On ne sait jamais par quoi commencer quand on écrit ce genre de discours.
Il faut interesser, il faut développer, il faut se raconter comme toujours.
J'ai pris ma plume aujourd'hui pour vous dire tout ce qu'il y a dans mon coeur.
Oui j'aime les mots, j'aime les rimes comme un jardinier aime ses fleurs.
Je suis jeune, d'une sensibilité troublante, je ne connais pas la cruauté, je n'aime pas la vulgarité.
On peut dire qu'on m'a bien éduqué.
Je me construit au grès du vent, la tête souvent ailleurs
le coeur plein de sentiments et l'envie d'être meilleure.
J'ai grandis d'un coup, je n'ai pas vu le temps passer,
je suis jeune certes, mais trop de choses m'ont boulversées.
Je ne parle pas de chagrins d'adolescentes, de déceptions insouciantes,
mais d'affaires plus signifiantes, de blessures plus importantes.
Je ne me plains pas, je n'ai jamais manqué de rien,
de la nourriture, des vêtements chauds et tout ce qu'il faut de bien.
J'ai une famille, des amis, je vis, je ris et j'écris.
Mais cela ne comble pas le vide en moi, ce sentiment étrange,
un mal-être profond que je piétine mais qui toujours me dérange.
Souvent j'aimerais prendre envol, disparaitre et renaître dans un autre monde.
Fermer les yeux sur le mal, ne plus souffrir ne plus voir les gens se morfondre.
Je me nourris d'histoires, les plus belles, les plus dérisoires et aussi les plus noires.
Je pense donc je suis, je dirais plûtot j'écris donc je vis, cela me donne plus d'espoir !
Il faut interesser, il faut développer, il faut se raconter comme toujours.
J'ai pris ma plume aujourd'hui pour vous dire tout ce qu'il y a dans mon coeur.
Oui j'aime les mots, j'aime les rimes comme un jardinier aime ses fleurs.
Je suis jeune, d'une sensibilité troublante, je ne connais pas la cruauté, je n'aime pas la vulgarité.
On peut dire qu'on m'a bien éduqué.
Je me construit au grès du vent, la tête souvent ailleurs
le coeur plein de sentiments et l'envie d'être meilleure.
J'ai grandis d'un coup, je n'ai pas vu le temps passer,
je suis jeune certes, mais trop de choses m'ont boulversées.
Je ne parle pas de chagrins d'adolescentes, de déceptions insouciantes,
mais d'affaires plus signifiantes, de blessures plus importantes.
Je ne me plains pas, je n'ai jamais manqué de rien,
de la nourriture, des vêtements chauds et tout ce qu'il faut de bien.
J'ai une famille, des amis, je vis, je ris et j'écris.
Mais cela ne comble pas le vide en moi, ce sentiment étrange,
un mal-être profond que je piétine mais qui toujours me dérange.
Souvent j'aimerais prendre envol, disparaitre et renaître dans un autre monde.
Fermer les yeux sur le mal, ne plus souffrir ne plus voir les gens se morfondre.
Je me nourris d'histoires, les plus belles, les plus dérisoires et aussi les plus noires.
Je pense donc je suis, je dirais plûtot j'écris donc je vis, cela me donne plus d'espoir !
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