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Washington - La majeure partie des combattants du réseau Al Qaïda actifs en Irak sont originaires d'Arabie saoudite et de Libye, selon une étude rendue publique mercredi par des chercheurs de l'école militaire américaine de West Point. Bon nombre d'entre eux sont des étudiants.
L'étude se fonde sur 606 fichiers personnels établis par Al Qaïda en Irak et saisis par les troupes de la coalition internationale en Irak en octobre. Elle comprend des données sur les combattants entrés en Irak, essentiellement via la Syrie, d'août 2006 à août 2007.
Selon les chercheurs du centre de lutte antiterroriste de West Point, 41% de ces combattants-là sont des Saoudiens. Les Libyens forment la deuxième composante des combattants islamistes entrés en Irak durant cet intervalle, avec 19% du total. Ils sont suivis par les Syriens et les Yéménites (8% chacun). Viennent ensuite les Algériens (7%) et les Marocains (6%).
Selon l'étude, l'âge moyen des 606 combattants entrés durant cette période d'un an est de 24-25 ans. L'un d'eux n'a que 15 ans.
Sur les 157 combattants qui mentionnent dans leurs fiches une occupation antérieure, 43% se disent 'étudiants". "Les universités sont devenues un secteur de recrutement capital pour Al Qaïda", lit-on dans l'étude.
SDA-ATS
Washington - La majeure partie des combattants du réseau Al Qaïda actifs en Irak sont originaires d'Arabie saoudite et de Libye, selon une étude rendue publique mercredi par des chercheurs de l'école militaire américaine de West Point. Bon nombre d'entre eux sont des étudiants.
L'étude se fonde sur 606 fichiers personnels établis par Al Qaïda en Irak et saisis par les troupes de la coalition internationale en Irak en octobre. Elle comprend des données sur les combattants entrés en Irak, essentiellement via la Syrie, d'août 2006 à août 2007.
Selon les chercheurs du centre de lutte antiterroriste de West Point, 41% de ces combattants-là sont des Saoudiens. Les Libyens forment la deuxième composante des combattants islamistes entrés en Irak durant cet intervalle, avec 19% du total. Ils sont suivis par les Syriens et les Yéménites (8% chacun). Viennent ensuite les Algériens (7%) et les Marocains (6%).
Selon l'étude, l'âge moyen des 606 combattants entrés durant cette période d'un an est de 24-25 ans. L'un d'eux n'a que 15 ans.
Sur les 157 combattants qui mentionnent dans leurs fiches une occupation antérieure, 43% se disent 'étudiants". "Les universités sont devenues un secteur de recrutement capital pour Al Qaïda", lit-on dans l'étude.
SDA-ATS
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