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11 décembre 1960, Belcourt et d'autres quartiers populaires de la capitale ont vibré pour dire non à l'injustice d'un colonialisme qui avait trop duré. Des morts se sont imposés pour revendiquer la fin d'un calvaire trop injustice. Et la suite sera inéluctable ....l'indépendance .... puis le foutoir des années de plomb, qui continuent de nous écraser dans le mépris le plus total.
11 décembre 2007, 47 ans plus tard, la peur et la mort sont de retour , touchant cette fois les quartiers chics de la capitale, pour déchiqueter des innocents , loin de penser que ce mardi sera le dernier jour de leur fatale survie.
Sous une pluie fine, le fracas des bombes refait surface pour nous dire que le cauchemar ne pouvait en aucun cas cesser comme par enchantement , la politique des hommes a horreur des contes de fées.
Toutes les hypothèses sont possibles, kamikazes d'el quaida, supporters mécontents de la défaite de leur club ou tout bêtement un réglement de compte musclé au sommet. Le troisième mandat du président, non prévu par la constitution, semble irriter plus d'un. Et l'irritation surtout en décembtre peut déclencher des réactions incontrôlées.
Suivant la formule consacrée , gageons que les coupables seront arrêtés et traduits devant la justice des hommes pour répondre de leur crimes odieux , a moins qu'une commission ministérielle soit installée pour mieux étouffer toutes les vérités d'un 11 décembre annonciateur d'une enième bataille sanglante pour le pouvoir.
11 décembre 2007, 47 ans plus tard, la peur et la mort sont de retour , touchant cette fois les quartiers chics de la capitale, pour déchiqueter des innocents , loin de penser que ce mardi sera le dernier jour de leur fatale survie.
Sous une pluie fine, le fracas des bombes refait surface pour nous dire que le cauchemar ne pouvait en aucun cas cesser comme par enchantement , la politique des hommes a horreur des contes de fées.
Toutes les hypothèses sont possibles, kamikazes d'el quaida, supporters mécontents de la défaite de leur club ou tout bêtement un réglement de compte musclé au sommet. Le troisième mandat du président, non prévu par la constitution, semble irriter plus d'un. Et l'irritation surtout en décembtre peut déclencher des réactions incontrôlées.
Suivant la formule consacrée , gageons que les coupables seront arrêtés et traduits devant la justice des hommes pour répondre de leur crimes odieux , a moins qu'une commission ministérielle soit installée pour mieux étouffer toutes les vérités d'un 11 décembre annonciateur d'une enième bataille sanglante pour le pouvoir.
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