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Bonsoir
Huit familles se sont retrouvées sans abri et vivent dans la rue depuis l’effondrement de leur immeuble situé au 21 rue Rabah-Smala, à La Casbah. Cette bâtisse qui date de 1718, s’est effondrée, suite aux pluies diluviennes qui se sont abattues sur l’Algérois le 26 novembre de l’année en cours.
Pour rappel, ces familles ont déposé une demande auprès du wali d’Alger le 5 septembre dernier demandant restauration de leur maison. « Après le séisme du 21 mai 2003, nos demeures risquaient de s’effondrer sur nos têtes. C’est à ce moment-là qu’on a envoyé une demande au wali pour nous aider à les restaurer », indique l’un des résidants de cet immeuble. Il a ajouté qu’à ce sujet « un fonctionnaire de la Protection civile, ainsi qu’une commission spécialisée nous ont affirmé que nos maisons risquaient de s’effondrer à tout moment. »
Une deuxième demande a été également envoyée, par les habitants au wali le 7 octobre , le priant de bien vouloir agir et de leur venir en aide avant qu’une catastrophe n’ait lieu. D’autre part, l’effondrement de cette bâtisse a concerné huit familles qui se retrouvent à la rue depuis plus de 20 jours. A ce propos, une habitante des lieux nous dira « l’APC de La Casbah nous a promis de nous reloger, mais rien n’a été fait » elle ajoutera « Nous n’avons nulle part où aller en ce temps pluvieux cela a causé la maladie de nos enfants ». A cet effet, les huit familles demandent l’intervention du wali et ce, pour les reloger et ne pas fêter le jour de l’Aïd dans la rue.
La Dépêche de Kabylie
Huit familles se sont retrouvées sans abri et vivent dans la rue depuis l’effondrement de leur immeuble situé au 21 rue Rabah-Smala, à La Casbah. Cette bâtisse qui date de 1718, s’est effondrée, suite aux pluies diluviennes qui se sont abattues sur l’Algérois le 26 novembre de l’année en cours.
Pour rappel, ces familles ont déposé une demande auprès du wali d’Alger le 5 septembre dernier demandant restauration de leur maison. « Après le séisme du 21 mai 2003, nos demeures risquaient de s’effondrer sur nos têtes. C’est à ce moment-là qu’on a envoyé une demande au wali pour nous aider à les restaurer », indique l’un des résidants de cet immeuble. Il a ajouté qu’à ce sujet « un fonctionnaire de la Protection civile, ainsi qu’une commission spécialisée nous ont affirmé que nos maisons risquaient de s’effondrer à tout moment. »
Une deuxième demande a été également envoyée, par les habitants au wali le 7 octobre , le priant de bien vouloir agir et de leur venir en aide avant qu’une catastrophe n’ait lieu. D’autre part, l’effondrement de cette bâtisse a concerné huit familles qui se retrouvent à la rue depuis plus de 20 jours. A ce propos, une habitante des lieux nous dira « l’APC de La Casbah nous a promis de nous reloger, mais rien n’a été fait » elle ajoutera « Nous n’avons nulle part où aller en ce temps pluvieux cela a causé la maladie de nos enfants ». A cet effet, les huit familles demandent l’intervention du wali et ce, pour les reloger et ne pas fêter le jour de l’Aïd dans la rue.
La Dépêche de Kabylie
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