pas te savoir triste.
        Que Dieu ait son âme.

        Commentaire


        • #5
          t'es gentille merina,
          tout ce que je sais c'est que personne ne peut me consoler ni le remplacer.
          je vis mon quotidien certes mais toujours avec une partie triste de moi.

          Commentaire


          • #6
            @Wavelet

            Si tu veux qu´il soit mort, tu l´oublie
            Mais si tu ne cesses de penser à lui
            Il est juste décécé!

            Souris, meme les larmes aux yeux
            un Amour d´un père ne suporte le visage pâle
            Et les yeux sernés....
            Dernière modification par DeRienOnaRien, 23 novembre 2007, 12h04.
            Réfléchis....
            Il faut que tu réfléchisses
            Mes pensées sont loins
            !
            [ Yacia Nabila ]

            Commentaire


            • #7
              Wavelet

              Tu sais j'ai beau te dire tous les mots que je veux je sais malheureusement qu'il ne te soulageront pas et pire encore ils ne te ramèneront pas ton père, j'ai pas connue ça moi donc je peux difficilement mesurer l'ampleur de ta douleur, je pourrais juste essayer de te consoler mais en vain car je sais que ton mal est profond.
              En tout cas si tu veux en parler, vider ton coeur, tu me trouveras là pour t'écouter en toute amitié.

              Commentaire


              • #8
                Merina, DeRienOnaRien, merci
                le faite de parler me soulage meme si ma tristesse est profonde, j'avais besoin de vider mon coeur ici cette fois et non plus dans les bras de ma mere, elle souffre encore plus en me voyons comme ca.
                merci encore a vous deux

                Commentaire


                • #9
                  De rien Wavelet,

                  écris pour exterioriser, écris pour mettre des mots sur ton mal, écris pour voir ta souffrance sur papier, écris pour allé mieux.

                  Commentaire


                  • #10
                    @Wavelet : je comprends ce que tu ressens, car moi aussi je n'arrive pas à faire le deuil de mon papa de coeur, c'est à dire mon grand-père paternel. Les jours et les mois passent, mais la douleur reste aussi vive et mon chagrin aussi immense. Faire le deuil d'un être qu'on aime est chose impossible, on doit juste apprendre à vivre sans sa présence. Qu'Allah te donne courage et force pour surmonter cette terrible épreuve.

                    Commentaire


                    • #11
                      merci oiseau bleu, courage
                      moi si un jour j'arrive a comprendre et pardonner, peut etre je me sentirai mieux.
                      pour le moment, je vis le jour au jour, ya eu plusieurs occasions ou sa présence été d’un grand soutien et d’une grande fierté, malheureusement la douleur l’emporte toujours sur le plaisir et le bonheur.

                      Commentaire


                      • #12
                        wavelet

                        je te comprends moi aussi mon pere me manque horriblement et dire qu'il nous a quitté il y'a presque 18ans .et je te comprends on peut jamais faire le deuil d'un pere
                        c'est vrai qu'il y'a des occasions ou sa presence etait d'un grand soutien et une immense fierte .et j'ai senti ça le jour de mon mariage et dire que si il y'avait mon pere je n'aurai pas besoin d'un oncle pour qu'il soit mon tuteur .et oui souvent le bonheur est senti avec douleur de l'absence des personnes cheres a notre coeur
                        mais enfin .il faut avoir la foi et se dire :hamdoullilah
                        Dernière modification par toraya, 23 novembre 2007, 21h21.

                        Commentaire


                        • #13
                          alhamdoulilah pour tout toraya, mais la perte d'une personne chere reste dure a accepeter meme apres un certain temps.

                          et bizarement dans toute les occasions la personne est en nous, elle est avec nous.

                          Commentaire


                          • #14
                            Mon père

                            Chaque soir, haletant, il rentrait à la même heure.
                            Crachait aux gouvernants les mêmes jurons et insultes.
                            Puis rejoignait son coin, sans bruit et sans tumulte.
                            Il méditait et songeait à des lendemains meilleurs.

                            Dans la solitude, à quinze ans, il était orphelin,
                            Banni par les siens et chassé de sa maison,
                            Au prix de la souffrance et au fil des saisons,
                            Il a forgé sa destinée de ses propres mains.

                            Quittant à contrecœur, l’école et ses bancs,
                            Il a trimé sans fin ; malgré les affres de la guerre,
                            Le devoir, le besoin et la misère de naguère,
                            Il a pu survivre et éduquer tous ses enfants.

                            J’imagine, Maintenant que je suis père à mon tour,
                            Combien tu t’es privé pour que moi, je vive
                            Combien tu as trébuché pour que moi, j’arrive.
                            Mais je ne peux, hélas, te rendre tous cela, un jour.

                            Ah, si j’avais compris cette chance, avant ton départ,
                            Je t’aurai offert un peu de gaieté et de tendresse,
                            Te faire oublier les trahisons et les fausses promesses,
                            Mais, aujourd’hui, mes regrets arrivent un peu tard.

                            Avec tous les trésors du monde, je ne pourrais pas
                            te tenir par la main, Caresser tes cheveux blancs,
                            Serrer tendrement dans mes bras ton corps tremblant,
                            T’appeler au moins une fois et crier fièrement : Papa…
                            Mieux vaut un cauchemar qui finit qu’un rêve inaccessible qui ne finit pas…

                            Commentaire


                            • #15
                              une tres belle chanson de daniel guichard :mon vieux .
                              Dans son vieux pardessus râpé
                              Il s'en allait l'hiver, l'été
                              Dans le petit matin frileux
                              Mon vieux.

                              Y avait qu'un dimanche par semaine
                              Les autres jours, c'était la graine
                              Qu'il allait gagner comme on peut
                              Mon vieux.

                              L'été, on allait voir la mer
                              Tu vois c'était pas la misère
                              C'était pas non plus l'paradis
                              Hé oui tant pis.

                              Dans son vieux pardessus râpé
                              Il a pris pendant des années
                              L'même autobus de banlieue
                              Mon vieux.

                              L'soir en rentrant du boulot
                              Il s'asseyait sans dire un mot
                              Il était du genre silencieux
                              Mon vieux.

                              Les dimanches étaient monotones
                              On n'recevait jamais personne
                              Ça n'le rendait pas malheureux
                              Je crois, mon vieux.

                              Dans son vieux pardessus râpé
                              Les jours de paye quand il rentrait
                              On l'entendait gueuler un peu
                              Mon vieux.

                              Nous, on connaissait la chanson
                              Tout y passait, bourgeois, patrons,
                              La gauche, la droite, même le bon Dieu
                              Avec mon vieux.

                              Chez nous y avait pas la télé
                              C'est dehors que j'allais chercher
                              Pendant quelques heures l'évasion
                              Tu sais, c'est con!

                              Dire que j'ai passé des années
                              A côté de lui sans le r'garder
                              On a à peine ouvert les yeux
                              Nous deux.

                              J'aurais pu c'était pas malin
                              Faire avec lui un bout d'chemin
                              Ça l'aurait p't'-êt' rendu heureux
                              Mon vieux.

                              Mais quand on a juste quinze ans
                              On n'a pas le cœur assez grand
                              Pour y loger tout's ces chos's-là
                              Tu vois.

                              Maintenant qu'il est loin d'ici
                              En pensant à tout ça, j'me dis
                              "J'aim'rais bien qu'il soit près de moi"
                              PAPA...

                              Commentaire

                              Chargement...
                              X