Tu étais si belle, douceur des archanges, cadeau du ciel
Dans un corps si frêle, soufflé de louanges, tu étais celle
Celle qu'on appelle, celle qu'on dérange, tu étais telle
Cette voix si grêle, se noyant dans la fange, ma tendre noctuelle...
Tu écoutais ces discours, te nourrissais de candeur, et encore
Tu as voulu un jour, lui faire oublier sans heurt, cette immonde angor
La replongeant dans ses hourds, là où elle demeure, l'esprit fort
Mais les cris qui rendent sourds, elle se meurt, dans ce suaire d'or ...
Petite fille, tu vis en elle, regarde toi, reprends toi
Oublie cette jouvencelle, présèrve là, aide là ici bas
Ma toute belle, ne la laisse pas, elle aurait si froid sans toi
Accepte là au pluriel, serre là dans tes bras, réchauffe là de toi ...
Je continuerai plus tard ...
Dans un corps si frêle, soufflé de louanges, tu étais celle
Celle qu'on appelle, celle qu'on dérange, tu étais telle
Cette voix si grêle, se noyant dans la fange, ma tendre noctuelle...
Tu écoutais ces discours, te nourrissais de candeur, et encore
Tu as voulu un jour, lui faire oublier sans heurt, cette immonde angor
La replongeant dans ses hourds, là où elle demeure, l'esprit fort
Mais les cris qui rendent sourds, elle se meurt, dans ce suaire d'or ...
Petite fille, tu vis en elle, regarde toi, reprends toi
Oublie cette jouvencelle, présèrve là, aide là ici bas
Ma toute belle, ne la laisse pas, elle aurait si froid sans toi
Accepte là au pluriel, serre là dans tes bras, réchauffe là de toi ...
Je continuerai plus tard ...
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