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Bonjour
« Dès sa réélection en 2009, le président Bouteflika prononcera une amnistie générale et permettra au FIS de retourner sur la scène politique. » C’est ce que révèle Ahmed Ben Aïcha, l’ancien émir de la branche armée du FIS, dans les colonnes du journal arabophone El Bilad. « C’est l’aboutissement naturel du processus de «réconciliation nationale»
Ben Aïcha, sans détour, parle du retour du FIS. «Oui, le champ sera réouvert aux enfants du front dans le cadre d’un parti politique. Il y a en ce moment plusieurs initiatives pour donner corps à cette solution politique », dit-il, estimant que l’accord en question va faire l’objet d’un consensus entre les «nationalistes » et les islamistes. Le chef terroriste ne s’arrête pas en si bon chemin puisqu’il considère que le «projet» ne sera totalement «réussi» qu’avec la promulgation de l’amnistie générale. S’improvisant porte-parole des Algériens, il n’a pas hésité à dire : «Tous les Algériens attendent l’amnistie générale.»
Ben Aïcha va plus loin, estimant que si le RND et le MSP ne se sont pas empressés de soutenir Bouteflika pour un troisième mandat, c’est parce que les chefs des deux partis ont eu vent de «la solution finale» préconisée par le Président et promise au chef de l’AIS. «Les chefs des deux partis de l’alliance pensent que le retour du FIS dissous sur la scène politique signifie la fin de leur légitimité en tant que représentant du peuple. Ils hésitent à soutenir Bouteflika pour éviter qu’il n’y ait un nouveau pas en direction de la solution finale qui ne peut être que politique»
Bien entendu, le chef terroriste estime que les auteurs des attentats du 11 décembre dernier, sont à chercher parmi « ceux qui ne veulent pas de troisième mandat pour Bouteflika». Il s’interroge : «Du point de vue purement militaire, on n’attaque que les cibles qui constituent un danger. Je me pose la question : pour qui le Conseil constitutionnel représente un danger ? pour ceux qui sont encore au maquis ? Bien sur que non, ils n’ont aucun rapport avec lui, par contre, c’est une menace pour ceux qui ne veulent pas de troisième mandat pour Bouteflika».
http://www.lematindz.net/news/582.html
« Dès sa réélection en 2009, le président Bouteflika prononcera une amnistie générale et permettra au FIS de retourner sur la scène politique. » C’est ce que révèle Ahmed Ben Aïcha, l’ancien émir de la branche armée du FIS, dans les colonnes du journal arabophone El Bilad. « C’est l’aboutissement naturel du processus de «réconciliation nationale»
Ben Aïcha, sans détour, parle du retour du FIS. «Oui, le champ sera réouvert aux enfants du front dans le cadre d’un parti politique. Il y a en ce moment plusieurs initiatives pour donner corps à cette solution politique », dit-il, estimant que l’accord en question va faire l’objet d’un consensus entre les «nationalistes » et les islamistes. Le chef terroriste ne s’arrête pas en si bon chemin puisqu’il considère que le «projet» ne sera totalement «réussi» qu’avec la promulgation de l’amnistie générale. S’improvisant porte-parole des Algériens, il n’a pas hésité à dire : «Tous les Algériens attendent l’amnistie générale.»
Ben Aïcha va plus loin, estimant que si le RND et le MSP ne se sont pas empressés de soutenir Bouteflika pour un troisième mandat, c’est parce que les chefs des deux partis ont eu vent de «la solution finale» préconisée par le Président et promise au chef de l’AIS. «Les chefs des deux partis de l’alliance pensent que le retour du FIS dissous sur la scène politique signifie la fin de leur légitimité en tant que représentant du peuple. Ils hésitent à soutenir Bouteflika pour éviter qu’il n’y ait un nouveau pas en direction de la solution finale qui ne peut être que politique»
Bien entendu, le chef terroriste estime que les auteurs des attentats du 11 décembre dernier, sont à chercher parmi « ceux qui ne veulent pas de troisième mandat pour Bouteflika». Il s’interroge : «Du point de vue purement militaire, on n’attaque que les cibles qui constituent un danger. Je me pose la question : pour qui le Conseil constitutionnel représente un danger ? pour ceux qui sont encore au maquis ? Bien sur que non, ils n’ont aucun rapport avec lui, par contre, c’est une menace pour ceux qui ne veulent pas de troisième mandat pour Bouteflika».
http://www.lematindz.net/news/582.html
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