Communiqué De L'Association Des Tribus Sahraouies Marocaines En Europe
A l'occasion de la Journée des Droits de l'homme et de la 6ème session du Conseil des Droits de l'Homme, l'Association des Tribus Sahraouies marocaines en Europe lance, à partir du Palais des Nations à Genève, un appel au Secrétaire Général de l'ONU, à la communauté internationale, à l'opinion publique et aux organisations internationales des droits de l'homme, en vue d'intervenir d'urgence pour arrêter les violations des droits de l'homme dont sont victimes nos frères et soeurs séquestrées dans les camps du Polisario à Tindouf, dans le Sud-ouest algérien, et dénonce les violations flagrantes de leurs droits les plus élémentaires.
Notre Association appelle, en outre, le Haut Commissariat des Nations Unies aux Droits de l'Homme et les ONGs des droits humains, dont Amnesty International et Human Rights Watch, à ouvrir, d'urgence, des enquêtes pour lever le voile sur les graves abus commis dans les camps de Tindouf. Des enquêtes doivent aussi être ouvertes sur les aides humanitaires destinées à nos frères et soeurs séquestrés et détournées par la direction du Polisario, avec l'aide de ses protecteurs algériens.
L'interruption de tout moyen de communication avec les populations séquestrées de Tindouf et la pratique de toute forme de répression et d'exaction à leur encontre s'affichent en contradiction avec toutes les conventions et traditions internationales particulièrement celles qui bannissent la torture et les traitements inhumains.
Aux responsables du Polisario, nous lançons cet appel : DONNER A NOS FRERES ET SOEURS LA LIBERTE DE CHOISIR, OUVREZ LES CAMPS.
Ali Jeddou (palais des nations unis a genève)
A l'occasion de la Journée des Droits de l'homme et de la 6ème session du Conseil des Droits de l'Homme, l'Association des Tribus Sahraouies marocaines en Europe lance, à partir du Palais des Nations à Genève, un appel au Secrétaire Général de l'ONU, à la communauté internationale, à l'opinion publique et aux organisations internationales des droits de l'homme, en vue d'intervenir d'urgence pour arrêter les violations des droits de l'homme dont sont victimes nos frères et soeurs séquestrées dans les camps du Polisario à Tindouf, dans le Sud-ouest algérien, et dénonce les violations flagrantes de leurs droits les plus élémentaires.
Notre Association appelle, en outre, le Haut Commissariat des Nations Unies aux Droits de l'Homme et les ONGs des droits humains, dont Amnesty International et Human Rights Watch, à ouvrir, d'urgence, des enquêtes pour lever le voile sur les graves abus commis dans les camps de Tindouf. Des enquêtes doivent aussi être ouvertes sur les aides humanitaires destinées à nos frères et soeurs séquestrés et détournées par la direction du Polisario, avec l'aide de ses protecteurs algériens.
L'interruption de tout moyen de communication avec les populations séquestrées de Tindouf et la pratique de toute forme de répression et d'exaction à leur encontre s'affichent en contradiction avec toutes les conventions et traditions internationales particulièrement celles qui bannissent la torture et les traitements inhumains.
Aux responsables du Polisario, nous lançons cet appel : DONNER A NOS FRERES ET SOEURS LA LIBERTE DE CHOISIR, OUVREZ LES CAMPS.
Ali Jeddou (palais des nations unis a genève)
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