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Méditerranée

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  • Méditerranée

    Le banc patiné
    Regarde la mer que je regardais
    La robe bleue de ta jeunesse
    Sous le ciel, face à la mer
    Nous ne savions pas que l'instant s'en allait
    L'instant du mariage de la mer, du ciel et toi
    Nous avions l'éternité
    Ta main dans mes cheveux, tes cheveux dans mes yeux
    Ton rire dans ma joie
    La mer est là sous le ciel qui me souvient
    Le bleu de ta robe dans la foule qui t'a prise
    Dans la vie qui ignore ce banc, le ciel et la mer et l'instant
    La vie dans le tumulte de la ville
    Des petits riens et des lendemains pareils
    Des habitudes
    Des matins gris
    On peut être libre sans être grand mais on ne peut pas être grand sans être libre

  • #2
    Bonjour moreno,


    La méditéranée mer tant aimée
    Au ciel azuré bordé de rayons doré
    se pare le soir comme une mariée
    La lune rougissante demande aux étoiles
    d'etinceller de lumières sur les vagues frémissantes
    Haletante la lune regarde
    Les vagues s'ébattre bordées d'étoiles
    et le calme de la nuit
    apaise aussi tous les esprits


    Merci moreno pour ton beau poème.

    Belle journée

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    • #3
      La réplique est féérique.

      Merci Mordjane
      On peut être libre sans être grand mais on ne peut pas être grand sans être libre

      Commentaire


      • #4
        merci

        Merci à toi de penser à la méditeranée. Il est impossible de resister . Rien que de prononcer le nom, je sens déja son effluve qui me chatouille les narines.


        Bonne journée

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        • #5
          Bonjour Monero et Morjane,

          Merci pour ce poeme pour la mediteranee. On a beaucoup de chance d'etre ces enfants, elle qui nous a tjrs servi.

          Merci pour Morjane aussi.

          Bonne journee,

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