Tweet
Bonsoir
La prévision d'un hiver rigoureux aux Etats-Unis, le recul continu du dollar et la tension entre offre et demande ont contribué à faire augmenter le prix du baril de pétrole brut, qui a atteint lundi à New York un sommet de 99,29 dollars avant de redescendre.
«Nous frôlons les 100 dollars le baril sur le New York Mercantile Exchange», observe un opérateur londonien. «Nous verrons inévitablement certains spéculateurs tenter de pousser le baril au-delà de ce seuil, seulement pour dire 'on l'a fait'», a-t-il expliqué.
Le contrat de janvier sur le brut coté au New York Mercantile Exchange (Nymex, marché des matières premières) a atteint en séance un sommet de 99,29 dollars, avant de redescendre à 98,38 dollars. A Londres en milieu de journée, le contrat de janvier sur le Brent a gagné 9 cents à 95,85 dollars le baril, après avoir établi un nouveau record à 96,65 dollars.
Les opérateurs attribuent cette progression aux facteurs habituels - la faiblesse du billet vert et des fondamentaux haussiers -, mais il leur semble également que les fonds spéculatifs cherchent la moindre excuse pour pousser le brut coté au Nymex au-delà des 100 dollars.
Selon Olivier Jakob, de la firme Petromatrix, les températures inférieures à la normale attendues au cours des deux prochaines semaines outre-Atlantique sont un facteur de hausse des prix. En outre, d'après Peter Beutel, analyste chez Cameron Hanover, le marché n'a pas eu le temps de prendre entièrement en compte le rapport de la semaine dernière sur les stocks pétroliers aux Etats-Unis, en raison du long week-end de Thanksgiving.
Pour Peter Beutel, «il n'y a aucune raison pour que les prix ne franchissent pas les 100 dollars cette semaine».
Source: AP
La prévision d'un hiver rigoureux aux Etats-Unis, le recul continu du dollar et la tension entre offre et demande ont contribué à faire augmenter le prix du baril de pétrole brut, qui a atteint lundi à New York un sommet de 99,29 dollars avant de redescendre.
«Nous frôlons les 100 dollars le baril sur le New York Mercantile Exchange», observe un opérateur londonien. «Nous verrons inévitablement certains spéculateurs tenter de pousser le baril au-delà de ce seuil, seulement pour dire 'on l'a fait'», a-t-il expliqué.
Le contrat de janvier sur le brut coté au New York Mercantile Exchange (Nymex, marché des matières premières) a atteint en séance un sommet de 99,29 dollars, avant de redescendre à 98,38 dollars. A Londres en milieu de journée, le contrat de janvier sur le Brent a gagné 9 cents à 95,85 dollars le baril, après avoir établi un nouveau record à 96,65 dollars.
Les opérateurs attribuent cette progression aux facteurs habituels - la faiblesse du billet vert et des fondamentaux haussiers -, mais il leur semble également que les fonds spéculatifs cherchent la moindre excuse pour pousser le brut coté au Nymex au-delà des 100 dollars.
Selon Olivier Jakob, de la firme Petromatrix, les températures inférieures à la normale attendues au cours des deux prochaines semaines outre-Atlantique sont un facteur de hausse des prix. En outre, d'après Peter Beutel, analyste chez Cameron Hanover, le marché n'a pas eu le temps de prendre entièrement en compte le rapport de la semaine dernière sur les stocks pétroliers aux Etats-Unis, en raison du long week-end de Thanksgiving.
Pour Peter Beutel, «il n'y a aucune raison pour que les prix ne franchissent pas les 100 dollars cette semaine».
Source: AP
Commentaire