Papillon...
Je te voyais voler d’une fleur à une fleur
Tu étais messager de leurs cœurs
Tu étais si heureux, tu partageais leur bonheur
Elles étaient fascinées par tes milles couleurs
Papillon...
Tu avais si peur de ces mains qui t’ont attrapé
Tu as perdu ta liberté
Mais tu désirais quand même rester
Rêvant de passer le restant de ta vie
Tu ne voulais jamais sortir de cette rêverie
Papillon...
Parce que tu étais amoureux
Tu n’as pas senti les mains t’écraser en douceur
Tu étais ivre de bonheur
Tu aimais ces mains encore plus avec chaque jour qui se lève
Mais hélas ta joie fut si brève
Papillon...
Que deviens-tu ?
Je ne te reconnais plus
Ta joie a disparu
Ton sourire tu l’as perdu
Je ne te vois plus voler
Tes ails sont brulés
Papillon...
Tu t’agites, et tu saignes
Dans ton petit cœur ce n’est que la tristesse qui règne
Papillon tu meurs …Tu meurs !!
Personne ne peut te sauver même tes amies fleurs
Elles sont tristes et elles pleurent
Les jasmins on perdu leur belle odeur
Les roses referment leurs pétales, elles ont peur
En te voyant t’approcher de ta dernière heure
Pauvre papillon !!
Je te voyais voler d’une fleur à une fleur
Tu étais messager de leurs cœurs
Tu étais si heureux, tu partageais leur bonheur
Elles étaient fascinées par tes milles couleurs
Papillon...
Tu avais si peur de ces mains qui t’ont attrapé
Tu as perdu ta liberté
Mais tu désirais quand même rester
Rêvant de passer le restant de ta vie
Tu ne voulais jamais sortir de cette rêverie
Papillon...
Parce que tu étais amoureux
Tu n’as pas senti les mains t’écraser en douceur
Tu étais ivre de bonheur
Tu aimais ces mains encore plus avec chaque jour qui se lève
Mais hélas ta joie fut si brève
Papillon...
Que deviens-tu ?
Je ne te reconnais plus
Ta joie a disparu
Ton sourire tu l’as perdu
Je ne te vois plus voler
Tes ails sont brulés
Papillon...
Tu t’agites, et tu saignes
Dans ton petit cœur ce n’est que la tristesse qui règne
Papillon tu meurs …Tu meurs !!
Personne ne peut te sauver même tes amies fleurs
Elles sont tristes et elles pleurent
Les jasmins on perdu leur belle odeur
Les roses referment leurs pétales, elles ont peur
En te voyant t’approcher de ta dernière heure
Pauvre papillon !!
La douce nuit étoilée
01/12/2007 - 03h
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