Bonsoir
Fin de cavale pour les deux plus dangereux groupes de braqueurs à Tizi-Ouzou. Spécialistes dans les faux barrages, ces deux gangs ont semé, pendant plus de deux années un vrai climat de terreur sur les routes de la wilaya.
Deux longues années durant lesquelles des dizaines de citoyens ont été interceptés, séquestrés et leurs véhicules subtilisés pour être vendus quelques heures seulement après le forfait.
Cette belle prise, réalisée par les éléments de la SWPJ de Tizi-Ouzou à été rendue possible grâce aux investigations, très poussés des enquêteurs lesquels ont dû faire étalage de tout leur savoir-faire pour pouvoir anéantir des malfaiteurs aussi dangereux, 10 mois durant, les différents services de la SWPJ notamment ceux de l’analyse criminelle et celui de la recherche et de l’investigation, ont cousu le fil d’une affaire pourtant trop compliquée jusqu’a faire tomber la tête pensante. En effet, la première difficulté c’est la complexité de l’organigramme de ces deux gangs qui agissaient en forme de pyramide, où seuls les chefs se connaissent entre eux.
L’arrestation de certains membres de ce groupe, en mars dernier, n’a, de ce fait, pas permis à l’enquête d’avancer puisque les personnes interpellées ne se connaissaient même pas entre elles.
Le premier gang, celui activant dans les régions de Ouaguenoun, Boudjima, Tala Athmane, Tamda, et Fréha a été anéanti suite à une minutieuse série de filatures et de surveillance.
Le deuxième groupe, celui qui à terrorisé la région de Boghni, Maâtkas et Mechteras, est demantelé, quant à lui, fin octobre dernier avec l’arrestation du chef du gang.
Ce dernier circulait avec une fausse pièce d’identité car il était activement recherché par les services de sécurité pour un crime crapuleux commis dans la région de Bounouh en 2001.
Le groupe en question, est composé 17 éléments dont 13 ont été arrêtés. Ils résident, pour la majorité dans la daïra de Boghni, Un groupe qui, selon les enquêteurs, a des ramifications nationales puisqu’il serait lié à d’autres gangs, activant dans d’autres wilayas (notamment à l’ouest du pays) qui s’occupent de la revente du matériel volé et du trafic de papiers.
Hier, lorsque le SWPJ de Tizi-Ouzou, le commissaire Madjid Aknouche, a annoncé aux journalistes la neutralisation de ces malfrats, l’impressionnant arsenal utilisé par le gangs était constitué de neuf (9) armes automatiques, deux fusils de chasse à canon scié et un fusil à pompe, sans parler des sabres, couteaux et autres cagoules récupérées.
Les policiers ont également mis la main sur une importante quantité de munitions, de fausses pièces d’identité, des portable, etc...
La Dépêche de Kabylie
Fin de cavale pour les deux plus dangereux groupes de braqueurs à Tizi-Ouzou. Spécialistes dans les faux barrages, ces deux gangs ont semé, pendant plus de deux années un vrai climat de terreur sur les routes de la wilaya.
Deux longues années durant lesquelles des dizaines de citoyens ont été interceptés, séquestrés et leurs véhicules subtilisés pour être vendus quelques heures seulement après le forfait.
Cette belle prise, réalisée par les éléments de la SWPJ de Tizi-Ouzou à été rendue possible grâce aux investigations, très poussés des enquêteurs lesquels ont dû faire étalage de tout leur savoir-faire pour pouvoir anéantir des malfaiteurs aussi dangereux, 10 mois durant, les différents services de la SWPJ notamment ceux de l’analyse criminelle et celui de la recherche et de l’investigation, ont cousu le fil d’une affaire pourtant trop compliquée jusqu’a faire tomber la tête pensante. En effet, la première difficulté c’est la complexité de l’organigramme de ces deux gangs qui agissaient en forme de pyramide, où seuls les chefs se connaissent entre eux.
L’arrestation de certains membres de ce groupe, en mars dernier, n’a, de ce fait, pas permis à l’enquête d’avancer puisque les personnes interpellées ne se connaissaient même pas entre elles.
Le premier gang, celui activant dans les régions de Ouaguenoun, Boudjima, Tala Athmane, Tamda, et Fréha a été anéanti suite à une minutieuse série de filatures et de surveillance.
Le deuxième groupe, celui qui à terrorisé la région de Boghni, Maâtkas et Mechteras, est demantelé, quant à lui, fin octobre dernier avec l’arrestation du chef du gang.
Ce dernier circulait avec une fausse pièce d’identité car il était activement recherché par les services de sécurité pour un crime crapuleux commis dans la région de Bounouh en 2001.
Le groupe en question, est composé 17 éléments dont 13 ont été arrêtés. Ils résident, pour la majorité dans la daïra de Boghni, Un groupe qui, selon les enquêteurs, a des ramifications nationales puisqu’il serait lié à d’autres gangs, activant dans d’autres wilayas (notamment à l’ouest du pays) qui s’occupent de la revente du matériel volé et du trafic de papiers.
Hier, lorsque le SWPJ de Tizi-Ouzou, le commissaire Madjid Aknouche, a annoncé aux journalistes la neutralisation de ces malfrats, l’impressionnant arsenal utilisé par le gangs était constitué de neuf (9) armes automatiques, deux fusils de chasse à canon scié et un fusil à pompe, sans parler des sabres, couteaux et autres cagoules récupérées.
Les policiers ont également mis la main sur une importante quantité de munitions, de fausses pièces d’identité, des portable, etc...
La Dépêche de Kabylie
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