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Main-d’œuvre algérienne, vastes campagnes de recrutement par les Emiratis!
La main-d’œuvre qualifiée algérienne est de plus en plus convoitée sur le marché de travail à l’échelle mondiale. En effet, après les Français et les Canadiens, ce sont les Emiratis qui viennent de lancer des campagnes pour le recrutement de la main-d'œuvre algérienne. Ainsi, ce sont plusieurs groupes économiques basés aux Emirats arabes unis qui viennent de lancer une vaste campagne de recrutement en Algérie.
La recherche de cette main-d'œuvre a été confiée à un bureau de consulting émirati basé à Alger, Sabah Invest. Tenant compte des profils recherchés, la campagne de recrutement en question cible particulièrement les nouveaux diplômés et les jeunes cadres des sociétés privées et publiques, et les postes à pourvoir aux Emirats arabes unis se comptent en plusieurs centaines et touchent à plusieurs domaines d'activités.
Ainsi, il y a lieu de conclure que la main-d'œuvre algérienne est vraisemblablement bien cotée auprès des employeurs et des sociétés des EAU. Pour expliquer les motifs ayant incité les sociétés émiraties à s'intéresser autant aux travailleurs algériens, une source proche du cabinet de consulting Sabah Invest déclare : "Nous avons remarqué que les cadres algériens travaillent dans de grands groupes à l'étranger. Nous avons remarqué aussi que les cadres algériens travaillant aux Emirats arabes unis bénéficient d'une bonne réputation auprès de leurs employeurs".
Ainsi, contrairement aux campagnes de recrutement que les pays du Golfe ont déjà lancé en Algérie dans le passé et qui n'ont concerné que les pilotes, les hôtesses de l'air et des cadres diplômés dans le secteur pétrolier, cette fois-ci les sociétés émiraties comptent cibler les médecins, les informaticiens, des ingénieurs en travaux publics et bâtiment ainsi que des cadres dans le domaine des télécommunications.
En tout cas, connue pour sa détermination et son sens facile de communication et d'intégration, la main-d'œuvre algérienne réussira, à coup sûr, son engagement sur le marché de travail émirati, comme cela a été le cas auparavant en surmontant le défi. Appréciant l'expérience des travailleurs algériens recrutés dans le passé par des sociétés du Golfe, les Emiratis ont conclu, à travers les deux secteurs dans lesquels ils ont déjà travaillé, les Algériens sont réputés pour leur expérience et leur compétence.
Les mêmes sources ont expliqué également que "pour travailler aux Émirats, les candidats doivent transmettre leur CV à Sabah Invest et attendre un entretien d'embauche qui se déroulera à Alger". Pour ce qui est des rémunérations, il a été fait savoir que les salaires offerts sont équivalents aux rémunérations actuellement en vigueur aux Emirates arabes unis.
En lançant une campagne de recrutement pour attirer les compétences nationales, les Émiratis se placent en concurrents notamment des Français qui cherchent eux aussi à recruter nos cerveaux notamment dans l'informatique. Il importe de préciser que la main-d'œuvre algérienne tend à s'imposer sur le marché mondial. Auparavant, rappelle-t-on, des groupes privés nationaux se sont lancés dans de vastes campagnes de recrutement de la main-d'œuvre algérienne établie à l'étranger, à l'instar du groupe agroalimentaire Cevital.
M. Amani Pour Le Maghreb.
Le 27-11-07.
La recherche de cette main-d'œuvre a été confiée à un bureau de consulting émirati basé à Alger, Sabah Invest. Tenant compte des profils recherchés, la campagne de recrutement en question cible particulièrement les nouveaux diplômés et les jeunes cadres des sociétés privées et publiques, et les postes à pourvoir aux Emirats arabes unis se comptent en plusieurs centaines et touchent à plusieurs domaines d'activités.
Ainsi, il y a lieu de conclure que la main-d'œuvre algérienne est vraisemblablement bien cotée auprès des employeurs et des sociétés des EAU. Pour expliquer les motifs ayant incité les sociétés émiraties à s'intéresser autant aux travailleurs algériens, une source proche du cabinet de consulting Sabah Invest déclare : "Nous avons remarqué que les cadres algériens travaillent dans de grands groupes à l'étranger. Nous avons remarqué aussi que les cadres algériens travaillant aux Emirats arabes unis bénéficient d'une bonne réputation auprès de leurs employeurs".
Ainsi, contrairement aux campagnes de recrutement que les pays du Golfe ont déjà lancé en Algérie dans le passé et qui n'ont concerné que les pilotes, les hôtesses de l'air et des cadres diplômés dans le secteur pétrolier, cette fois-ci les sociétés émiraties comptent cibler les médecins, les informaticiens, des ingénieurs en travaux publics et bâtiment ainsi que des cadres dans le domaine des télécommunications.
En tout cas, connue pour sa détermination et son sens facile de communication et d'intégration, la main-d'œuvre algérienne réussira, à coup sûr, son engagement sur le marché de travail émirati, comme cela a été le cas auparavant en surmontant le défi. Appréciant l'expérience des travailleurs algériens recrutés dans le passé par des sociétés du Golfe, les Emiratis ont conclu, à travers les deux secteurs dans lesquels ils ont déjà travaillé, les Algériens sont réputés pour leur expérience et leur compétence.
Les mêmes sources ont expliqué également que "pour travailler aux Émirats, les candidats doivent transmettre leur CV à Sabah Invest et attendre un entretien d'embauche qui se déroulera à Alger". Pour ce qui est des rémunérations, il a été fait savoir que les salaires offerts sont équivalents aux rémunérations actuellement en vigueur aux Emirates arabes unis.
En lançant une campagne de recrutement pour attirer les compétences nationales, les Émiratis se placent en concurrents notamment des Français qui cherchent eux aussi à recruter nos cerveaux notamment dans l'informatique. Il importe de préciser que la main-d'œuvre algérienne tend à s'imposer sur le marché mondial. Auparavant, rappelle-t-on, des groupes privés nationaux se sont lancés dans de vastes campagnes de recrutement de la main-d'œuvre algérienne établie à l'étranger, à l'instar du groupe agroalimentaire Cevital.
M. Amani Pour Le Maghreb.
Le 27-11-07.
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