David Martinon, 36 ans, pendant 7 ans conseiller diplomatique de Nicolas Sarkozy, maintenant son porte-parole et candidat à sa succession à Neuilly aux prochaines élections, a été reçu mercredi 21 novembre par Richard Prasquier, Président du CRIF devant une salle comble malgré la grève, composée de son Bureau exécutif et de l’Association des Amis du Crif.
David Martinon a tenu à rappeler les liens privilégiés de Nicolas Sarkozy avec la communauté juive. En tant que Ministre de l’Intérieur, il a rétabli avec elle le dialogue que la République avait quelque peu délaissé, ce qui lui a valu en 2003 le Prix de la Tolérance du Centre Simon Wiesenthal.
De même, son premier voyage international en tant que Président de l’UMP, a été pour Israël et depuis son élection comme Président de la France, on peut parler de “lune de miel” et de relations comme avant 1967.
Nicolas Sarkozy a été le premier en France à penser qu’il faut avoir avec Israël un langage “d’ami “et pas de “donneur de leçons” et qu’en dehors des relations politiques, il y a les relations économiques avec Israël qu’il faut renforcer.
Le prochain sommet d’Annapolis, les sanctions contre l’Iran, l’importance de la francophonie en Israël, la prochaine visite de Khadafi en France et celle de Nicolas Sarkozy en Algérie sont des sujets qui ont également été évoqués.
Il était aussi important que David Martinon entende les questions de la salle, même s’il ne pouvait pas pour la plupart y répondre:
A l’impossibilité depuis quelques années pour de nombreux élèves des Grandes Ecoles de passer leurs examens parce qu’ils tombent le shabat ou les jours de fête sans que leur Direction ne veuille faire le moindre effort pour proposer une alternative, il a promis de transmettre ces difficultés à Nicolas Sarkozy et à Valérie Pécresse.
Il a rappelé que le Président a toujours souhaité et il l’a écrit dans ses ouvrages que les règles soient suffisamment souples pour qu’aucun citoyen ne soit lésé.
A l’évocation de l’Affaire Al-Dhura, très préoccupante pour la communauté juive, il a répondu que c’est une affaire de justice et qu’il lui était donc impossible d’ intervenir tant qu’elle était en cours.
Enfin en ce qui concerne le projet Europe-Méditérannée, évoqué pour la première fois en mars 2005 à Rabat, il a confirmé qu’Israël y aurait une place prépondérante puisque nul ne peut douter qu’Israël est un pays méditérannéen et l’objectif de ce projet est d’obtenir à terme la paix et la prospérité dans cette partie du monde.
Sabine Roitman en reportage au CRIF
David Martinon a tenu à rappeler les liens privilégiés de Nicolas Sarkozy avec la communauté juive. En tant que Ministre de l’Intérieur, il a rétabli avec elle le dialogue que la République avait quelque peu délaissé, ce qui lui a valu en 2003 le Prix de la Tolérance du Centre Simon Wiesenthal.
De même, son premier voyage international en tant que Président de l’UMP, a été pour Israël et depuis son élection comme Président de la France, on peut parler de “lune de miel” et de relations comme avant 1967.
Nicolas Sarkozy a été le premier en France à penser qu’il faut avoir avec Israël un langage “d’ami “et pas de “donneur de leçons” et qu’en dehors des relations politiques, il y a les relations économiques avec Israël qu’il faut renforcer.
Le prochain sommet d’Annapolis, les sanctions contre l’Iran, l’importance de la francophonie en Israël, la prochaine visite de Khadafi en France et celle de Nicolas Sarkozy en Algérie sont des sujets qui ont également été évoqués.
Il était aussi important que David Martinon entende les questions de la salle, même s’il ne pouvait pas pour la plupart y répondre:
A l’impossibilité depuis quelques années pour de nombreux élèves des Grandes Ecoles de passer leurs examens parce qu’ils tombent le shabat ou les jours de fête sans que leur Direction ne veuille faire le moindre effort pour proposer une alternative, il a promis de transmettre ces difficultés à Nicolas Sarkozy et à Valérie Pécresse.
Il a rappelé que le Président a toujours souhaité et il l’a écrit dans ses ouvrages que les règles soient suffisamment souples pour qu’aucun citoyen ne soit lésé.
A l’évocation de l’Affaire Al-Dhura, très préoccupante pour la communauté juive, il a répondu que c’est une affaire de justice et qu’il lui était donc impossible d’ intervenir tant qu’elle était en cours.
Enfin en ce qui concerne le projet Europe-Méditérannée, évoqué pour la première fois en mars 2005 à Rabat, il a confirmé qu’Israël y aurait une place prépondérante puisque nul ne peut douter qu’Israël est un pays méditérannéen et l’objectif de ce projet est d’obtenir à terme la paix et la prospérité dans cette partie du monde.
Sabine Roitman en reportage au CRIF
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