Le ministre de la Solidarité nationale, Djamel Ould Abbès, a accusé des parties étrangères d’avoir commandité les explosions terroristes du 11 décembre, mais il a refusé de divulguer des noms, craignant de subir comme le ministre des Moudjahidines, les foudres du président Bouteflika qui considère qu’évoquer des questions d’ordre international, empiète sur ses prérogatives.
Dans une rencontre avec la presse tenue hier à la Radio chaîne une, le ministre Ould Abbès a été invité à commenter les événements douloureux qui ont endeuillé la capitale, il a alors déclaré : « Il est évident que l’Algérie inquiète la monde, et nous avons des ennemis car nous sommes un pays privilégié ». En réponse à une question de la journaliste qui lui demandait s’il s’agissait d’une mise en accusation de parties étrangères, le ministre a déclaré : « Je suis un ministre discipliné, la diplomatie fait partie des prérogatives du président de la République, et les questions sécuritaires de celles du ministre de l’Intérieur ».
Les déclarations de Ould Abbès reflètent ses craintes de faire simplement allusion à des questions que le président Bouteflika considère comme ses seules prérogatives, même lorsqu’il s’agit de parties impliquées dans le terrorisme, ce qui n’implique pas forcément des pays ou des entreprises qui agissent dans la légalité.
Les craintes du ministre de la Solidarité nationale sont motivées par la violente attaque qu’a eu à subir le ministre des Moudjahidines, Chérif Abbès, lorsqu’il a déclaré que le président français, Nicolas Sarkozy, est d’origine juive, et qu’il était parvenu au sommet de l’Etat, grâce au le lobby juif en France.
El Khabar
Dans une rencontre avec la presse tenue hier à la Radio chaîne une, le ministre Ould Abbès a été invité à commenter les événements douloureux qui ont endeuillé la capitale, il a alors déclaré : « Il est évident que l’Algérie inquiète la monde, et nous avons des ennemis car nous sommes un pays privilégié ». En réponse à une question de la journaliste qui lui demandait s’il s’agissait d’une mise en accusation de parties étrangères, le ministre a déclaré : « Je suis un ministre discipliné, la diplomatie fait partie des prérogatives du président de la République, et les questions sécuritaires de celles du ministre de l’Intérieur ».
Les déclarations de Ould Abbès reflètent ses craintes de faire simplement allusion à des questions que le président Bouteflika considère comme ses seules prérogatives, même lorsqu’il s’agit de parties impliquées dans le terrorisme, ce qui n’implique pas forcément des pays ou des entreprises qui agissent dans la légalité.
Les craintes du ministre de la Solidarité nationale sont motivées par la violente attaque qu’a eu à subir le ministre des Moudjahidines, Chérif Abbès, lorsqu’il a déclaré que le président français, Nicolas Sarkozy, est d’origine juive, et qu’il était parvenu au sommet de l’Etat, grâce au le lobby juif en France.
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