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Mes amis lisez ce poéme écrit pazr une Franco-blege qui n'a jamais connu l'Algérie mais qui y est allée une fois avec des amis originaires de Constantine. Voilà ce qu'elle a écrit. Si çà ce n'est pas de l'amour qu'est-ce que c'est alors!
Là-bas....
Tu m'en avais parlé bien des fois, de là-bas!
Tu m'en avais décrit les couleurs, les parfums...
Tu m'en dessinais des contours incertains
J'en percevais la chaleur des lieux et des gens.
J'imaginais, au fil de tes récits,
Une contrée de miel et de fruits,
Terre de grands espaces et de liberté
Où ni le sol, ni l'esprit ne pouvaient être étriqués.
Puis, le soleil a incendié la terre.....
Le vent s'est chargé de poussière....
Ta voix se teintait de nostalgie
Pourtant c'était une mélodie....
Et puis, un jour, on a fait le voyage
Avec au fond du coeur la belle image.
Il fallait confronter le rêve à la réalité,
Le coeur vibrant de joie mais aussi d'anxiété.
Je fus émerveillée par la somptuosité du site....
Face à la splendeur sauvage, je me sentais si petite!
Comment décrire l'émotion du moment,
La magie du lieu et de l'instant?
Te souviens-tu de l'ombre fugace et malicieuse de ce bambin
Qui nous a précédés bien des fois sur les chemins?
Intrépide et taquin, il faisait la nique aux professeurs?
Mais partageait avec un orphelin ses crayons de couleur!
Mêlant tes souvenances lointaines à celles de te mère,
L'écheveau de votre mémoire était le seul possible repère.
Dans notre quête d'une maison, d'une école, d'un passé disparu,
Inlassablement, nous avons parcouru le dédale des rues.
Un pâle rayon de lune troue le ciel noir de Constantine
Lorsque retentit le cri lancinant du muezzin....
Appelant les Musulmans à la prière,
Il arrache au sommeil mais pas à la misère !
Constantine, mystérieuse et secrète,
Sensible et troublante comme l'âme du poète,
Tu mêles en toi la discordance et l'harmonie
M'envoûtant à jamais de ton étrange alchimie....
Et ta musique étrange résonne en moi, comme l'écho
D'une certitude nouvelle qui me fait vivre un autre tempo...
En dépit du temps, du manque et de l'absence,
Mon coeur, lui aussi, est désormais de là-bas.
Là-bas....
Tu m'en avais parlé bien des fois, de là-bas!
Tu m'en avais décrit les couleurs, les parfums...
Tu m'en dessinais des contours incertains
J'en percevais la chaleur des lieux et des gens.
J'imaginais, au fil de tes récits,
Une contrée de miel et de fruits,
Terre de grands espaces et de liberté
Où ni le sol, ni l'esprit ne pouvaient être étriqués.
Puis, le soleil a incendié la terre.....
Le vent s'est chargé de poussière....
Ta voix se teintait de nostalgie
Pourtant c'était une mélodie....
Et puis, un jour, on a fait le voyage
Avec au fond du coeur la belle image.
Il fallait confronter le rêve à la réalité,
Le coeur vibrant de joie mais aussi d'anxiété.
Je fus émerveillée par la somptuosité du site....
Face à la splendeur sauvage, je me sentais si petite!
Comment décrire l'émotion du moment,
La magie du lieu et de l'instant?
Te souviens-tu de l'ombre fugace et malicieuse de ce bambin
Qui nous a précédés bien des fois sur les chemins?
Intrépide et taquin, il faisait la nique aux professeurs?
Mais partageait avec un orphelin ses crayons de couleur!
Mêlant tes souvenances lointaines à celles de te mère,
L'écheveau de votre mémoire était le seul possible repère.
Dans notre quête d'une maison, d'une école, d'un passé disparu,
Inlassablement, nous avons parcouru le dédale des rues.
Un pâle rayon de lune troue le ciel noir de Constantine
Lorsque retentit le cri lancinant du muezzin....
Appelant les Musulmans à la prière,
Il arrache au sommeil mais pas à la misère !
Constantine, mystérieuse et secrète,
Sensible et troublante comme l'âme du poète,
Tu mêles en toi la discordance et l'harmonie
M'envoûtant à jamais de ton étrange alchimie....
Et ta musique étrange résonne en moi, comme l'écho
D'une certitude nouvelle qui me fait vivre un autre tempo...
En dépit du temps, du manque et de l'absence,
Mon coeur, lui aussi, est désormais de là-bas.
, oui quiconque voit constantine est ensorcelé..... Constantine .....me manque!
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