habbaytak bessayf (je t'ai aimé par l'été)
par les jours de froid
par les jours de pluie
le boulevard est un lac
et la rue se noie
vient telle jeune fille
de sa vielle maison
Il lui dit "attends-moi"
et elle attend au bord du chemin
puis, il part et l'oublie
Et elle se fane par l'hiver
Je t'ai aimé par l'été
Je t'ai aimé par l'hiver
Je t'ai attendu l'été
Je t'ai attendu l'hiver
Tes yeux sont l'été
Et mes yeux sont l'hiver
Nos retrouvailles, mon bien-aimé
sont au-delà de l'été et par-delà l'hiver
Il est passé une étrangère
qui m'a apporté un courrier
C'est mon bien-aimé qui a écrit
De ses tristes pleurs
j'ai ouvert le papier
et ses lettres se sont perdues
puis, il est passé des jours
et, pour des années, nous ont rendus l'un à l'autre étrangers
et les lettres du courrier
se sont effacées dans l'hiver
Je t'ai aimé par l'été
Je t'ai aimé par l'hiver
Je t'ai attendu l'été
Je t'ai attendu l'hiver
Tes yeux sont l'été
Et mes yeux sont l'hiver
Nos retrouvailles, mon bien-aimé
sont au-delà de l'été et par-delà l'hiver
Fayrouz: ma nuit, tu reviens
Ils m’ont appris
Ils m’ont appris ma souffrance
Ils me l’ont enseignée
Sur ton amour, ils m’ont ouvert les yeux
Puis, nous nous sommes rencontrés
Et l’on a parlé de nous
Ils m’ont appris ton amour
Puis, m’ont blâmé
En évoquant ces jours de roses
Mon cœur se fond
Comme nous étions
Et comme nos jours étaient beaux
Mais qu’est-il arrivé
Qu’est-ce qui a changé ceux qui s’aiment
Ils sont passé devant ma porte
Et m’on ignorée
Ils m’ont appris ma souffrance
Ils me l’ont enseignée
Sur ton amour, ils m’ont ouvert les yeux
Puis, nous nous sommes rencontrés
Et l’on a parlé de nous
Ils m’ont appris ton amour
Puis, m’ont blâmé
Ô oiseau des épines, tes gens ont passé
Ils sont passé par ce ciel
Et j’ignore où il se sont rendus
Ô oiseau des épines, tes gens ont passé
Ils sont passé par ce ciel
Et j’ignore où il se sont rendus
Ils m’ont indiqué le seuil de l’amour
Et puis, se sont envolés
Mais sur le seuil de la patience
Ils ne m’ont soufflé mot
Ils m’ont appris ma souffrance
Ils me l’ont enseignée
Sur ton amour, ils m’ont ouvert les yeux
Puis, nous nous sommes rencontrés
Et l’on a parlé de nous
Ils m’ont appris ton amour
Puis, m’ont blâmé
Ils m’ont enseigné ton amour
Puis, m’en blâmée
Fayrouz: ma nuit, tu reviens
Ils m’ont appris
Ils m’ont appris ma souffrance
Ils me l’ont enseignée
Sur ton amour, ils m’ont ouvert les yeux
Puis, nous nous sommes rencontrés
Et l’on a parlé de nous
Ils m’ont appris ton amour
Puis, m’ont blâmé
En évoquant ces jours de roses
Mon cœur se fond
Comme nous étions
Et comme nos jours étaient beaux
Mais qu’est-il arrivé
Qu’est-ce qui a changé ceux qui s’aiment
Ils sont passé devant ma porte
Et m’on ignorée
Ils m’ont appris ma souffrance
Ils me l’ont enseignée
Sur ton amour, ils m’ont ouvert les yeux
Puis, nous nous sommes rencontrés
Et l’on a parlé de nous
Ils m’ont appris ton amour
Puis, m’ont blâmé
Ô oiseau des épines, tes gens ont passé
Ils sont passé par ce ciel
Et j’ignore où il se sont rendus
Ô oiseau des épines, tes gens ont passé
Ils sont passé par ce ciel
Et j’ignore où il se sont rendus
Ils m’ont indiqué le seuil de l’amour
Et puis, se sont envolés
Mais sur le seuil de la patience
Ils ne m’ont soufflé mot
Ils m’ont appris ma souffrance
Ils me l’ont enseignée
Sur ton amour, ils m’ont ouvert les yeux
Puis, nous nous sommes rencontrés
Et l’on a parlé de nous
Ils m’ont appris ton amour
Puis, m’ont blâmé
Ils m’ont enseigné ton amour
Puis, m’en blâmée
par les jours de froid
par les jours de pluie
le boulevard est un lac
et la rue se noie
vient telle jeune fille
de sa vielle maison
Il lui dit "attends-moi"
et elle attend au bord du chemin
puis, il part et l'oublie
Et elle se fane par l'hiver
Je t'ai aimé par l'été
Je t'ai aimé par l'hiver
Je t'ai attendu l'été
Je t'ai attendu l'hiver
Tes yeux sont l'été
Et mes yeux sont l'hiver
Nos retrouvailles, mon bien-aimé
sont au-delà de l'été et par-delà l'hiver
Il est passé une étrangère
qui m'a apporté un courrier
C'est mon bien-aimé qui a écrit
De ses tristes pleurs
j'ai ouvert le papier
et ses lettres se sont perdues
puis, il est passé des jours
et, pour des années, nous ont rendus l'un à l'autre étrangers
et les lettres du courrier
se sont effacées dans l'hiver
Je t'ai aimé par l'été
Je t'ai aimé par l'hiver
Je t'ai attendu l'été
Je t'ai attendu l'hiver
Tes yeux sont l'été
Et mes yeux sont l'hiver
Nos retrouvailles, mon bien-aimé
sont au-delà de l'été et par-delà l'hiver
Fayrouz: ma nuit, tu reviens
Ils m’ont appris
Ils m’ont appris ma souffrance
Ils me l’ont enseignée
Sur ton amour, ils m’ont ouvert les yeux
Puis, nous nous sommes rencontrés
Et l’on a parlé de nous
Ils m’ont appris ton amour
Puis, m’ont blâmé
En évoquant ces jours de roses
Mon cœur se fond
Comme nous étions
Et comme nos jours étaient beaux
Mais qu’est-il arrivé
Qu’est-ce qui a changé ceux qui s’aiment
Ils sont passé devant ma porte
Et m’on ignorée
Ils m’ont appris ma souffrance
Ils me l’ont enseignée
Sur ton amour, ils m’ont ouvert les yeux
Puis, nous nous sommes rencontrés
Et l’on a parlé de nous
Ils m’ont appris ton amour
Puis, m’ont blâmé
Ô oiseau des épines, tes gens ont passé
Ils sont passé par ce ciel
Et j’ignore où il se sont rendus
Ô oiseau des épines, tes gens ont passé
Ils sont passé par ce ciel
Et j’ignore où il se sont rendus
Ils m’ont indiqué le seuil de l’amour
Et puis, se sont envolés
Mais sur le seuil de la patience
Ils ne m’ont soufflé mot
Ils m’ont appris ma souffrance
Ils me l’ont enseignée
Sur ton amour, ils m’ont ouvert les yeux
Puis, nous nous sommes rencontrés
Et l’on a parlé de nous
Ils m’ont appris ton amour
Puis, m’ont blâmé
Ils m’ont enseigné ton amour
Puis, m’en blâmée
Fayrouz: ma nuit, tu reviens
Ils m’ont appris
Ils m’ont appris ma souffrance
Ils me l’ont enseignée
Sur ton amour, ils m’ont ouvert les yeux
Puis, nous nous sommes rencontrés
Et l’on a parlé de nous
Ils m’ont appris ton amour
Puis, m’ont blâmé
En évoquant ces jours de roses
Mon cœur se fond
Comme nous étions
Et comme nos jours étaient beaux
Mais qu’est-il arrivé
Qu’est-ce qui a changé ceux qui s’aiment
Ils sont passé devant ma porte
Et m’on ignorée
Ils m’ont appris ma souffrance
Ils me l’ont enseignée
Sur ton amour, ils m’ont ouvert les yeux
Puis, nous nous sommes rencontrés
Et l’on a parlé de nous
Ils m’ont appris ton amour
Puis, m’ont blâmé
Ô oiseau des épines, tes gens ont passé
Ils sont passé par ce ciel
Et j’ignore où il se sont rendus
Ô oiseau des épines, tes gens ont passé
Ils sont passé par ce ciel
Et j’ignore où il se sont rendus
Ils m’ont indiqué le seuil de l’amour
Et puis, se sont envolés
Mais sur le seuil de la patience
Ils ne m’ont soufflé mot
Ils m’ont appris ma souffrance
Ils me l’ont enseignée
Sur ton amour, ils m’ont ouvert les yeux
Puis, nous nous sommes rencontrés
Et l’on a parlé de nous
Ils m’ont appris ton amour
Puis, m’ont blâmé
Ils m’ont enseigné ton amour
Puis, m’en blâmée
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