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Ensanglantée encore une fois par de violents attentats terroristes, le peuple Algérien se souvient encore qu’il est sujet à tous les maux du monde : un gouvernement coupable d’incompétence au meilleur des cas et de complicité au pire, des fanatiques barbares et sans scrupules et sans foi et enfin à des conspirateurs internationaux qui ne pensent qu’à se mettre plein les poches à travers les ressources de ce beau pays.
Il serait quand même rachitique d’attribuer à la religion de tels crimes, une religion basée sur l’humanisme et la tolérance, une religion qui prône le djihad pour se défendre et d’ailleurs l’interdit formellement durant cette période de « pèlerinage ».
L’Algérie est blessée par un trident mortel :
La première dent de ce trident est la meilleure invention américaine en terme d’efficacité : « Al Qaida ». N’est-il pas étrange qu’un attentat dévastateur survienne juste après que l’Algérie refuse l’installation d’une base américaine et qu’un autre ait lieu juste après que l’Algérie signe des contrats énorme avec un partenaire européen ? Quel est donc ce réseau des réseaux qui se révolte en Afhanistan, qui sème la débandade en Iraq, qui empêche les pauvres citoyens américains de dormir, qui cloue l’occident dans une situation de guet permanent et qui enfin sème la mort dans notre pays ? N’est-ce pas tellement gigantesque que c’en est devenu grotesque ? Ne dit-on pas que plus le mensonge est gros,… plus on le croit ?
La deuxième dent est un ramassis de voyous incompétents, souvent voleurs et assassins qui se font impunément appeler « pouvoir ». Une place au gouvernement algérien est un rêve… si on en décroche une, c’est à vie, aussi maigres soient vos résultats et aussi gros soient vos échecs. Une incompétence qui a fait qu’on soit le plus pauvre pays dont les caisses qui vont craquer. Personne ne sait quoi faire de cet argent et surtout, personne ne sait combien il faut en laisser au peuple. Et ça ne s’arrête pas là, ça se solde par une politique qui consiste à frustrer le peuple et à prendre les individus pour des cons. Comment ose – sans la moindre pudeur – notre premier ministre à annoncer un bilan égal au tiers du vrai, devant des millions de « pauvres algériens » coincés entre le marteau de la violence et l’enclume de la précarité. Cette même précarité, cette frustration et cette sous-estimation ont fait de l’Algérie un terrain de recrutement
tellement fertile qu’el Qaida n’en croirait pas ses yeux.
La troisième dent est la conséquence directe de la deuxième. L’état n’existe pas mais les individus existent bel et bien certains d’entre eux, pour défendre leurs poches, sont prêts à tout…même à la barbarie. Y en qui soutiennent boutef pour un troisième mandat, d’autres non, certains pro américains, certains pro français et le seul point commun qui pourrait les unir est leur nihilisme dans la façon de procéder. Et ils ont parfaitement réussi leur lugubre mission, ils ont fait de notre pays un pays sans justice, sans souveraineté, sans envie de développement, sans même une bonne équipe de football qui pourrait être une infime consolation.
Du coup, l’individu éveillé n’a pour choix que partir à contre cœur car il n’y peut rien. Ceux qui restent vivent dans le désespoir ou peut être dans l’espoir d’être un jour un des harragas… la méditerranée est tellement moins impitoyables que certains ténors de ce pays.
Pauvre de nous…
Il serait quand même rachitique d’attribuer à la religion de tels crimes, une religion basée sur l’humanisme et la tolérance, une religion qui prône le djihad pour se défendre et d’ailleurs l’interdit formellement durant cette période de « pèlerinage ».
L’Algérie est blessée par un trident mortel :
La première dent de ce trident est la meilleure invention américaine en terme d’efficacité : « Al Qaida ». N’est-il pas étrange qu’un attentat dévastateur survienne juste après que l’Algérie refuse l’installation d’une base américaine et qu’un autre ait lieu juste après que l’Algérie signe des contrats énorme avec un partenaire européen ? Quel est donc ce réseau des réseaux qui se révolte en Afhanistan, qui sème la débandade en Iraq, qui empêche les pauvres citoyens américains de dormir, qui cloue l’occident dans une situation de guet permanent et qui enfin sème la mort dans notre pays ? N’est-ce pas tellement gigantesque que c’en est devenu grotesque ? Ne dit-on pas que plus le mensonge est gros,… plus on le croit ?
La deuxième dent est un ramassis de voyous incompétents, souvent voleurs et assassins qui se font impunément appeler « pouvoir ». Une place au gouvernement algérien est un rêve… si on en décroche une, c’est à vie, aussi maigres soient vos résultats et aussi gros soient vos échecs. Une incompétence qui a fait qu’on soit le plus pauvre pays dont les caisses qui vont craquer. Personne ne sait quoi faire de cet argent et surtout, personne ne sait combien il faut en laisser au peuple. Et ça ne s’arrête pas là, ça se solde par une politique qui consiste à frustrer le peuple et à prendre les individus pour des cons. Comment ose – sans la moindre pudeur – notre premier ministre à annoncer un bilan égal au tiers du vrai, devant des millions de « pauvres algériens » coincés entre le marteau de la violence et l’enclume de la précarité. Cette même précarité, cette frustration et cette sous-estimation ont fait de l’Algérie un terrain de recrutement
tellement fertile qu’el Qaida n’en croirait pas ses yeux.
La troisième dent est la conséquence directe de la deuxième. L’état n’existe pas mais les individus existent bel et bien certains d’entre eux, pour défendre leurs poches, sont prêts à tout…même à la barbarie. Y en qui soutiennent boutef pour un troisième mandat, d’autres non, certains pro américains, certains pro français et le seul point commun qui pourrait les unir est leur nihilisme dans la façon de procéder. Et ils ont parfaitement réussi leur lugubre mission, ils ont fait de notre pays un pays sans justice, sans souveraineté, sans envie de développement, sans même une bonne équipe de football qui pourrait être une infime consolation.
Du coup, l’individu éveillé n’a pour choix que partir à contre cœur car il n’y peut rien. Ceux qui restent vivent dans le désespoir ou peut être dans l’espoir d’être un jour un des harragas… la méditerranée est tellement moins impitoyables que certains ténors de ce pays.
Pauvre de nous…