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Chambre algéro-américaine de Commerce
L’exportation de produits agroalimentaires aux États-Unis d’Amérique a été au centre d’une journée d’information organisée, hier, à l’hôtel Hilton par le Forum des chefs d’entreprise en collaboration avec le Conseil d’affaires. L’objectif était d’encourager les entreprises algériennes à participer à l’exposition internationale de Las Vegas. Une opportunité pour les opérateurs économiques algériens, notamment privés, d’exposer leurs produits. Cette année, le pavillon algérien est coparrainé par l’US ABC, le WTCA, le FCE et la CACI. Le directeur d’Algex rappelle, dans ce sens, que l’Algérie bénéficie d’un Système de préférences généralisées (SGP) mis en place par les États-Unis pour soutenir les exportations algériennes hors hydrocarbures. Grâce à ce système, quelque 3 400 produits algériens, dont les produits agricoles et une large gamme de produits industriels, de l’artisanat et de matières premières, peuvent entrer sur le marché américain sans droits de douane et sans contingentement. Les produits alimentaires algériens sont très demandés aux États-Unis. Le patron de Sim, qui a déjà participé à la foire de Chicago, est convaincu que le produit algérien “peut trouver sa place sur le marché américain”, pour peu que les exportateurs algériens, fassent preuve de professionnalisme. L’ambassadeur des États-Unis, Son Excellence M. Robert S. Ford, partage la conviction de M. Ezzeraimi. Il relève que les échanges entre les deux pays sont en constante augmentation. “Ils sont cinq fois plus importants qu’ils l’étaient en 2002. Les États-Unis sont les premiers partenaires de l’Algérie”, souligne M. Robert S. Ford. Entre janvier et septembre 2007, le volume des échanges a atteint 14,9 milliards de dollars. Les exportations algériennes s’élèvent à 13,8 milliards de dollars, “essentiellement des hydrocarbures” se désole M. Robert S. Ford. Ce dernier estime qu’il existe des possibilités d’augmenter les exportations hors hydrocarbures, relevant au passage que les exportations de fruits algériens aux États-Unis ont progressé de 116%. Pour les opérateurs algériens c’est aussi une occasion de diversifier leur source d’importations, pour contourner la hausse de l’euro. Ce qui est certain, l’exposition de Las Vegas qui se tiendra du 4 au 7 mai est une occasion pour les opérateurs économiques algériens de mesurer l’importance du marché américain pour les productions hors hydrocarbures de l’Algérie, de s’informer des dispositions commerciales qui y existent et des opportunités d’affaires qu’ils peuvent réaliser
M. R
L’exportation de produits agroalimentaires aux États-Unis d’Amérique a été au centre d’une journée d’information organisée, hier, à l’hôtel Hilton par le Forum des chefs d’entreprise en collaboration avec le Conseil d’affaires. L’objectif était d’encourager les entreprises algériennes à participer à l’exposition internationale de Las Vegas. Une opportunité pour les opérateurs économiques algériens, notamment privés, d’exposer leurs produits. Cette année, le pavillon algérien est coparrainé par l’US ABC, le WTCA, le FCE et la CACI. Le directeur d’Algex rappelle, dans ce sens, que l’Algérie bénéficie d’un Système de préférences généralisées (SGP) mis en place par les États-Unis pour soutenir les exportations algériennes hors hydrocarbures. Grâce à ce système, quelque 3 400 produits algériens, dont les produits agricoles et une large gamme de produits industriels, de l’artisanat et de matières premières, peuvent entrer sur le marché américain sans droits de douane et sans contingentement. Les produits alimentaires algériens sont très demandés aux États-Unis. Le patron de Sim, qui a déjà participé à la foire de Chicago, est convaincu que le produit algérien “peut trouver sa place sur le marché américain”, pour peu que les exportateurs algériens, fassent preuve de professionnalisme. L’ambassadeur des États-Unis, Son Excellence M. Robert S. Ford, partage la conviction de M. Ezzeraimi. Il relève que les échanges entre les deux pays sont en constante augmentation. “Ils sont cinq fois plus importants qu’ils l’étaient en 2002. Les États-Unis sont les premiers partenaires de l’Algérie”, souligne M. Robert S. Ford. Entre janvier et septembre 2007, le volume des échanges a atteint 14,9 milliards de dollars. Les exportations algériennes s’élèvent à 13,8 milliards de dollars, “essentiellement des hydrocarbures” se désole M. Robert S. Ford. Ce dernier estime qu’il existe des possibilités d’augmenter les exportations hors hydrocarbures, relevant au passage que les exportations de fruits algériens aux États-Unis ont progressé de 116%. Pour les opérateurs algériens c’est aussi une occasion de diversifier leur source d’importations, pour contourner la hausse de l’euro. Ce qui est certain, l’exposition de Las Vegas qui se tiendra du 4 au 7 mai est une occasion pour les opérateurs économiques algériens de mesurer l’importance du marché américain pour les productions hors hydrocarbures de l’Algérie, de s’informer des dispositions commerciales qui y existent et des opportunités d’affaires qu’ils peuvent réaliser
M. R